Macron, un culot sans Borne
NDiaye au gouvernement, c'est Iggy Pop au club Dorothée.
Macron, un culot sans Borne
NDiaye au gouvernement, c’est Iggy Pop au Club Dorothée. Abad the Bad, au centre du dan-cefloor, débrouille une embrouille sur la lambada de l’été. Macron en politicard invertébré rejoue le « si on ne fait pas campagne, on gagne. » Devant cette fresque de la Renaissance, les électeurs au bord de l’indigestion se détourneront encore des urnes. Ils seront à la ren-trée, le ventre et le réservoir vides, dans la rue. Pour la castagne.
Où sont les femmes ?
Un mois, un mois pour caser une dame à Matignon. Tous les chiens de garde du Président arpentent les boulevards pour choper la femme fatale au lasso. C’est qu’il fait un caprice Macron. Il y tient à sa gonzesse. D’ailleurs, je n’ai pas compris pourquoi il n’a pas mis sa femme à Matignon. Elle coche pourtant toutes les cases. Aucun doute, c’est une femme, elle a de l’expérience, ils s’entendent bien. Matignon ce n’est pas l’ambassade de France au Mozambique, c’est à 3 gestes barrière de l’Elysée. S'ils montent sur le toit des deux hôtels particuliers, ils peuvent se faire coucou. Il peut même croire, à cette distance, que c’est Mireille Darc qui lui fait coucou.
Un mois pour trouver Elisabeth Morne,c’est dépasser les bornes.
Elle n’était pas dans les plaines du Far-West, il la voyait tous les mercredis pour le Conseil. C’est peut-être ça qui le fait hésiter si longtemps. Se la taper plusieurs fois par jour au téléphone...il préfère l’horloge parlante. Mon dieu, mon dieu, pensez au personnel de Matignon. Ils se sont cassés le ventre pendant deux ans avec Jean Carambar Castex. Là, ils se gavent de Décontractyl pour supporter le jet-lag thermique. Et les syndicalistes. Poh poh poh, ils se sont farcis la Bornée sur les réformes de la SNCF et de l’allocation chômage. Elle ne lâche rien cette pince, elle tisse sa toile. Comme un roi mage en Galilée, Laurent Berger suivait des yeux sa bonne étoile filer. Martinez ne savait plus comment il s’appelait. Ramirez, Fernandez, il cherche encore. SUD, ils négociaient avec une boussole. Les autres ministres, quand ils ont SUD au cul, ils balisent. Elle, elle faisait un sudoku.
Macron recrute le seul NDiaye qui ne joue pas au ballon.
Mais qui met but sur but dans le wokisme et l’indigénisme. Le malheureux se prend sur la couenne de tels tombereaux de critiques, qu’il est préférable de le lire pour se faire une idée. Après lecture, tout ça ne casse pas trois pattes à un anar. En tant qu’universitaire, il a manifesté un intérêt intellectuel pour ces thèses. Où est le problème. En tant que métis, il a été sensibilisé au sort des minorités. Rien de plus naturel. Là où Macron attaque la chicane en slip, c’est sur l’universalisme républicain. Son nouveau buteur écrit, pour faire court, que la France est structurellement raciste. Via notamment, mais pas seulement, ses sympathies envers Assa Traoré et ses dénonciations des violences policières. Ce qui pourrait poser un problème à Darmanin au mois d’octobre, quand les pavés vont se remettre à voler. A moins que le bougre, finalement plus blanc que noir, laisse, au profit de sa carrière, ses convictions au vestiaire.
Pour remercier Sarko, Macron garde Dupont.
C’est qu’il a besoin de son ministre de la justice, Paul Bismuth. Il n’en a pas fini avec ses sarkonneries. Et puis il a bien bossé. Plomber à ce point Pécresse, planter son parti en rase campagne, tout ça mérite un sucre d’orge. Macron et Sarkozy, ces deux faisans sont faits pour voler ensemble. Qu'apprend-on par la presse espagnole? Que l’émir du Qatar a missionné Macron, via son obligé Sarko, pour convaincre M’Bappé de rester au PSG. Putain, quand on lit des trucs pareils on fait quoi? Soit on vote Poutou, soit on intègre un black-block engatsé, soit on balance tout ce qui nous relie à la société et on s’enfonce dans une grotte avec l’intégrale de Gomorra. A voir des voyous, autant voir ceux qui les mettent sur la table.
« Damien Abad, ministre du « cul(te). »
Le nouveau Ministre du Handicap et des Solidarités. Si personne ne conteste ses compétences en matière de handicap, question solidarité ce coco est un drôle d’oiseau. Tout LR remarque son agitation frénétique au soir du premier tour. Et le somme de démissionner. Ce faux-jeton attend la veille de sa nomination pour s’exécuter. A peine installé, deux plaintes pour viol et agression sexuelle lui tombent sur le râble. Pour sa défense, il se réfugie derrière son handicap. « Même si je veux...je peux pas.» Pas de bras, pas de chocolat. Un remix du viol de Monique (Coluche). « Monsieur le juge, je vous fais remarquer que le viol c’est quand on veut pas. Moi je voulais! »
Le Macron nouveau est bouchonné.
Il se garde Véran, la seringue de piquette. Quand Chirac avait proposé un ministère à André Rossinot, il lui avait dit: « tu es gros, tu aimes manger, tu seras Ministre des relations avec le Parlement. » Macron le grossophobe, enquille Véran l’anguille, qui dépose son pichet de Pfizer sur les plus belles tables de la République. De quoi mettre Larcher aux poireaux vinaigrette.
• Sgaiuffu
NDiaye au gouvernement, c’est Iggy Pop au Club Dorothée. Abad the Bad, au centre du dan-cefloor, débrouille une embrouille sur la lambada de l’été. Macron en politicard invertébré rejoue le « si on ne fait pas campagne, on gagne. » Devant cette fresque de la Renaissance, les électeurs au bord de l’indigestion se détourneront encore des urnes. Ils seront à la ren-trée, le ventre et le réservoir vides, dans la rue. Pour la castagne.
Où sont les femmes ?
Un mois, un mois pour caser une dame à Matignon. Tous les chiens de garde du Président arpentent les boulevards pour choper la femme fatale au lasso. C’est qu’il fait un caprice Macron. Il y tient à sa gonzesse. D’ailleurs, je n’ai pas compris pourquoi il n’a pas mis sa femme à Matignon. Elle coche pourtant toutes les cases. Aucun doute, c’est une femme, elle a de l’expérience, ils s’entendent bien. Matignon ce n’est pas l’ambassade de France au Mozambique, c’est à 3 gestes barrière de l’Elysée. S'ils montent sur le toit des deux hôtels particuliers, ils peuvent se faire coucou. Il peut même croire, à cette distance, que c’est Mireille Darc qui lui fait coucou.
Un mois pour trouver Elisabeth Morne,c’est dépasser les bornes.
Elle n’était pas dans les plaines du Far-West, il la voyait tous les mercredis pour le Conseil. C’est peut-être ça qui le fait hésiter si longtemps. Se la taper plusieurs fois par jour au téléphone...il préfère l’horloge parlante. Mon dieu, mon dieu, pensez au personnel de Matignon. Ils se sont cassés le ventre pendant deux ans avec Jean Carambar Castex. Là, ils se gavent de Décontractyl pour supporter le jet-lag thermique. Et les syndicalistes. Poh poh poh, ils se sont farcis la Bornée sur les réformes de la SNCF et de l’allocation chômage. Elle ne lâche rien cette pince, elle tisse sa toile. Comme un roi mage en Galilée, Laurent Berger suivait des yeux sa bonne étoile filer. Martinez ne savait plus comment il s’appelait. Ramirez, Fernandez, il cherche encore. SUD, ils négociaient avec une boussole. Les autres ministres, quand ils ont SUD au cul, ils balisent. Elle, elle faisait un sudoku.
Macron recrute le seul NDiaye qui ne joue pas au ballon.
Mais qui met but sur but dans le wokisme et l’indigénisme. Le malheureux se prend sur la couenne de tels tombereaux de critiques, qu’il est préférable de le lire pour se faire une idée. Après lecture, tout ça ne casse pas trois pattes à un anar. En tant qu’universitaire, il a manifesté un intérêt intellectuel pour ces thèses. Où est le problème. En tant que métis, il a été sensibilisé au sort des minorités. Rien de plus naturel. Là où Macron attaque la chicane en slip, c’est sur l’universalisme républicain. Son nouveau buteur écrit, pour faire court, que la France est structurellement raciste. Via notamment, mais pas seulement, ses sympathies envers Assa Traoré et ses dénonciations des violences policières. Ce qui pourrait poser un problème à Darmanin au mois d’octobre, quand les pavés vont se remettre à voler. A moins que le bougre, finalement plus blanc que noir, laisse, au profit de sa carrière, ses convictions au vestiaire.
Pour remercier Sarko, Macron garde Dupont.
C’est qu’il a besoin de son ministre de la justice, Paul Bismuth. Il n’en a pas fini avec ses sarkonneries. Et puis il a bien bossé. Plomber à ce point Pécresse, planter son parti en rase campagne, tout ça mérite un sucre d’orge. Macron et Sarkozy, ces deux faisans sont faits pour voler ensemble. Qu'apprend-on par la presse espagnole? Que l’émir du Qatar a missionné Macron, via son obligé Sarko, pour convaincre M’Bappé de rester au PSG. Putain, quand on lit des trucs pareils on fait quoi? Soit on vote Poutou, soit on intègre un black-block engatsé, soit on balance tout ce qui nous relie à la société et on s’enfonce dans une grotte avec l’intégrale de Gomorra. A voir des voyous, autant voir ceux qui les mettent sur la table.
« Damien Abad, ministre du « cul(te). »
Le nouveau Ministre du Handicap et des Solidarités. Si personne ne conteste ses compétences en matière de handicap, question solidarité ce coco est un drôle d’oiseau. Tout LR remarque son agitation frénétique au soir du premier tour. Et le somme de démissionner. Ce faux-jeton attend la veille de sa nomination pour s’exécuter. A peine installé, deux plaintes pour viol et agression sexuelle lui tombent sur le râble. Pour sa défense, il se réfugie derrière son handicap. « Même si je veux...je peux pas.» Pas de bras, pas de chocolat. Un remix du viol de Monique (Coluche). « Monsieur le juge, je vous fais remarquer que le viol c’est quand on veut pas. Moi je voulais! »
Le Macron nouveau est bouchonné.
Il se garde Véran, la seringue de piquette. Quand Chirac avait proposé un ministère à André Rossinot, il lui avait dit: « tu es gros, tu aimes manger, tu seras Ministre des relations avec le Parlement. » Macron le grossophobe, enquille Véran l’anguille, qui dépose son pichet de Pfizer sur les plus belles tables de la République. De quoi mettre Larcher aux poireaux vinaigrette.
• Sgaiuffu
