OZIN / Un premier single début juillet
Le destin musical de Ghjvanu et Micka
Ozin : le destin musical de Ghjuvanu et Micka
Ce duo constitué de deux jeunes ajacciens sort son premier single début juillet. En attendant, il se produit dans de nombreux lieux de la Cité Impériale, Porticcio et même, de temps à autre, à Paris. L’occasion de se pencher sur leur parcours prometteur…
« Ozin » est comme chacun le sait, de surcroît dans le milieu des jeunes, le diminutif de « o cousin ». et c’est ainsi que Ghjuvanu Peraut et Michael Antoni s’appellent depuis leur adolescence. Une logique puisqu’en dépit d’un mot à la mode, ils sont réellement cousins germains et partagent, ayant, enfants, été quasiment élevés ensemble, bien des moments depuis qu’ils sont adultes. Passionnés, avec des parents chanteurs et musiciens, de chant, ils grattent depuis déjà pas mal d’années. Seize pour Micka, vingt pour Ghjù. Et c’est, de fait, depuis trois ans, la rencontre fortuite lors d’une soirée de Guillaume Banet et, un peu plus tard, de Maxime Aubert, qui a tout précipité. Bien connus dans le milieu artistique, les deux hommes ont déjà une sacrée carte de visite. Musicien et compositeur, le premier est un directeur artistique renommé au niveau national. Quant au second, il écrit et compose également. Et comme Ghjuvanu et Michael ne se déplacent jamais sans leur guitare, l’osmose a été parfaite... « On a été séduit par leur voix, explique Guillaume, tant le timbre que l’expression musicale. Cela nous a donné l’idée de travailler avec eux. »
Près de cent concerts
C’est ainsi que depuis plus de deux ans, les deux cousins travaillent intensément en dehors de leur activité professionnelle afin de développer leur talent. Voix, instrument, cours, rien ne manque. Guillaume et Maxime, eux, n’ont pas hésité à faire ponctuellement le déplacement avec du matériel afin de peaufiner le travail. Un travail intense, parfois de plusieurs heures par jour. Parallèlement, Ghjù et Mickà se produisent à Ajaccio, Porticcio et même jusqu’à Paris et reprennent, sous l’appellation que l’on connaît, les grands classiques de la chanson française, anglaise, corse et italienne, en y ajoutant parfois une touche personnelle. À tel point qu’ils totalisent déjà près d’une centaine de concerts…
Vers un premier album
Un parcours prometteur qui a convaincu Guillaume Banet et Maxime Aubert, lesquels ont misé sur le duo, composé et écrit une dizaine de titres dans un registre musical dans le vent artistique de ce qui se fait actuellement. De cette passion et à force de travail, un premier single « Les montagnes » écrit et composé par Maxime Aubert sort début juillet. Il mettra en exergue le talent mais surtout le travail des deux artistes. D’autres titres sont d’ores et déjà prêts comme « L’écorce », « Les filles de mon pays » (adaptation de la célèbre chanson d’Enrico Macias), « Quand t’es pas là » ou encore une autre reprise, mythique celle-là « Life is life ». Un premier album devrait, si tout va bien, sortir début janvier. En attendant, les deux cousins poursuivent leur passion sans se prendre la tête. « Chanter, c’est notre ADN, soulignent-ils, on prend du plaisir avant tout, c’est là l’essentiel. »
Deux jeunes hommes dans le vent qui ont tous les atouts pour faire parler d’eux.
Ph. A.
Ce duo constitué de deux jeunes ajacciens sort son premier single début juillet. En attendant, il se produit dans de nombreux lieux de la Cité Impériale, Porticcio et même, de temps à autre, à Paris. L’occasion de se pencher sur leur parcours prometteur…
« Ozin » est comme chacun le sait, de surcroît dans le milieu des jeunes, le diminutif de « o cousin ». et c’est ainsi que Ghjuvanu Peraut et Michael Antoni s’appellent depuis leur adolescence. Une logique puisqu’en dépit d’un mot à la mode, ils sont réellement cousins germains et partagent, ayant, enfants, été quasiment élevés ensemble, bien des moments depuis qu’ils sont adultes. Passionnés, avec des parents chanteurs et musiciens, de chant, ils grattent depuis déjà pas mal d’années. Seize pour Micka, vingt pour Ghjù. Et c’est, de fait, depuis trois ans, la rencontre fortuite lors d’une soirée de Guillaume Banet et, un peu plus tard, de Maxime Aubert, qui a tout précipité. Bien connus dans le milieu artistique, les deux hommes ont déjà une sacrée carte de visite. Musicien et compositeur, le premier est un directeur artistique renommé au niveau national. Quant au second, il écrit et compose également. Et comme Ghjuvanu et Michael ne se déplacent jamais sans leur guitare, l’osmose a été parfaite... « On a été séduit par leur voix, explique Guillaume, tant le timbre que l’expression musicale. Cela nous a donné l’idée de travailler avec eux. »
Près de cent concerts
C’est ainsi que depuis plus de deux ans, les deux cousins travaillent intensément en dehors de leur activité professionnelle afin de développer leur talent. Voix, instrument, cours, rien ne manque. Guillaume et Maxime, eux, n’ont pas hésité à faire ponctuellement le déplacement avec du matériel afin de peaufiner le travail. Un travail intense, parfois de plusieurs heures par jour. Parallèlement, Ghjù et Mickà se produisent à Ajaccio, Porticcio et même jusqu’à Paris et reprennent, sous l’appellation que l’on connaît, les grands classiques de la chanson française, anglaise, corse et italienne, en y ajoutant parfois une touche personnelle. À tel point qu’ils totalisent déjà près d’une centaine de concerts…
Vers un premier album
Un parcours prometteur qui a convaincu Guillaume Banet et Maxime Aubert, lesquels ont misé sur le duo, composé et écrit une dizaine de titres dans un registre musical dans le vent artistique de ce qui se fait actuellement. De cette passion et à force de travail, un premier single « Les montagnes » écrit et composé par Maxime Aubert sort début juillet. Il mettra en exergue le talent mais surtout le travail des deux artistes. D’autres titres sont d’ores et déjà prêts comme « L’écorce », « Les filles de mon pays » (adaptation de la célèbre chanson d’Enrico Macias), « Quand t’es pas là » ou encore une autre reprise, mythique celle-là « Life is life ». Un premier album devrait, si tout va bien, sortir début janvier. En attendant, les deux cousins poursuivent leur passion sans se prendre la tête. « Chanter, c’est notre ADN, soulignent-ils, on prend du plaisir avant tout, c’est là l’essentiel. »
Deux jeunes hommes dans le vent qui ont tous les atouts pour faire parler d’eux.
Ph. A.