Les Puttaghji de Carl' Antò
La semaine de Carl' Antò
Acquittator accusé
Depuis que le sort des trois nationalistes Alessandri, Ferrandi et Colonna, qui demandent un allègement de peine échoit aujourd’hui à Matignon et Jean Castex, quid de la position de l’acquittator en chef et garde des sceaux Dupont-Moretti. On le sait, ce dossier lui a été retiré pour éviter un conflit d’intérêt, Acquittator ayant été l’avocat d’Yvan Colonna. Mais que pense-t-il de la gestion de ce dossier sensible ? Nul ne le sait. Silencieux, il était. Silencieux il le reste. Pour un ancien avocat c’est aller contre-nature. Pour un ministre de la justice, c’est se priver de liberté.
Donc, Acquittator ferme sa gueule et ne démissionne pas.
Et ça joue… en plus !
Soit assurer le service public de la continuité territoriale, soit pour assurer les hauts salaires de la direction, celle-ci n’en rate jamais une. Ne voilà-t-il pas qu’elle a décidé de mettre en place un jeu pour gagner des voyages sur la Corse ainsi que des séjours ? La compagnie de service public devrait peut-être réfléchir à faire baisser le prix des billets et surtout à être plus ponctuelle. Wait and see
Ira ou ira pas
Après la présidentielle, les législatives, et cela va tambour battant. Deuxième circonscription de Corse du Sud, le député sortant le nationaliste Pierre-Toussaint Colombani apparaît comme le favori pour une réélection. L’homme d’une dynastie reconnue peut, peut-être, entraver son ambition. Camille de Rocca-Serra envisage de repartir au combat politique. Mais, Camillou hésite. Ses amis proches restent partagés sur une possible victoire revancharde, digne de rendre la pareille à un certain Jean-Christophe Angelini celui qui a pu renverser symboliquement le « & ». La victoire de Valérie Pécresse à l’échéance suprême sera le tremplin pour Camillou.
Donc attendons. La vraie promesse c’est entendu s’appelle Valérie.
Drôle de procès à venir
Les faits remontent à l’année 2009. Les règlements de compte entre bandes rivales se multiplient en Corse du Sud. Selon les observateurs de l’époque le décès accidentel du parrain Jean Jé Colonna serait la cause ou la raison d’une restructuration du milieu sudiste entre coups de revolver et de carabine. C’est ainsi qu’Alain Lucchini membre éminent d’une bande est victime d’un guet-apens à l’entrée d’Ajaccio dont il ressortira avec quelques blessures légères. Ses principaux agresseurs sont rapidement identifiés et mis au trou. Parmi eux Jean Michelosi frère de Ange-Marie Michelosi tué par balles un an plus tôt du côté de Sainte-Marie Sicchè. Avec ses présumés complices, Jean Michelosi comparaîtra le 26 janvier prochain devant les Assises d’Aix en Provence. Entre inimitiés sanguinaires, alliances, réconciliations et déclarations de guerre, on souhaite bien du plaisir et de concentration aux juges et aux jurés pour démêler cet imbroglio 13 ans après les faits.
Tout tremble et…
La nouvelle délégation de service public maritime n’a pas encore été lancée mais semble déjà causer des soucis aux compagnies maritimes. En effet, la Corsica Linea qui devrait être dans l’obligation de rembourser une partie de l’ancienne délégation est dans ses petits souliers. Une fois de plus, tout tremble et rien ne bouge.
Depuis que le sort des trois nationalistes Alessandri, Ferrandi et Colonna, qui demandent un allègement de peine échoit aujourd’hui à Matignon et Jean Castex, quid de la position de l’acquittator en chef et garde des sceaux Dupont-Moretti. On le sait, ce dossier lui a été retiré pour éviter un conflit d’intérêt, Acquittator ayant été l’avocat d’Yvan Colonna. Mais que pense-t-il de la gestion de ce dossier sensible ? Nul ne le sait. Silencieux, il était. Silencieux il le reste. Pour un ancien avocat c’est aller contre-nature. Pour un ministre de la justice, c’est se priver de liberté.
Donc, Acquittator ferme sa gueule et ne démissionne pas.
Et ça joue… en plus !
Soit assurer le service public de la continuité territoriale, soit pour assurer les hauts salaires de la direction, celle-ci n’en rate jamais une. Ne voilà-t-il pas qu’elle a décidé de mettre en place un jeu pour gagner des voyages sur la Corse ainsi que des séjours ? La compagnie de service public devrait peut-être réfléchir à faire baisser le prix des billets et surtout à être plus ponctuelle. Wait and see
Ira ou ira pas
Après la présidentielle, les législatives, et cela va tambour battant. Deuxième circonscription de Corse du Sud, le député sortant le nationaliste Pierre-Toussaint Colombani apparaît comme le favori pour une réélection. L’homme d’une dynastie reconnue peut, peut-être, entraver son ambition. Camille de Rocca-Serra envisage de repartir au combat politique. Mais, Camillou hésite. Ses amis proches restent partagés sur une possible victoire revancharde, digne de rendre la pareille à un certain Jean-Christophe Angelini celui qui a pu renverser symboliquement le « & ». La victoire de Valérie Pécresse à l’échéance suprême sera le tremplin pour Camillou.
Donc attendons. La vraie promesse c’est entendu s’appelle Valérie.
Drôle de procès à venir
Les faits remontent à l’année 2009. Les règlements de compte entre bandes rivales se multiplient en Corse du Sud. Selon les observateurs de l’époque le décès accidentel du parrain Jean Jé Colonna serait la cause ou la raison d’une restructuration du milieu sudiste entre coups de revolver et de carabine. C’est ainsi qu’Alain Lucchini membre éminent d’une bande est victime d’un guet-apens à l’entrée d’Ajaccio dont il ressortira avec quelques blessures légères. Ses principaux agresseurs sont rapidement identifiés et mis au trou. Parmi eux Jean Michelosi frère de Ange-Marie Michelosi tué par balles un an plus tôt du côté de Sainte-Marie Sicchè. Avec ses présumés complices, Jean Michelosi comparaîtra le 26 janvier prochain devant les Assises d’Aix en Provence. Entre inimitiés sanguinaires, alliances, réconciliations et déclarations de guerre, on souhaite bien du plaisir et de concentration aux juges et aux jurés pour démêler cet imbroglio 13 ans après les faits.
Tout tremble et…
La nouvelle délégation de service public maritime n’a pas encore été lancée mais semble déjà causer des soucis aux compagnies maritimes. En effet, la Corsica Linea qui devrait être dans l’obligation de rembourser une partie de l’ancienne délégation est dans ses petits souliers. Une fois de plus, tout tremble et rien ne bouge.