Le big Bazar
Ce président réversible à souhait insupporte tous ses partenaires à l'international
Le Big Bazar
Ce Président réversible à souhait insupporte tous ses partenaires à
l’international. Son « en même temps » putassier s’est très vite heurté au
manichéisme propre au sale temps de la guerre. Dans l’hexagone, ça eut
marché, ça ne fonctionne plus. Sa chance insolente s’est fait la malle. Quand la
main passe la loose s’installe. Référendum, dissolution, démission, ça part dans
tous les sens.
À la recherche du compromis entre faux-amis
. Cap sur 2027, les loups sont aussi
féroces et voraces à l’Assemblée que dans le Mercantour. Le verdict des urnes a
des parfums de proportionnelle. Macron s’ouvre un bordel au Palais Bourbon, et
personne ne croit Borne capable de tenir la porte, le comptoir et la Chambre des
députés. Elle a un bon profil pour mener un projet de loi sur l’euthanasie ou le
suicide assisté, mais elle est à 1000 bornes de pouvoir gérer la fête à neuneu qui
plante son chapiteau dans l’hémicycle. Le fiasco 100% imputable au Président,
entame son autorité sur les troupes, et le groupe peut partir en sucette.
Ferrandet Castaner payent la facture de l’arrogance pour l’un, des éborgnés pour l’autre.
Véran parti piquer (quoi !) un somme (ouf !) au Parlement, voit son ministère
devenir essentiel, pivot du compromis. Entre son haleine à l’éther et son
charisme de bloc opératoire, ça va pas le faire. Les réformes arpentent un champ
de mines.
En ouvrant la fenêtre, Macron renifle déjà l’arôme du bitume
incandescent, l’odeur de merguez des ronds-points et le souffle du plus parigot
des pavés. Pour s’en sortir il doit se réinventer un nouveau piège à cons. A ce
propos, le Bayrou des champs monte à la ville, ses oreilles battent à décoller pour
un Pau-Matignon. Il flingue Borne dès potron-minet et son lobbying décomplexé
finit par peser. Philippe fait entendre sa partition mais la joue plus fine. Sarkozy,
porte-avions du Président dans le marigot de la droite, est grillé pour débaucher
du LR. En ne faisant plus peur à personne il perd son influence donc son utilité.
Banzaï !
Cet équipage de pompes regorge de promesses à grand spectacle. Pour
les Insoumis affranchis d’un leader en pré-retraite, la succession est ouverte.
Adrien brosse rouge a l’épaisseur capillaire du lauréat. La course à celui ou celle
qui sera le plus dingo ou la plus dingue est indécise. Une Rousseau au potentiel
hors norme a les faveurs des bookmakers. Obono et Garrido sont en embuscade.
C’est pas très paritaire, mais dans ce pool la gazelle mange la feuille avant le
mâle. Le bon sens terrien des cocos les incite à ne perdre ni le Pas de Calais ni le
pas-de-porte. Quant aux écolos, aussi compatibles avec la nature que doués pour
la politique, ils vont alimenter le pataquès par leur soif de motions extra-
terrestres. Les socialos, dociles passagers du LFI Safari Circus, sont bientôt mort
et profondément enterrés. Bref, autant la dernière Assemblée était triste à
pleurer, autant celle-ci invite à s’armer de chocolats glacés avant la séance.
Chez LR, la béquille ou le plat de lentilles.
La nouvelle génération a enfin coupé le cordon mortifère la reliant au nombrilisme de Sarko. Macron peut y débaucher
quatre ou cinq margoulins, surtout s’il met un Ministère dans la balance à
lentilles. Mais l’intérêt du Parti c'est de cultiver son indépendance. Et servir de
béquille à Macron sur la retraite à 65 ans. Pour l’envoyer dans le mur. Macron
pas la béquille.
Au RN,de l’épicerie à la grande surface.
Merci patron, merci Macron, vous le savez gavés ces cons. Sa première promesse, en 2017, c’était de concasser le RN
en miettes. 89 beaufs sont entrés à l’Assemblée, le Q.I. dans les chaussettes. Ça
nous promet encore de la blonde en 2027. Avec un mandat pourri à vivre, la
méchante fiction est pour la première fois méchamment réaliste. Collard et ceux
qui ont déserté le bidet, pensant affréter un paquebot de croisière avec
Zemmour, doivent se manger les doigts en sauce ;
Et ces blaireaux qui font la leçon aux abstentionnistes, avec comme argument
massue un tissu de banalités et de bondieuseries. Ils sont morts pour le droit de
vote les gentils, tirelipimpon sur le chihuahua les méchants. Amen. Combien de
morts par la faute de ceux qui votent. Par la faute de ceux qui se les sentent
pousser dans le secret de l’isoloir. Dans l’histoire récente de l’humanité c’est
énorme. Ils feraient mieux de faire la leçon à Macron, aux sévèrement burnés
qui tiennent le manche. Ou se demander si la démocratie française est le
meilleur des systèmes. Là, ils feraient pipi plus loin que leurs tongs.
Mesdames, évitez de passer par Oyonnax.
On y vote à 60% pour Babe Abad le cochon. Malgré un déluge de flashs sur la pince, le phacochère a glissé son
bulletin dans la fente de l’urne. Un coup de maitre, sans trembler, le geste précis.
Alors plaider que pour mettre une main au panier, il lui faut l’aide d’Europe-
Assistance, ça ne tient plus la route des sens. Décidemment Lucky Macron est
devenu plus noir qu’un looser de Silésie. Il pensait enjamber les législatives
comme les présidentielles. En laissant le soin aux électeurs de blackbouler
l’oiseau noir. Mais dans la 5eme circo de l’Ain, les mouches font du miel et les
cochons votent.
• Sgaiuffu
Ce Président réversible à souhait insupporte tous ses partenaires à
l’international. Son « en même temps » putassier s’est très vite heurté au
manichéisme propre au sale temps de la guerre. Dans l’hexagone, ça eut
marché, ça ne fonctionne plus. Sa chance insolente s’est fait la malle. Quand la
main passe la loose s’installe. Référendum, dissolution, démission, ça part dans
tous les sens.
À la recherche du compromis entre faux-amis
. Cap sur 2027, les loups sont aussi
féroces et voraces à l’Assemblée que dans le Mercantour. Le verdict des urnes a
des parfums de proportionnelle. Macron s’ouvre un bordel au Palais Bourbon, et
personne ne croit Borne capable de tenir la porte, le comptoir et la Chambre des
députés. Elle a un bon profil pour mener un projet de loi sur l’euthanasie ou le
suicide assisté, mais elle est à 1000 bornes de pouvoir gérer la fête à neuneu qui
plante son chapiteau dans l’hémicycle. Le fiasco 100% imputable au Président,
entame son autorité sur les troupes, et le groupe peut partir en sucette.
Ferrandet Castaner payent la facture de l’arrogance pour l’un, des éborgnés pour l’autre.
Véran parti piquer (quoi !) un somme (ouf !) au Parlement, voit son ministère
devenir essentiel, pivot du compromis. Entre son haleine à l’éther et son
charisme de bloc opératoire, ça va pas le faire. Les réformes arpentent un champ
de mines.
En ouvrant la fenêtre, Macron renifle déjà l’arôme du bitume
incandescent, l’odeur de merguez des ronds-points et le souffle du plus parigot
des pavés. Pour s’en sortir il doit se réinventer un nouveau piège à cons. A ce
propos, le Bayrou des champs monte à la ville, ses oreilles battent à décoller pour
un Pau-Matignon. Il flingue Borne dès potron-minet et son lobbying décomplexé
finit par peser. Philippe fait entendre sa partition mais la joue plus fine. Sarkozy,
porte-avions du Président dans le marigot de la droite, est grillé pour débaucher
du LR. En ne faisant plus peur à personne il perd son influence donc son utilité.
Banzaï !
Cet équipage de pompes regorge de promesses à grand spectacle. Pour
les Insoumis affranchis d’un leader en pré-retraite, la succession est ouverte.
Adrien brosse rouge a l’épaisseur capillaire du lauréat. La course à celui ou celle
qui sera le plus dingo ou la plus dingue est indécise. Une Rousseau au potentiel
hors norme a les faveurs des bookmakers. Obono et Garrido sont en embuscade.
C’est pas très paritaire, mais dans ce pool la gazelle mange la feuille avant le
mâle. Le bon sens terrien des cocos les incite à ne perdre ni le Pas de Calais ni le
pas-de-porte. Quant aux écolos, aussi compatibles avec la nature que doués pour
la politique, ils vont alimenter le pataquès par leur soif de motions extra-
terrestres. Les socialos, dociles passagers du LFI Safari Circus, sont bientôt mort
et profondément enterrés. Bref, autant la dernière Assemblée était triste à
pleurer, autant celle-ci invite à s’armer de chocolats glacés avant la séance.
Chez LR, la béquille ou le plat de lentilles.
La nouvelle génération a enfin coupé le cordon mortifère la reliant au nombrilisme de Sarko. Macron peut y débaucher
quatre ou cinq margoulins, surtout s’il met un Ministère dans la balance à
lentilles. Mais l’intérêt du Parti c'est de cultiver son indépendance. Et servir de
béquille à Macron sur la retraite à 65 ans. Pour l’envoyer dans le mur. Macron
pas la béquille.
Au RN,de l’épicerie à la grande surface.
Merci patron, merci Macron, vous le savez gavés ces cons. Sa première promesse, en 2017, c’était de concasser le RN
en miettes. 89 beaufs sont entrés à l’Assemblée, le Q.I. dans les chaussettes. Ça
nous promet encore de la blonde en 2027. Avec un mandat pourri à vivre, la
méchante fiction est pour la première fois méchamment réaliste. Collard et ceux
qui ont déserté le bidet, pensant affréter un paquebot de croisière avec
Zemmour, doivent se manger les doigts en sauce ;
Et ces blaireaux qui font la leçon aux abstentionnistes, avec comme argument
massue un tissu de banalités et de bondieuseries. Ils sont morts pour le droit de
vote les gentils, tirelipimpon sur le chihuahua les méchants. Amen. Combien de
morts par la faute de ceux qui votent. Par la faute de ceux qui se les sentent
pousser dans le secret de l’isoloir. Dans l’histoire récente de l’humanité c’est
énorme. Ils feraient mieux de faire la leçon à Macron, aux sévèrement burnés
qui tiennent le manche. Ou se demander si la démocratie française est le
meilleur des systèmes. Là, ils feraient pipi plus loin que leurs tongs.
Mesdames, évitez de passer par Oyonnax.
On y vote à 60% pour Babe Abad le cochon. Malgré un déluge de flashs sur la pince, le phacochère a glissé son
bulletin dans la fente de l’urne. Un coup de maitre, sans trembler, le geste précis.
Alors plaider que pour mettre une main au panier, il lui faut l’aide d’Europe-
Assistance, ça ne tient plus la route des sens. Décidemment Lucky Macron est
devenu plus noir qu’un looser de Silésie. Il pensait enjamber les législatives
comme les présidentielles. En laissant le soin aux électeurs de blackbouler
l’oiseau noir. Mais dans la 5eme circo de l’Ain, les mouches font du miel et les
cochons votent.
• Sgaiuffu
