Handball : HPA, un nouveau départ
Relégué de N2 en fin de saison dernière, le club cher au président Tormen a été menacé de disparition avant que ce dernier ne décide, finalement et malgré des soucis personnels, de tout reprendre à zéro.
HPA : un nouveau départ
Relégué de N2 en fin de saison dernière, le club cher au président Tormen a été menacé de disparition avant que ce dernier ne décide, finalement et malgré des soucis personnels, de tout reprendre à zéro.
Sauvé une première fois in-extremis par la crise Covid, le club ajaccien n’a pu, cette saison et malgré une fin de championnat tonitruante, échappé à son destin. Mais au-delà de la relégation, c’est l’avenir du club qui a été longtemps en péril. « J’ai eu des problèmes familiaux et de santé, explique le président Philippe Tormen, j’ai songé à passer le relais mais personne n’était disposé à reprendre le club. De fait, il n’y avait quasiment plus rien. La menace d’une disparition a longtemps plané sur nous et cela représentait six années de travail pour rien. J’ai alors décidé de reprendre le flambeau et d’ouvrir une nouvelle page. »
Ainsi, après six ans d’existence dont deux en N2, il a été question de tout reprendre à zéro. L’équipe fanion, emmenée par les anciennes (Marie No Mezzalma, Aline Cédroni, Lesia Girolami, Adeline Rodriguez et Anne-Sophie Frau)complétées par l’arrivée de Lisa Poisseneau (Toulon, ancienne joueuse de D1) et l’ossature de l’équipe réserve de la saison dernière, débutera le championnat régional N3 en novembre prochain. Avec pour mission, de remonter en N2 dès cette saison.
Derrière cette indispensable vitrine, toujours dirigée par Jean-Luc Girolami, Arnaud Temporel, nouveau venu, sera chargé du volet jeune. Sur ce point également, le président ajaccien veut repartir de la base. « Les jeunes ont été délaissées ces derniers temps, reprend-il, nous voulons relancer la formation à travers un travail plus précis et complet auprès des écoles et centres aérés de manière à pérenniser le club et former des filles capables de jouer en équipe première. »
Côté dirigeants, Richard Nordlinger (Cognac) vient apporter son expérience. « Il a un bagage sportif important,
argumente Philippe Tormen, et sera un atout important dans la politique que nous souhaitins mettre en place. » Enfin, le club « rose et bleu » s ‘est doté d’un nouveau siège social basé à Mezzavia. Autant d’éléments sur lesquels le club ajaccien va s’appuyer avec d’amorcer son renouveau.
Ph.P.
Relégué de N2 en fin de saison dernière, le club cher au président Tormen a été menacé de disparition avant que ce dernier ne décide, finalement et malgré des soucis personnels, de tout reprendre à zéro.
Sauvé une première fois in-extremis par la crise Covid, le club ajaccien n’a pu, cette saison et malgré une fin de championnat tonitruante, échappé à son destin. Mais au-delà de la relégation, c’est l’avenir du club qui a été longtemps en péril. « J’ai eu des problèmes familiaux et de santé, explique le président Philippe Tormen, j’ai songé à passer le relais mais personne n’était disposé à reprendre le club. De fait, il n’y avait quasiment plus rien. La menace d’une disparition a longtemps plané sur nous et cela représentait six années de travail pour rien. J’ai alors décidé de reprendre le flambeau et d’ouvrir une nouvelle page. »
Ainsi, après six ans d’existence dont deux en N2, il a été question de tout reprendre à zéro. L’équipe fanion, emmenée par les anciennes (Marie No Mezzalma, Aline Cédroni, Lesia Girolami, Adeline Rodriguez et Anne-Sophie Frau)complétées par l’arrivée de Lisa Poisseneau (Toulon, ancienne joueuse de D1) et l’ossature de l’équipe réserve de la saison dernière, débutera le championnat régional N3 en novembre prochain. Avec pour mission, de remonter en N2 dès cette saison.
Derrière cette indispensable vitrine, toujours dirigée par Jean-Luc Girolami, Arnaud Temporel, nouveau venu, sera chargé du volet jeune. Sur ce point également, le président ajaccien veut repartir de la base. « Les jeunes ont été délaissées ces derniers temps, reprend-il, nous voulons relancer la formation à travers un travail plus précis et complet auprès des écoles et centres aérés de manière à pérenniser le club et former des filles capables de jouer en équipe première. »
Côté dirigeants, Richard Nordlinger (Cognac) vient apporter son expérience. « Il a un bagage sportif important,
argumente Philippe Tormen, et sera un atout important dans la politique que nous souhaitins mettre en place. » Enfin, le club « rose et bleu » s ‘est doté d’un nouveau siège social basé à Mezzavia. Autant d’éléments sur lesquels le club ajaccien va s’appuyer avec d’amorcer son renouveau.
Ph.P.
