Les femmes à barbe
Les néo-féministes sont en guerre.
Les femmes à barbe
Les néo-féministes sont en guerre. Dans leur chasse à l’homme toutes les dérives sont permises. Le gibier est traqué, il ne peut échapper à la battue unie par la folle volonté d’éradiquer le nuisible de la surface. Si les mâles à qui il en reste encore une ou deux, associées aux femmes effrayées par ce néofascisme, ne se bougent pas, le réveil avec un bigoudi ou deux, va faire aïe aïe aïe mal au casque.
Balance ta cochonne.
Bien sûr des minables profitent salement de leur position sociale dominante. Il y’en a un au gouvernement. Et pas n’importe où. Mais si la relation est consentie par une femme prête au sacrifice pour un poste, un logement ou une place de parking, où est le problème pénal. La preuve, il a bénéficié d’un non-lieu. Tant que cela relève de l’anecdote, que la majorité des hommes et des femmes fonctionnent en harmonie, où est le problème moral. La Société est plus menacée dans ses fondements par la GPA et la vente mondialisée de bébés, que par la promotion canapé. Une pratique vieille comme le monde du travail, qui, il y a encore quelques années, alimentait les rires étouffés par le bruit de la machine à café. La corrompue se tortillait devant le corrupteur en attendant que les 3 cerises s’alignent. Aujourd’hui, sous le totalitarisme Me Too, après avoir tiré sur le caoutchouc, la promo dans le balconnet, elle fonce lancée comme un frelon asiatique au commissariat.
Balance ta dingue.
L’homme blanc, hétéro, sans comorbidité et sans reproche apparent, est devenu la cible d’une meute de hyènes hystéros. Elles coupent tout sur leur passage. Les glands aux chênes, l’épine aux pins et les couilles aux barbecues. Après s’être occupée de la Nature via les Verts, elles veulent les clés du camion de l’Education, de la Morale et des Mœurs. On peut constater leur influence nocive sur la faune et la flore, maintenant c’est aux hommes qui aiment les femmes et vice versa à être complexés et terrorisés par le petit livre rouge des apprenties-fachos.
Balance ta balance.
Depuis que le Balance ton Grouin est devenu discipline olympique, les balances sont plus nombreuses que les victimes. Les frustrées d’entreprises qui se fondaient ton sur ton avec le mur du bureau, se sont trouvées une mission pour exister, un rôle dans l’épuration. L’anonymat aidant, elles dénoncent l’hétéro à 37.2 le matin et en passant, les femmes qui hantent leur nuit de glace. Le Balance Ton Saucisson d’origine contrôlée, d’utilité privée, oui il y a des gros pervers et d’authentiques salopards, est devenu une croisade incontrôlée et abusivement publique.
Sympathy for the Devil.
Elles multiplient les fautes, et perdent la boule. Libé, pourtant plutôt acquis à la cause, publie une enquête qui révèle le système que ces fliquettes ont mis en place. En résumé, prendre la cible en filature, écouter aux portes, passer ses ex à l’interrogatoire et mettre ses poubelles en garde à vue. Pendant des années. Milices, cellules d’enquête, tribunal interne, voilà le décor de l’arrière-boutique. Larousso se fait huer dans un rassemblement de soutien aux gamines iraniennes. Comme quoi la duplicité ne passe plus. Leur combat pour voiler les ados comme des mats de dériveurs à la dérive, se fracasse sur une révolte où l’on joue sa vie pour ne pas mettre les voiles. S’il leur fallait une preuve pour savoir que vivre sous ce fichu c’est une vie foutue, elle leur est parachutée d’Iran. Mais pour les possédées de la route 666, bouffées délirantes et hystérie collective les rendent hermétiques à tous les messages.
A.I.E. a mwana sa sa eeku musheeku.
Obono, la classe éco, toute à son vaudou dès potron-minet, coupe la tête des siffleurs de Rousseau, l’écrevisse du bayou. L’Obono pas You2 du tout, dégaine un « mangez vos morts » de derrière la caravane. Pour les gitans tu n’es qu’une gadgi, comme une jeune fille de Neuilly. Alors, leur emprunter l’insulte suprême, te renvoie à ton statut de marabout de nerfs. Si tu t’intéresses à la culture des Romanos, commence par écouter Django. Sa période romaine, avec un Stéphane Grappelli en mode espresso.
Sgaiuffu
Les néo-féministes sont en guerre. Dans leur chasse à l’homme toutes les dérives sont permises. Le gibier est traqué, il ne peut échapper à la battue unie par la folle volonté d’éradiquer le nuisible de la surface. Si les mâles à qui il en reste encore une ou deux, associées aux femmes effrayées par ce néofascisme, ne se bougent pas, le réveil avec un bigoudi ou deux, va faire aïe aïe aïe mal au casque.
Balance ta cochonne.
Bien sûr des minables profitent salement de leur position sociale dominante. Il y’en a un au gouvernement. Et pas n’importe où. Mais si la relation est consentie par une femme prête au sacrifice pour un poste, un logement ou une place de parking, où est le problème pénal. La preuve, il a bénéficié d’un non-lieu. Tant que cela relève de l’anecdote, que la majorité des hommes et des femmes fonctionnent en harmonie, où est le problème moral. La Société est plus menacée dans ses fondements par la GPA et la vente mondialisée de bébés, que par la promotion canapé. Une pratique vieille comme le monde du travail, qui, il y a encore quelques années, alimentait les rires étouffés par le bruit de la machine à café. La corrompue se tortillait devant le corrupteur en attendant que les 3 cerises s’alignent. Aujourd’hui, sous le totalitarisme Me Too, après avoir tiré sur le caoutchouc, la promo dans le balconnet, elle fonce lancée comme un frelon asiatique au commissariat.
Balance ta dingue.
L’homme blanc, hétéro, sans comorbidité et sans reproche apparent, est devenu la cible d’une meute de hyènes hystéros. Elles coupent tout sur leur passage. Les glands aux chênes, l’épine aux pins et les couilles aux barbecues. Après s’être occupée de la Nature via les Verts, elles veulent les clés du camion de l’Education, de la Morale et des Mœurs. On peut constater leur influence nocive sur la faune et la flore, maintenant c’est aux hommes qui aiment les femmes et vice versa à être complexés et terrorisés par le petit livre rouge des apprenties-fachos.
Balance ta balance.
Depuis que le Balance ton Grouin est devenu discipline olympique, les balances sont plus nombreuses que les victimes. Les frustrées d’entreprises qui se fondaient ton sur ton avec le mur du bureau, se sont trouvées une mission pour exister, un rôle dans l’épuration. L’anonymat aidant, elles dénoncent l’hétéro à 37.2 le matin et en passant, les femmes qui hantent leur nuit de glace. Le Balance Ton Saucisson d’origine contrôlée, d’utilité privée, oui il y a des gros pervers et d’authentiques salopards, est devenu une croisade incontrôlée et abusivement publique.
Sympathy for the Devil.
Elles multiplient les fautes, et perdent la boule. Libé, pourtant plutôt acquis à la cause, publie une enquête qui révèle le système que ces fliquettes ont mis en place. En résumé, prendre la cible en filature, écouter aux portes, passer ses ex à l’interrogatoire et mettre ses poubelles en garde à vue. Pendant des années. Milices, cellules d’enquête, tribunal interne, voilà le décor de l’arrière-boutique. Larousso se fait huer dans un rassemblement de soutien aux gamines iraniennes. Comme quoi la duplicité ne passe plus. Leur combat pour voiler les ados comme des mats de dériveurs à la dérive, se fracasse sur une révolte où l’on joue sa vie pour ne pas mettre les voiles. S’il leur fallait une preuve pour savoir que vivre sous ce fichu c’est une vie foutue, elle leur est parachutée d’Iran. Mais pour les possédées de la route 666, bouffées délirantes et hystérie collective les rendent hermétiques à tous les messages.
A.I.E. a mwana sa sa eeku musheeku.
Obono, la classe éco, toute à son vaudou dès potron-minet, coupe la tête des siffleurs de Rousseau, l’écrevisse du bayou. L’Obono pas You2 du tout, dégaine un « mangez vos morts » de derrière la caravane. Pour les gitans tu n’es qu’une gadgi, comme une jeune fille de Neuilly. Alors, leur emprunter l’insulte suprême, te renvoie à ton statut de marabout de nerfs. Si tu t’intéresses à la culture des Romanos, commence par écouter Django. Sa période romaine, avec un Stéphane Grappelli en mode espresso.
Sgaiuffu