Delvaux ou l’histoire de la maroquinerie
Si les grands noms du luxe sont présents dans nos inconscients, il en est un, aussi discret qu’exigeant, qui était là en premier. Delvaux vient de Belgique et révolutionne la maroquinerie à chaque saison, depuis 1829.
Un univers exceptionnel et des pièces rares : le génie de la maison n’a pas fini de nous surprendre.
Une histoire de voyage. Un visionnaire, Charles Delvaux, développe sa gamme de maroquinerie de luxe. En 1829, la maison éponyme est lancée. Déjà implantée, la griffe séduit toutes les voyageuses ayant besoin de conserver près d’elles leurs effets personnels, avec élégance. Car la Belgique, dans les années 1870, possède alors le réseau ferroviaire le plus dense du monde. Quelques années plus tard, le titre de Fournisseur Breveté de la Cour est attribué à la Maison Delvaux par le roi Léopold II de Belgique.
L’histoire se poursuit au début du XXème siècle. 1933 sonne le début d’une ère nouvelle avec un nouveau dirigeant, Franz Schwennicke. Il introduit la notion de saisonnalité des collections, à l’image de la Haute Couture. Avec sa femme Solange, ils imaginent alors des pièces audacieuses, comme « Le Brillant » créé à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1958.
Et ce modèle est toujours d’actualité : des courbes ciselées, une boucle comme un bijou, cet objet de désir jamais ne se démode, universel, donc.
Cette promesse de perfection permet à Delvaux de perpétuellement trouver le détail d’impertinence qui fera la différence, et toucher toutes les femmes, tous les hommes, peu importe leur style et leur âge. Deux collections crée l’événement, l’une en hommage à Magritte, avec la reprise de ses oeuvres sur des sacs, petits et grands. L’autre, c’est cette ligne « Miniatures » aux couleurs et formes clin d’oeil à la gastronomie Belge, remasterisée version New-York.
En ce qui concerne les iconiques, la maitrise des coloris et des matières est centrale. Cuirs, peaux, mattes, brillants, dessinés, du noir au fluo… L’impossible n’est définitivement pas Belge.
Delvaux, c’est aussi une autre manière de ressentir les belles choses. Pas question d’acheter en ligne car conserver le contact avec le produit parait essentiel. Il faut se rendre en boutique pour s’imprégner de l’univers, de la qualité, de la patte de la Maison, puis tomber amoureux, à jamais. Chose faite pour de nombreuses célébrités internationales, de Beyoncé à Olivia Palermo, en passant par Rihanna ou Lady Gaga, mais aussi Céline Dion, toutes charmées.
Cette saison les couleurs sont flashy, le jaune/vert comme fil conducteur estival entre autres tons plus neutres, adaptables à chaque occasion.
Et pour la suite ? Un allé simple vers l’imaginaire débordant Delvaux est prévu, dévoilé pour la fin d’année 2020. Toujours une histoire de voyage…
Delvaux à Paris, Jardins du Palais Royal, Rue Saint-Honoré dans le 1e arrondissement, au Bon Marché Rive Gauche et aux Galeries Lafayette Haussmann.
Pour en savoir plus, www.delvaux.com.
Une histoire de voyage. Un visionnaire, Charles Delvaux, développe sa gamme de maroquinerie de luxe. En 1829, la maison éponyme est lancée. Déjà implantée, la griffe séduit toutes les voyageuses ayant besoin de conserver près d’elles leurs effets personnels, avec élégance. Car la Belgique, dans les années 1870, possède alors le réseau ferroviaire le plus dense du monde. Quelques années plus tard, le titre de Fournisseur Breveté de la Cour est attribué à la Maison Delvaux par le roi Léopold II de Belgique.
L’histoire se poursuit au début du XXème siècle. 1933 sonne le début d’une ère nouvelle avec un nouveau dirigeant, Franz Schwennicke. Il introduit la notion de saisonnalité des collections, à l’image de la Haute Couture. Avec sa femme Solange, ils imaginent alors des pièces audacieuses, comme « Le Brillant » créé à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1958.
Et ce modèle est toujours d’actualité : des courbes ciselées, une boucle comme un bijou, cet objet de désir jamais ne se démode, universel, donc.
Cette promesse de perfection permet à Delvaux de perpétuellement trouver le détail d’impertinence qui fera la différence, et toucher toutes les femmes, tous les hommes, peu importe leur style et leur âge. Deux collections crée l’événement, l’une en hommage à Magritte, avec la reprise de ses oeuvres sur des sacs, petits et grands. L’autre, c’est cette ligne « Miniatures » aux couleurs et formes clin d’oeil à la gastronomie Belge, remasterisée version New-York.
En ce qui concerne les iconiques, la maitrise des coloris et des matières est centrale. Cuirs, peaux, mattes, brillants, dessinés, du noir au fluo… L’impossible n’est définitivement pas Belge.
Delvaux, c’est aussi une autre manière de ressentir les belles choses. Pas question d’acheter en ligne car conserver le contact avec le produit parait essentiel. Il faut se rendre en boutique pour s’imprégner de l’univers, de la qualité, de la patte de la Maison, puis tomber amoureux, à jamais. Chose faite pour de nombreuses célébrités internationales, de Beyoncé à Olivia Palermo, en passant par Rihanna ou Lady Gaga, mais aussi Céline Dion, toutes charmées.
Cette saison les couleurs sont flashy, le jaune/vert comme fil conducteur estival entre autres tons plus neutres, adaptables à chaque occasion.
Et pour la suite ? Un allé simple vers l’imaginaire débordant Delvaux est prévu, dévoilé pour la fin d’année 2020. Toujours une histoire de voyage…
Delvaux à Paris, Jardins du Palais Royal, Rue Saint-Honoré dans le 1e arrondissement, au Bon Marché Rive Gauche et aux Galeries Lafayette Haussmann.
Pour en savoir plus, www.delvaux.com.