A star is Borne
Le gouvernement Borne 2 voit le jour dans une atmosphère crépusculaire.
A star is Borne
Le gouvernement Borne 2 voit le jour dans une atmosphère crépusculaire. Au beau milieu d’un malaise où les affaires d’État font pschitt et les affaires de cul prospèrent, la mandature a des allures de fin de race, de fin de règne. À la gauche de l’hémicycle, les barjots débordent d’agitation pour saborder le Régime. À la droite, les vautours font les canards et attendent leur tour. Au centre, la guerre de succession est ouverte. La Vème République, jamais confrontée à un bordel aussi bien organisé, livre ses dernières résistances.
Sex machine.
Darmanin, Hulot, Griveau, Abad, Rastapopoulos... On fait la chenille dans les arcanes du pouvoir. Même la gynéco du gouvernement, son sang grec faisant demi-tour, attaquerait la feuille de vigne avec la brutalité d’une catapulte sur l’Acropole. Bon, c’est vrai que Macron s’est retrouvé en paréo au milieu du tsunami Balance ton Cochon à la mer. Mais quand même. Soit le Renseignement atteint de Covid long ne sent plus rien venir. Soit la lubricité est devenue l’avatar incontournable de cet univers consanguin. Un tel carambolage, d’histoires plus ou moins sordides, éclaire sur les mœurs des fondus de pouvoir. Mais à ce rythme, on va dépayser le Conseil des Ministres au 1 rue Thérèse 75001 Paris, haut-lieu de la partouze républicaine.
Darkmanin les tient par les burn’s.
Borne n’en voulait plus, Macron l’a maintenu. Comment un Président aussi chatouilleux sur son image à l’étranger, peut garder à l’Intérieur celui qui flingue depuis deux mois la crédibilité d’un pays. Si ce n’est qu’en digne héritier de Charles Pasqua et de Nicolas Sarkozy, le Dark a mis à profit son sit-in à Beauvau pour accumuler des dossiers sur la classe politique. Il est légitime de se poser la question, tant son bilan est boursoufflé par les bavures, l’incompétence et le bobard. Pour récompenser le fiasco on élargit son portefeuille à l’Outre-Mer, manifestant en l’espèce, un mépris souverain pour les ultra-marins. Cornaqué par les cow-boys d’Alliance, délesté d’un Dupont fantomatique, surprotégé par Macron, les coups de menton de l’ectoplasme vont exploser son découvert en humanité.
Veran exfiltré de l’Ile aux Serpents.
Il était urgent de dégager l’anthropophage du Parlement. L’Assemblée va devenir le théâtre d’un vaudeville gore, il était donc inutile de rajouter de l’hémoglobine à ce jeu de massacre. Mais Macron ne se débarrasse pas pour autant du vampire. Les inavouables secrets de la crise Covid en ont fait deux frères siamois, aussi indécollables que Pfizer de son chiffre d'affaires. Bref, ce bac à glaçons Porte-parole d’un gouvernement inaudible, promet un déluge de postillons des karaokés de bègues.
Le hot-dog de retour à l’Assemblée.
Pour le personnel féminin du Palais Bourbon le cauchemar se ranime. Abad revient. Il n’est pas digne du Gouvernement mais pour l’Assemblée pas de problème. Les attachées parlementaires mettent en place un nouveau Dress-Code. Cols roulés, salopettes, Moon-boots, le mini-spray d’auto-défense à la ceinture Gibaud sont devenus la règle. A la buvette de l’Assemblée, si Abad met sa tournée, prière de déguerpir jusqu’au Pont de la Concorde et se jeter dans la Seine. Cette méduse nage comme un plomb.
Le trotskiste met une cravate.
Le député Coquerel entrait à l’Assemblée chiffon avec des punaises de lit dans la mèche. Le Coquerel Président de la Commission des Finances arbore une veste et une cravate des 3 Suisses, en bon petit inspecteur du fisc. C’est amusant comme les trotskistes mordent toujours à l’hameçon esché au pourboire et à la notabilité. Mais pour lui l’affaire n’est pas encore dans le sac à puces. À peine élu, des rumeurs et une plainte pour comportement lourdingue lui serrent le nœud... de cravate.
Narcisse se met en scène.
Défiant tous les codes de la bienséance et de la Diplomatie, le Macron-Netflix diffuse les images et le son d’un entretien téléphonique avec Poutine. On est à la veille de l’entrée de l’armée russe en Ukraine. Pensant la séquence à son profit, le petit coq s’adresse à l’ours de Sibérie sur un ton décomplexé devant ses conseillers hilares. Vladimir le joue au 421, “t’inquiète ce ne sont que des exercices militaires, fait dodo, j’ai une partie de hockey à finir.”
Résultat, Poutine finit sa partie dans le Donbass et laisse le petit Mickey à genoux sur la patinoire, un palet dans la mâchoire.
Le Covid, ce virus Républicain.
Quel gentil gugusse ce virus. Il respecte les meetings, le vote et le dépouillement. Dès qu’une élection se profile, ce batard se met en apnée du sommeil. Mais au dernier bulletin exprimé Pépé le putois repart à l’assaut des naseaux. Plus méchant que jamais. Peut-être qu’un jour on saura à quel point on nous prend pour des cons.
Borne km 2, morne plaine.
Il a mis des lustres pour la nommer, laissant élégamment fuiter qu’à Rungis elle était le dernier choix, la cagette bradée au petit jour qui se lève. La malheureuse entame un chemin de croix. Ceux qui l’écoutent aussi. Son oralité a le swing d’une arquebuse. Son charisme de chrysanthème du Père-Lachaise se fracasse sur l’hostilité de l’opposition et l’inconfort d’une majorité en fixette sur 2027. Ses heures à Matignon sont comptées. Par Macron, le maitre des horloges... de contrefaçon.
. Sgaiuffu
Le gouvernement Borne 2 voit le jour dans une atmosphère crépusculaire. Au beau milieu d’un malaise où les affaires d’État font pschitt et les affaires de cul prospèrent, la mandature a des allures de fin de race, de fin de règne. À la gauche de l’hémicycle, les barjots débordent d’agitation pour saborder le Régime. À la droite, les vautours font les canards et attendent leur tour. Au centre, la guerre de succession est ouverte. La Vème République, jamais confrontée à un bordel aussi bien organisé, livre ses dernières résistances.
Sex machine.
Darmanin, Hulot, Griveau, Abad, Rastapopoulos... On fait la chenille dans les arcanes du pouvoir. Même la gynéco du gouvernement, son sang grec faisant demi-tour, attaquerait la feuille de vigne avec la brutalité d’une catapulte sur l’Acropole. Bon, c’est vrai que Macron s’est retrouvé en paréo au milieu du tsunami Balance ton Cochon à la mer. Mais quand même. Soit le Renseignement atteint de Covid long ne sent plus rien venir. Soit la lubricité est devenue l’avatar incontournable de cet univers consanguin. Un tel carambolage, d’histoires plus ou moins sordides, éclaire sur les mœurs des fondus de pouvoir. Mais à ce rythme, on va dépayser le Conseil des Ministres au 1 rue Thérèse 75001 Paris, haut-lieu de la partouze républicaine.
Darkmanin les tient par les burn’s.
Borne n’en voulait plus, Macron l’a maintenu. Comment un Président aussi chatouilleux sur son image à l’étranger, peut garder à l’Intérieur celui qui flingue depuis deux mois la crédibilité d’un pays. Si ce n’est qu’en digne héritier de Charles Pasqua et de Nicolas Sarkozy, le Dark a mis à profit son sit-in à Beauvau pour accumuler des dossiers sur la classe politique. Il est légitime de se poser la question, tant son bilan est boursoufflé par les bavures, l’incompétence et le bobard. Pour récompenser le fiasco on élargit son portefeuille à l’Outre-Mer, manifestant en l’espèce, un mépris souverain pour les ultra-marins. Cornaqué par les cow-boys d’Alliance, délesté d’un Dupont fantomatique, surprotégé par Macron, les coups de menton de l’ectoplasme vont exploser son découvert en humanité.
Veran exfiltré de l’Ile aux Serpents.
Il était urgent de dégager l’anthropophage du Parlement. L’Assemblée va devenir le théâtre d’un vaudeville gore, il était donc inutile de rajouter de l’hémoglobine à ce jeu de massacre. Mais Macron ne se débarrasse pas pour autant du vampire. Les inavouables secrets de la crise Covid en ont fait deux frères siamois, aussi indécollables que Pfizer de son chiffre d'affaires. Bref, ce bac à glaçons Porte-parole d’un gouvernement inaudible, promet un déluge de postillons des karaokés de bègues.
Le hot-dog de retour à l’Assemblée.
Pour le personnel féminin du Palais Bourbon le cauchemar se ranime. Abad revient. Il n’est pas digne du Gouvernement mais pour l’Assemblée pas de problème. Les attachées parlementaires mettent en place un nouveau Dress-Code. Cols roulés, salopettes, Moon-boots, le mini-spray d’auto-défense à la ceinture Gibaud sont devenus la règle. A la buvette de l’Assemblée, si Abad met sa tournée, prière de déguerpir jusqu’au Pont de la Concorde et se jeter dans la Seine. Cette méduse nage comme un plomb.
Le trotskiste met une cravate.
Le député Coquerel entrait à l’Assemblée chiffon avec des punaises de lit dans la mèche. Le Coquerel Président de la Commission des Finances arbore une veste et une cravate des 3 Suisses, en bon petit inspecteur du fisc. C’est amusant comme les trotskistes mordent toujours à l’hameçon esché au pourboire et à la notabilité. Mais pour lui l’affaire n’est pas encore dans le sac à puces. À peine élu, des rumeurs et une plainte pour comportement lourdingue lui serrent le nœud... de cravate.
Narcisse se met en scène.
Défiant tous les codes de la bienséance et de la Diplomatie, le Macron-Netflix diffuse les images et le son d’un entretien téléphonique avec Poutine. On est à la veille de l’entrée de l’armée russe en Ukraine. Pensant la séquence à son profit, le petit coq s’adresse à l’ours de Sibérie sur un ton décomplexé devant ses conseillers hilares. Vladimir le joue au 421, “t’inquiète ce ne sont que des exercices militaires, fait dodo, j’ai une partie de hockey à finir.”
Résultat, Poutine finit sa partie dans le Donbass et laisse le petit Mickey à genoux sur la patinoire, un palet dans la mâchoire.
Le Covid, ce virus Républicain.
Quel gentil gugusse ce virus. Il respecte les meetings, le vote et le dépouillement. Dès qu’une élection se profile, ce batard se met en apnée du sommeil. Mais au dernier bulletin exprimé Pépé le putois repart à l’assaut des naseaux. Plus méchant que jamais. Peut-être qu’un jour on saura à quel point on nous prend pour des cons.
Borne km 2, morne plaine.
Il a mis des lustres pour la nommer, laissant élégamment fuiter qu’à Rungis elle était le dernier choix, la cagette bradée au petit jour qui se lève. La malheureuse entame un chemin de croix. Ceux qui l’écoutent aussi. Son oralité a le swing d’une arquebuse. Son charisme de chrysanthème du Père-Lachaise se fracasse sur l’hostilité de l’opposition et l’inconfort d’une majorité en fixette sur 2027. Ses heures à Matignon sont comptées. Par Macron, le maitre des horloges... de contrefaçon.
. Sgaiuffu