Football : ACA : La saison de tous les records !
L'accession du club ajaccien en ligue 1, ......
ACA : la saison de tous les records !
L’accession du club ajaccien en Ligue 1, la troisième en deux décennies, marque une étape importante dans l’histoire du club. Un exercice en tout point remarquable avec des records qu’il sera difficile à battre…
L’ACA en Ligue 1 avec le 12e budget cette saison, qui l’eût cru ? Si l’on feuillette page à page cette fabuleuse aventure 2021-2022, on mesure combien, d’entrée de jeu, cette saison était exceptionnelle. Un groupe quasiment inchangé à l’exception d’Oumar Gonzalez et Clément Vidal auxquels s’ajoutaient Yanis Cimignani, pur produit du club. Un effectif donc quasi-identique à celui de l’année écoulée où l’ACA avait terminé 13e
(46 points), sauvé à quelques journées seulement de la fin.
De fait, la force de ce groupe 2021-2022 s’est vérifiée sur le terrain dès le preOnmier match à Toulouse avec plus d’une mi-temps à dix contre onze. La suite ? Une grande force collective animée par un mental à toute épreuve qui va jalonner jusqu’à samedi dernier les « bianchi è rossi » et permettre à ce groupe de s’installer en haut du classement, dans le top cinq quasiment dès le début et ne connaître sa première défaite qu’au soir de la 10e journée à Furiani. On a senti, d’entrée, même si nombre de ses détracteurs pensaient l’ACA en surrégime, que le groupe était bâti pour jouer les premiers rôles dans la compétition. Une caractéristique qui s’est, bien sûr, vérifiée au fil des matchs. Et le titre, certes honorifique, de champion d’automne acquis en décembre au soir de la victoire sur Grenoble, l’attestait.
23 clean-sheet
Il est vrai que l’ACA a connu deux coups de mou lors de la seconde partie de la saison, le premier dès la reprise (un point sur douze entre le 24 janvier et le 12 février) et le second mi mars (défaite face au Sporting et nul face à Quevilly). Pour le reste, la bande à Pantaloni a réalisé un parcours digne d’un champion (sept victoires et deux nuls sur les neuf derniers matchs). Une constance qui a permis au club de connaître une nouvelle accession, vingt ans, quasiment jour pour jour après le sacre de 2002 et neuf ans après celle de 2011. Et si l’on s’y penche de plus près, cette aventure marque un temps fort dans l’histoire de l’ACA. Une saison de tous les records. Record en termes de nombre de points (75 contre 72 en 2002), en termes d’affluence (7500 spectateurs en août 2013 face à Saint-Etienne en Ligue 1 et 6500 en janvier 2015 en Ligue 2 face au GFCA) et surtout en termes de solidité défensive. Contre le Téfécé, l’ACA a signé son 23e
clean-sheet de la saison et termine l’exercice avec 19 buts encaissés (le dernier record était de 21 buts), ce qui en fait un record européen. À cela, s’ajoute une ferveur enfin retrouvée à Timizolu et bien sûr, l’intégration, dans le groupe, de jeunes formés au club (Diallo, Sollacaro, El Idrissy, Cimignani, Arconte pour ce qui est des pros…) et une politique qui porte ses fruits avec le maintien aisé de l’équipe réserve, des U19 par ailleurs quarts de finaliste de la coupe Gambardella et une autre fabuleuse épopée, celle, cette fois, des U17, vainqueurs de leur poule et qui participent à la phase finale du championnat de France. Autant de paramètres qui portent à croire que, quoiqu’il arrive la saison prochaine en Ligue 1, l’ACA poursuit sa structuration et se pérennise. Et c’est là l’essentiel.
L’accession du club ajaccien en Ligue 1, la troisième en deux décennies, marque une étape importante dans l’histoire du club. Un exercice en tout point remarquable avec des records qu’il sera difficile à battre…
L’ACA en Ligue 1 avec le 12e budget cette saison, qui l’eût cru ? Si l’on feuillette page à page cette fabuleuse aventure 2021-2022, on mesure combien, d’entrée de jeu, cette saison était exceptionnelle. Un groupe quasiment inchangé à l’exception d’Oumar Gonzalez et Clément Vidal auxquels s’ajoutaient Yanis Cimignani, pur produit du club. Un effectif donc quasi-identique à celui de l’année écoulée où l’ACA avait terminé 13e
(46 points), sauvé à quelques journées seulement de la fin.
De fait, la force de ce groupe 2021-2022 s’est vérifiée sur le terrain dès le preOnmier match à Toulouse avec plus d’une mi-temps à dix contre onze. La suite ? Une grande force collective animée par un mental à toute épreuve qui va jalonner jusqu’à samedi dernier les « bianchi è rossi » et permettre à ce groupe de s’installer en haut du classement, dans le top cinq quasiment dès le début et ne connaître sa première défaite qu’au soir de la 10e journée à Furiani. On a senti, d’entrée, même si nombre de ses détracteurs pensaient l’ACA en surrégime, que le groupe était bâti pour jouer les premiers rôles dans la compétition. Une caractéristique qui s’est, bien sûr, vérifiée au fil des matchs. Et le titre, certes honorifique, de champion d’automne acquis en décembre au soir de la victoire sur Grenoble, l’attestait.
23 clean-sheet
Il est vrai que l’ACA a connu deux coups de mou lors de la seconde partie de la saison, le premier dès la reprise (un point sur douze entre le 24 janvier et le 12 février) et le second mi mars (défaite face au Sporting et nul face à Quevilly). Pour le reste, la bande à Pantaloni a réalisé un parcours digne d’un champion (sept victoires et deux nuls sur les neuf derniers matchs). Une constance qui a permis au club de connaître une nouvelle accession, vingt ans, quasiment jour pour jour après le sacre de 2002 et neuf ans après celle de 2011. Et si l’on s’y penche de plus près, cette aventure marque un temps fort dans l’histoire de l’ACA. Une saison de tous les records. Record en termes de nombre de points (75 contre 72 en 2002), en termes d’affluence (7500 spectateurs en août 2013 face à Saint-Etienne en Ligue 1 et 6500 en janvier 2015 en Ligue 2 face au GFCA) et surtout en termes de solidité défensive. Contre le Téfécé, l’ACA a signé son 23e
clean-sheet de la saison et termine l’exercice avec 19 buts encaissés (le dernier record était de 21 buts), ce qui en fait un record européen. À cela, s’ajoute une ferveur enfin retrouvée à Timizolu et bien sûr, l’intégration, dans le groupe, de jeunes formés au club (Diallo, Sollacaro, El Idrissy, Cimignani, Arconte pour ce qui est des pros…) et une politique qui porte ses fruits avec le maintien aisé de l’équipe réserve, des U19 par ailleurs quarts de finaliste de la coupe Gambardella et une autre fabuleuse épopée, celle, cette fois, des U17, vainqueurs de leur poule et qui participent à la phase finale du championnat de France. Autant de paramètres qui portent à croire que, quoiqu’il arrive la saison prochaine en Ligue 1, l’ACA poursuit sa structuration et se pérennise. Et c’est là l’essentiel.
