Les eaux de baignade corses sont de « très bonne qualité »
Dans son bilan annuel, l'Agence régionale de santé souligne « la très bonne qualité » des eaux de baignade de l’île.
Les eaux de baignade corses sont de « très bonne qualité »
Dans son bilan annuel, l'Agence régionale de santé souligne « la très bonne qualité » des eaux de baignade de l’île.
En Corse, « 97% des baignades sont conformes aux exigences européennes de qualité ». C’est ce qui ressort du bilan annuel publié la semaine dernière par l’ARS.
D’après l’étude réalisée sur l’année 2021, "les eaux de baignade en Corse sont de très bonne qualité, notamment en mer". L’an passé, plus de 1788 contrôles ont été réalisés sur les 229 sites de baignade régulièrement surveillés de l'île.
"La qualité de l’eau s’apprécie au regard de la mesure de la présence de germes indicateurs de contamination fécale, explique l’ARS. La dégradation de l’eau est donc liée essentiellement à la présence d’eaux usées non ou insuffisamment traitées, voire des eaux pluviales contaminées ou une surfréquentation des sites."
Dix sites interdits
Dans le détail, l’ARS dénombre 174 baignades en mer et 55 en eau douce (rivières, lacs). Et ce sont ces dernières qui sont plus vulnérables face aux risques bactériologiques. "40 % des baignades d’eau douce sont d’excellente qualité contre 95 % pour les baignades en mer, précise l'ARS. Cette vulnérabilité s’amplifie à mesure que l’on descend la rivière, mais aussi dans la saison, à mesure que le niveau de l’eau douce baisse."
En raison de la qualité dégradée de l'eau ou des risques liés à la sécurité, certains sites sont interdits à la baignade cet été de façon permanente.
En Corse-du-Sud, ce sera le cas du tronçon du Taravo situé entre le Pont de Piconca (coxmmune de Corrano) et le Pont de Pinu (commune de Ciamannacce), du Ponte-Vecchio à Bastelica, d’Alzu-di-Gallina à Porto-Vecchio, du Pont de Cuttoli-Corticchiato, de celui du Liamone sur les communes de Coggia et Casaglione. À Osani, la plage de Girolata est également concernée par cette interdiction de baignade.
En Haute-Corse, quatre sites d’eau douce ont été classés en qualité « insuffisante » : la base nautique à Aléria, le Pont Acitaja à Penta di Casinca, la Base Kayak Ernella à Giuncaggio et le Pont du Chemin de Fer à Morosaglia.
Surveillance de la bilharziose
Les rivières du Cavu et de la Solenzara font quant à elles l'objet d'une surveillance environnementale spécifique en raison du risque de bilharziose. Cette maladie se contracte à l’occasion d’une baignade dans une eau contaminée par des parasites. « En cas de découverte de la présence d’ADN du parasite dans l’eau ou de personnes touchées par la maladie, l’accès à la baignade y sera immédiatement interdit », prévient l'ARS qui rappelle que dix sites avaient été concernés par une fermeture ponctuelle l’an dernier dans l’île.
Cet été, à la suite de prélèvements effectués début juillet, la plage de l’Arinella à Bastia et celle de la Castagna Sud à Coti-Chiavari ont été frappées d’un arrêté municipal d’interdiction temporaire de baignade.
Les eaux de baignade corses sont de « très bonne qualité »
Dans son bilan annuel, l'Agence régionale de santé souligne « la très bonne qualité » des eaux de baignade de l’île.
En Corse, « 97% des baignades sont conformes aux exigences européennes de qualité ». C’est ce qui ressort du bilan annuel publié la semaine dernière par l’ARS.
D’après l’étude réalisée sur l’année 2021, "les eaux de baignade en Corse sont de très bonne qualité, notamment en mer". L’an passé, plus de 1788 contrôles ont été réalisés sur les 229 sites de baignade régulièrement surveillés de l'île.
"La qualité de l’eau s’apprécie au regard de la mesure de la présence de germes indicateurs de contamination fécale, explique l’ARS. La dégradation de l’eau est donc liée essentiellement à la présence d’eaux usées non ou insuffisamment traitées, voire des eaux pluviales contaminées ou une surfréquentation des sites."
Dix sites interdits
Dans le détail, l’ARS dénombre 174 baignades en mer et 55 en eau douce (rivières, lacs). Et ce sont ces dernières qui sont plus vulnérables face aux risques bactériologiques. "40 % des baignades d’eau douce sont d’excellente qualité contre 95 % pour les baignades en mer, précise l'ARS. Cette vulnérabilité s’amplifie à mesure que l’on descend la rivière, mais aussi dans la saison, à mesure que le niveau de l’eau douce baisse."
En raison de la qualité dégradée de l'eau ou des risques liés à la sécurité, certains sites sont interdits à la baignade cet été de façon permanente.
En Corse-du-Sud, ce sera le cas du tronçon du Taravo situé entre le Pont de Piconca (coxmmune de Corrano) et le Pont de Pinu (commune de Ciamannacce), du Ponte-Vecchio à Bastelica, d’Alzu-di-Gallina à Porto-Vecchio, du Pont de Cuttoli-Corticchiato, de celui du Liamone sur les communes de Coggia et Casaglione. À Osani, la plage de Girolata est également concernée par cette interdiction de baignade.
En Haute-Corse, quatre sites d’eau douce ont été classés en qualité « insuffisante » : la base nautique à Aléria, le Pont Acitaja à Penta di Casinca, la Base Kayak Ernella à Giuncaggio et le Pont du Chemin de Fer à Morosaglia.
Surveillance de la bilharziose
Les rivières du Cavu et de la Solenzara font quant à elles l'objet d'une surveillance environnementale spécifique en raison du risque de bilharziose. Cette maladie se contracte à l’occasion d’une baignade dans une eau contaminée par des parasites. « En cas de découverte de la présence d’ADN du parasite dans l’eau ou de personnes touchées par la maladie, l’accès à la baignade y sera immédiatement interdit », prévient l'ARS qui rappelle que dix sites avaient été concernés par une fermeture ponctuelle l’an dernier dans l’île.
Cet été, à la suite de prélèvements effectués début juillet, la plage de l’Arinella à Bastia et celle de la Castagna Sud à Coti-Chiavari ont été frappées d’un arrêté municipal d’interdiction temporaire de baignade.
Dans son bilan annuel, l'Agence régionale de santé souligne « la très bonne qualité » des eaux de baignade de l’île.
En Corse, « 97% des baignades sont conformes aux exigences européennes de qualité ». C’est ce qui ressort du bilan annuel publié la semaine dernière par l’ARS.
D’après l’étude réalisée sur l’année 2021, "les eaux de baignade en Corse sont de très bonne qualité, notamment en mer". L’an passé, plus de 1788 contrôles ont été réalisés sur les 229 sites de baignade régulièrement surveillés de l'île.
"La qualité de l’eau s’apprécie au regard de la mesure de la présence de germes indicateurs de contamination fécale, explique l’ARS. La dégradation de l’eau est donc liée essentiellement à la présence d’eaux usées non ou insuffisamment traitées, voire des eaux pluviales contaminées ou une surfréquentation des sites."
Dix sites interdits
Dans le détail, l’ARS dénombre 174 baignades en mer et 55 en eau douce (rivières, lacs). Et ce sont ces dernières qui sont plus vulnérables face aux risques bactériologiques. "40 % des baignades d’eau douce sont d’excellente qualité contre 95 % pour les baignades en mer, précise l'ARS. Cette vulnérabilité s’amplifie à mesure que l’on descend la rivière, mais aussi dans la saison, à mesure que le niveau de l’eau douce baisse."
En raison de la qualité dégradée de l'eau ou des risques liés à la sécurité, certains sites sont interdits à la baignade cet été de façon permanente.
En Corse-du-Sud, ce sera le cas du tronçon du Taravo situé entre le Pont de Piconca (coxmmune de Corrano) et le Pont de Pinu (commune de Ciamannacce), du Ponte-Vecchio à Bastelica, d’Alzu-di-Gallina à Porto-Vecchio, du Pont de Cuttoli-Corticchiato, de celui du Liamone sur les communes de Coggia et Casaglione. À Osani, la plage de Girolata est également concernée par cette interdiction de baignade.
En Haute-Corse, quatre sites d’eau douce ont été classés en qualité « insuffisante » : la base nautique à Aléria, le Pont Acitaja à Penta di Casinca, la Base Kayak Ernella à Giuncaggio et le Pont du Chemin de Fer à Morosaglia.
Surveillance de la bilharziose
Les rivières du Cavu et de la Solenzara font quant à elles l'objet d'une surveillance environnementale spécifique en raison du risque de bilharziose. Cette maladie se contracte à l’occasion d’une baignade dans une eau contaminée par des parasites. « En cas de découverte de la présence d’ADN du parasite dans l’eau ou de personnes touchées par la maladie, l’accès à la baignade y sera immédiatement interdit », prévient l'ARS qui rappelle que dix sites avaient été concernés par une fermeture ponctuelle l’an dernier dans l’île.
Cet été, à la suite de prélèvements effectués début juillet, la plage de l’Arinella à Bastia et celle de la Castagna Sud à Coti-Chiavari ont été frappées d’un arrêté municipal d’interdiction temporaire de baignade.
Les eaux de baignade corses sont de « très bonne qualité »
Dans son bilan annuel, l'Agence régionale de santé souligne « la très bonne qualité » des eaux de baignade de l’île.
En Corse, « 97% des baignades sont conformes aux exigences européennes de qualité ». C’est ce qui ressort du bilan annuel publié la semaine dernière par l’ARS.
D’après l’étude réalisée sur l’année 2021, "les eaux de baignade en Corse sont de très bonne qualité, notamment en mer". L’an passé, plus de 1788 contrôles ont été réalisés sur les 229 sites de baignade régulièrement surveillés de l'île.
"La qualité de l’eau s’apprécie au regard de la mesure de la présence de germes indicateurs de contamination fécale, explique l’ARS. La dégradation de l’eau est donc liée essentiellement à la présence d’eaux usées non ou insuffisamment traitées, voire des eaux pluviales contaminées ou une surfréquentation des sites."
Dix sites interdits
Dans le détail, l’ARS dénombre 174 baignades en mer et 55 en eau douce (rivières, lacs). Et ce sont ces dernières qui sont plus vulnérables face aux risques bactériologiques. "40 % des baignades d’eau douce sont d’excellente qualité contre 95 % pour les baignades en mer, précise l'ARS. Cette vulnérabilité s’amplifie à mesure que l’on descend la rivière, mais aussi dans la saison, à mesure que le niveau de l’eau douce baisse."
En raison de la qualité dégradée de l'eau ou des risques liés à la sécurité, certains sites sont interdits à la baignade cet été de façon permanente.
En Corse-du-Sud, ce sera le cas du tronçon du Taravo situé entre le Pont de Piconca (coxmmune de Corrano) et le Pont de Pinu (commune de Ciamannacce), du Ponte-Vecchio à Bastelica, d’Alzu-di-Gallina à Porto-Vecchio, du Pont de Cuttoli-Corticchiato, de celui du Liamone sur les communes de Coggia et Casaglione. À Osani, la plage de Girolata est également concernée par cette interdiction de baignade.
En Haute-Corse, quatre sites d’eau douce ont été classés en qualité « insuffisante » : la base nautique à Aléria, le Pont Acitaja à Penta di Casinca, la Base Kayak Ernella à Giuncaggio et le Pont du Chemin de Fer à Morosaglia.
Surveillance de la bilharziose
Les rivières du Cavu et de la Solenzara font quant à elles l'objet d'une surveillance environnementale spécifique en raison du risque de bilharziose. Cette maladie se contracte à l’occasion d’une baignade dans une eau contaminée par des parasites. « En cas de découverte de la présence d’ADN du parasite dans l’eau ou de personnes touchées par la maladie, l’accès à la baignade y sera immédiatement interdit », prévient l'ARS qui rappelle que dix sites avaient été concernés par une fermeture ponctuelle l’an dernier dans l’île.
Cet été, à la suite de prélèvements effectués début juillet, la plage de l’Arinella à Bastia et celle de la Castagna Sud à Coti-Chiavari ont été frappées d’un arrêté municipal d’interdiction temporaire de baignade.