Total << indessence >>
Le Classico Gouvernement C.G.T promet d'être un grand cru.
Total “indessence”
Le Classico Gouvernement-CGT promet d’être un grand cru. Macron et Martinez attaquent leur dernier mandat. Ils vont jouer tous les coups à fond. Sur les Boulevards circule l’odeur de la poudre, pas de l’essence. Le cocktail molotov est cette année au prix du Dom Pérignon rosé.
Le plein “d’indessence”.
Patrick Pouyanné le PDG de Total, incarne le mépris décomplexé des nababs du CAC40 pour le monde du travail. Poupou fait premier dans l’indécence. Plus personne n’ignore sa fiche de paie digne d’un porteur de jerricane à l’OPEP. Alors il verse 3 litres de larmes sur les pompes de Lemaire, qui persiste à lui faire le plein et le pare-brise. Poupoupidou tombe de l’armoire quand ces salauds d’ouvriers veulent être indexés sur l’inflation. Il fait fuiter leurs salaires pour retourner l’opinion. Total aplomb. Les chiffres sont balancés en brut et sans discernement. A force de s’envoyer du kérozène dans la nasole leur espérance de vie est de 5 ans inférieure à la moyenne. Mais le coup est parti, l’ouvrier de Total est le nouveau riche à abattre.
Lemaire, le pompiste franchisé.
Il fallait voir sa tête de carbu encrassé, quand le Modem a fait voter l’amendement pour taxer les supers profits. C’est limite suspect son acharnement à ne pas prendre le flouze alors qu’il a la cuve à sec. Il se voit beau comme un camion-citerne en 2027. Il en oublie son score ridicule à la primaire de 2012. Mais à quoi carbure Houellebecq pour voir Lemaire en baril balzacien. Autant voir Dupont-Aignan déchiré à l’opium excellium, une créole à chaque oreille, une Viet dans chaque bras, avant une roulette russe dans un bouge de Hanoi.
Et c’est parti.
Comme prévu la réélection de Macron et son cortège de provocations, met le oaï. Tous les corps de métier sont à l’os. Pas un secteur n’échappe à la crise. Si la rue s’enflamme il n’est même pas sûr que la Police fasse le job. Elle a la matraque molle. Macron ne peut plus se planquer derrière le Covid, la guerre ou son téléphone diplomatique. Le Covid repart. Motus. Preuve que l’on nous a joué au 421 pendant deux ans. Personne ne connait le nom du nouveau Ministre de la Santé. Alors qu’on connaissait par cœur le planning d’un infectiologue de la Pitié.
Philippe et Bayrou savonnent la planche à réformes.
L’un veut y aller à fond, l’autre veut y aller mollo. Par contre ils partagent le même dessein. Envoyer Macron faire de l’acrobranche au Malawi. Lui il s’accroche, hésite, 49.3, 11.43, 51 ou 102. Il est carbo. A l’Assemblée il pourra toujours bricoler, même si la Borne de départementale ne tiendra pas la route. C'est de son camp que les problèmes vont surgir. Pour le moment, on s’observe, il faut choisir le bon canasson. Ils ne pensent qu’à leur avenir politique. Et Macron, où est-il son avenir? Si avant de s’en prendre plein la capuche, il se cassait, pour se garder une chance de revenir un jour.
Ok, il se casse mais il fait quoi ?
Il se prend un bar-tabac avec Brigitte à la caisse. Oui, mais où ? Pas à Amiens, c’est Ruffin le parrain. Dans les Pyrénées c’est Bayrou. Lassalle sera tous les soirs au comptoir, à mater Brigitte, à mettre et remettre la sienne, pour laisser un clou à l’arrivée. Alors, Paris? C’est la saison des manifs. Les black-blocks vont défoncer la terrasse et descendre Bridget à la cave. C’est pas le moment. A l’automne, elle est à plat. Elle avance comme un cheminot...un jour de grève. Désolé.
.Sgaiuffu
Le Classico Gouvernement-CGT promet d’être un grand cru. Macron et Martinez attaquent leur dernier mandat. Ils vont jouer tous les coups à fond. Sur les Boulevards circule l’odeur de la poudre, pas de l’essence. Le cocktail molotov est cette année au prix du Dom Pérignon rosé.
Le plein “d’indessence”.
Patrick Pouyanné le PDG de Total, incarne le mépris décomplexé des nababs du CAC40 pour le monde du travail. Poupou fait premier dans l’indécence. Plus personne n’ignore sa fiche de paie digne d’un porteur de jerricane à l’OPEP. Alors il verse 3 litres de larmes sur les pompes de Lemaire, qui persiste à lui faire le plein et le pare-brise. Poupoupidou tombe de l’armoire quand ces salauds d’ouvriers veulent être indexés sur l’inflation. Il fait fuiter leurs salaires pour retourner l’opinion. Total aplomb. Les chiffres sont balancés en brut et sans discernement. A force de s’envoyer du kérozène dans la nasole leur espérance de vie est de 5 ans inférieure à la moyenne. Mais le coup est parti, l’ouvrier de Total est le nouveau riche à abattre.
Lemaire, le pompiste franchisé.
Il fallait voir sa tête de carbu encrassé, quand le Modem a fait voter l’amendement pour taxer les supers profits. C’est limite suspect son acharnement à ne pas prendre le flouze alors qu’il a la cuve à sec. Il se voit beau comme un camion-citerne en 2027. Il en oublie son score ridicule à la primaire de 2012. Mais à quoi carbure Houellebecq pour voir Lemaire en baril balzacien. Autant voir Dupont-Aignan déchiré à l’opium excellium, une créole à chaque oreille, une Viet dans chaque bras, avant une roulette russe dans un bouge de Hanoi.
Et c’est parti.
Comme prévu la réélection de Macron et son cortège de provocations, met le oaï. Tous les corps de métier sont à l’os. Pas un secteur n’échappe à la crise. Si la rue s’enflamme il n’est même pas sûr que la Police fasse le job. Elle a la matraque molle. Macron ne peut plus se planquer derrière le Covid, la guerre ou son téléphone diplomatique. Le Covid repart. Motus. Preuve que l’on nous a joué au 421 pendant deux ans. Personne ne connait le nom du nouveau Ministre de la Santé. Alors qu’on connaissait par cœur le planning d’un infectiologue de la Pitié.
Philippe et Bayrou savonnent la planche à réformes.
L’un veut y aller à fond, l’autre veut y aller mollo. Par contre ils partagent le même dessein. Envoyer Macron faire de l’acrobranche au Malawi. Lui il s’accroche, hésite, 49.3, 11.43, 51 ou 102. Il est carbo. A l’Assemblée il pourra toujours bricoler, même si la Borne de départementale ne tiendra pas la route. C'est de son camp que les problèmes vont surgir. Pour le moment, on s’observe, il faut choisir le bon canasson. Ils ne pensent qu’à leur avenir politique. Et Macron, où est-il son avenir? Si avant de s’en prendre plein la capuche, il se cassait, pour se garder une chance de revenir un jour.
Ok, il se casse mais il fait quoi ?
Il se prend un bar-tabac avec Brigitte à la caisse. Oui, mais où ? Pas à Amiens, c’est Ruffin le parrain. Dans les Pyrénées c’est Bayrou. Lassalle sera tous les soirs au comptoir, à mater Brigitte, à mettre et remettre la sienne, pour laisser un clou à l’arrivée. Alors, Paris? C’est la saison des manifs. Les black-blocks vont défoncer la terrasse et descendre Bridget à la cave. C’est pas le moment. A l’automne, elle est à plat. Elle avance comme un cheminot...un jour de grève. Désolé.
.Sgaiuffu