Handball : Saison mitigée pour HAC
Quasiment assuré d'être second de sa poule, le club ajaccien prépare d'ores et déjà la saison prochaine.
Handball : saison mitigée pour le HAC
Quasiment assuré d’être second de sa poule, le club ajaccien prépare d’ores et déjà la saison prochaine. Avec l’ambition de miser, de nouveau, sur l’accession.
Il n’aura pas manqué grand-chose pour que le HAC parvienne à remplir son objectif du début de saison, l’accession en N1. Une mission à laquelle les Ajacciennes se sont attelées durant la première moitié de l’exercice (7 victoires, un nul et une défaite jusqu’à la fin novembre). Avant de connaître une période délicate et coûteuse dans la course à l’accession. De fait, les « bianche è nere » du HAC peuvent se mordre les doigts d’avoir très mal négocié la reprise en janvier avec une série de deux défaites à Nice et Cannes et un nul à la maison face à Plan-de-Cuques. Trois contre-performances qui ont rétrogradé le club à la seconde place au profit de Mazan, longtemps au coude-à-coude mais qui s’est installé en tête de la poule sans jamais rien lâché. « On est resté plus de deux mois sans jouer, déplore-t-on du côté dirigeant, il a fallu garder les filles sous pression, s’entraîner mais rien ne remplace la compétition. Derrière, on a certainement manqué de punch à Nice où l’on s’incline d’un point à la dernière seconde et Cannes. » Sur les matchs suivants, les Ajacciennes ont fait le boulot (six victoires et une défaite) mais le revers à Mazan dans un match à six points les a privées de rester dans la course à la N1. Deux journées restent encore à disputer, « mais nous voyons mal Mazan lâcher », l’occasion pour les filles de Jérémy Grisel, de faire le point même si cela ne devrait pas, sauf miracle, (rétrogradation financière de N1), influer sur le résultat final. Un exercice toutefois positif dans l’ensemble avec l’intégration de plusieurs jeunes formées au club qui constituent l’avenir : Camille Lambert, Manon Auguet, Chjara Romiti, Cheyenne Bourlier, Marylou Dellepiani ou encore Justine Bidou-Pinelli. De quoi préparer l’avenir avec sérénité. Des jeunes qui, ajoutées à l’actuelle ossature qui devrait rempiler, pourrait permettre au HAC de se mêler de nouveau à la course à l’accession.
Philippe Peraut
Encadré
Quasiment assuré d’être second de sa poule, le club ajaccien prépare d’ores et déjà la saison prochaine. Avec l’ambition de miser, de nouveau, sur l’accession.
Il n’aura pas manqué grand-chose pour que le HAC parvienne à remplir son objectif du début de saison, l’accession en N1. Une mission à laquelle les Ajacciennes se sont attelées durant la première moitié de l’exercice (7 victoires, un nul et une défaite jusqu’à la fin novembre). Avant de connaître une période délicate et coûteuse dans la course à l’accession. De fait, les « bianche è nere » du HAC peuvent se mordre les doigts d’avoir très mal négocié la reprise en janvier avec une série de deux défaites à Nice et Cannes et un nul à la maison face à Plan-de-Cuques. Trois contre-performances qui ont rétrogradé le club à la seconde place au profit de Mazan, longtemps au coude-à-coude mais qui s’est installé en tête de la poule sans jamais rien lâché. « On est resté plus de deux mois sans jouer, déplore-t-on du côté dirigeant, il a fallu garder les filles sous pression, s’entraîner mais rien ne remplace la compétition. Derrière, on a certainement manqué de punch à Nice où l’on s’incline d’un point à la dernière seconde et Cannes. » Sur les matchs suivants, les Ajacciennes ont fait le boulot (six victoires et une défaite) mais le revers à Mazan dans un match à six points les a privées de rester dans la course à la N1. Deux journées restent encore à disputer, « mais nous voyons mal Mazan lâcher », l’occasion pour les filles de Jérémy Grisel, de faire le point même si cela ne devrait pas, sauf miracle, (rétrogradation financière de N1), influer sur le résultat final. Un exercice toutefois positif dans l’ensemble avec l’intégration de plusieurs jeunes formées au club qui constituent l’avenir : Camille Lambert, Manon Auguet, Chjara Romiti, Cheyenne Bourlier, Marylou Dellepiani ou encore Justine Bidou-Pinelli. De quoi préparer l’avenir avec sérénité. Des jeunes qui, ajoutées à l’actuelle ossature qui devrait rempiler, pourrait permettre au HAC de se mêler de nouveau à la course à l’accession.
Philippe Peraut
Encadré
