Basta ! On a la tête farcie par ces débats pour petits blancs soumis et décadents
Sur les 50 nuances de noir entre islam, islamisme, modérés, radicaux, français de souche, français du souk, le voile, le spi, l’espace public ou privé, le burkini dans la piscine, la baignoire ou sous la douche.
Basta
On a la tête farcie par ces débats pour petits blancs soumis et décadents. Sur les 50 nuances de noir entre islam, islamisme, modérés, radicaux, français de souche, français du souk, le voile, le spi, l’espace public ou privé, le burkini dans la piscine, la baignoire ou sous la douche. A historiser et intellectualiser l’indicible, on moutonne pour hériter du sort d’un ovin pour l’Aïd.
Sauver la jeunesse iranienne.
Elle se sacrifie pour l’avenir de notre civilisation et nous offre sur un plateau le meilleur des arguments pour ne pas plier face au lobbying forcené du puissant secteur textile des dingos. Macron inflige des sanctions aux oligarques russes mais toujours rien aux oligarques des barbus, les qataris, indéfectibles soutiens des Ayatollahs. A qui il renouvelle le bail de leur vitrine démocratique. Et s’il confisquait leurs biens, leur Club, leurs Palaces, de Cannes et Paris, leurs numéros pairs et impairs sur les Champs. Jusqu’à ce que les gamines sortent des prisons d’Iran, que les armes des mollahs se taisent et que les épis rebelles s’animent au soleil levant. On peut toujours rêver. Entre le fric et la raison, c’est pour le moment le fric qui a raison.
Les barbaresques.
J’en ai plein le capuchon d’entendre parler de religion, à un point où le mot laïcité me sort par les nasoles. Elle ne tient plus les grilles du collège devant l’entrisme des Frères Musulmans votre laïcité. Et puis entre un musulman et un islamiste, aujourd’hui il y a quoi. Un “oui mais”. Ce putain de “oui mais” me téléporte direct chez l’allergologue. Ce “oui mais” dans la bouche des sarrasins dit modérés, après que deux enculés ont fait dégueuler leur kalach sur Cabu, avec sa coupe d’éternel ado et ses crayons de couleurs...OUI, ce n’est pas bien, MAIS, le prophète...80% des épouses et des filles des “modérés” sont plus voilées qu’un épouvantail d’Afghanistan.
En famille, au bar à chicha, à la mosquée, vous, vous savez qui dérive. A vous de faire le ménage. Quand on veut vivre peinard dans sa communauté, on met des anticorps au service de sa sécurité. Comme dans le Chinatown du pont de Manhattan et le Chinatown du Paris-13ème. Où l’on vit heureux, prospère et chinois. Sans imposer le canard laqué à la cantine, et la coupe au bol de riz dans les salons de coiffure. A vous d’éteindre l’imam en feu. Vous avez des filières pour entrer. Vous avez donc des filières pour sortir. Pour exfiltrer les brebis galeuses qui provoquent un drame par jour. En contrepartie c’est à la République de vous protéger des Muslim Brothers, des Salafistes&Co en leur réservant un taxi pour Tobrouk ou une first-class en pédalo au large du Cap Horn. Le soleil brille pour tout le monde, prenez votre part d’UV. Sinon ça va partir en semoule. Pas avec les politiques, aussi veules que complices et inopérants, mais avec une population lasse de compter les victimes de votre barbarie, alors que des problèmes économiques et sociaux lui nouent le ventre et lui compressent la tête.
Stop and go, fast.
Avant que l’émotion ne retombe, il faut un sursaut populaire, celui qui aurait dû battre le pavé après l’horreur Samuel Paty. Que l’émotion qui s’empare de la société ne se dilue dans le marigot politique. Si le raz de marée social annoncé par Mélenchon, le muezzin du sous-sol, ne fait que clapots sur clapotis, c’est parce qu’il s’est ensablé dans les dunes de théories fumeuses qui l’ont coupé des classes populaires. Alors, que ceux qui ont prophétisé les drames qui s’accumulent, ne fassent plus de hors-piste à Vichy avec Laval, avec Macron à Canossa. Ce qui brouille le message ne parvient jamais au destinataire.
.Sgaiuffu
On a la tête farcie par ces débats pour petits blancs soumis et décadents. Sur les 50 nuances de noir entre islam, islamisme, modérés, radicaux, français de souche, français du souk, le voile, le spi, l’espace public ou privé, le burkini dans la piscine, la baignoire ou sous la douche. A historiser et intellectualiser l’indicible, on moutonne pour hériter du sort d’un ovin pour l’Aïd.
Sauver la jeunesse iranienne.
Elle se sacrifie pour l’avenir de notre civilisation et nous offre sur un plateau le meilleur des arguments pour ne pas plier face au lobbying forcené du puissant secteur textile des dingos. Macron inflige des sanctions aux oligarques russes mais toujours rien aux oligarques des barbus, les qataris, indéfectibles soutiens des Ayatollahs. A qui il renouvelle le bail de leur vitrine démocratique. Et s’il confisquait leurs biens, leur Club, leurs Palaces, de Cannes et Paris, leurs numéros pairs et impairs sur les Champs. Jusqu’à ce que les gamines sortent des prisons d’Iran, que les armes des mollahs se taisent et que les épis rebelles s’animent au soleil levant. On peut toujours rêver. Entre le fric et la raison, c’est pour le moment le fric qui a raison.
Les barbaresques.
J’en ai plein le capuchon d’entendre parler de religion, à un point où le mot laïcité me sort par les nasoles. Elle ne tient plus les grilles du collège devant l’entrisme des Frères Musulmans votre laïcité. Et puis entre un musulman et un islamiste, aujourd’hui il y a quoi. Un “oui mais”. Ce putain de “oui mais” me téléporte direct chez l’allergologue. Ce “oui mais” dans la bouche des sarrasins dit modérés, après que deux enculés ont fait dégueuler leur kalach sur Cabu, avec sa coupe d’éternel ado et ses crayons de couleurs...OUI, ce n’est pas bien, MAIS, le prophète...80% des épouses et des filles des “modérés” sont plus voilées qu’un épouvantail d’Afghanistan.
En famille, au bar à chicha, à la mosquée, vous, vous savez qui dérive. A vous de faire le ménage. Quand on veut vivre peinard dans sa communauté, on met des anticorps au service de sa sécurité. Comme dans le Chinatown du pont de Manhattan et le Chinatown du Paris-13ème. Où l’on vit heureux, prospère et chinois. Sans imposer le canard laqué à la cantine, et la coupe au bol de riz dans les salons de coiffure. A vous d’éteindre l’imam en feu. Vous avez des filières pour entrer. Vous avez donc des filières pour sortir. Pour exfiltrer les brebis galeuses qui provoquent un drame par jour. En contrepartie c’est à la République de vous protéger des Muslim Brothers, des Salafistes&Co en leur réservant un taxi pour Tobrouk ou une first-class en pédalo au large du Cap Horn. Le soleil brille pour tout le monde, prenez votre part d’UV. Sinon ça va partir en semoule. Pas avec les politiques, aussi veules que complices et inopérants, mais avec une population lasse de compter les victimes de votre barbarie, alors que des problèmes économiques et sociaux lui nouent le ventre et lui compressent la tête.
Stop and go, fast.
Avant que l’émotion ne retombe, il faut un sursaut populaire, celui qui aurait dû battre le pavé après l’horreur Samuel Paty. Que l’émotion qui s’empare de la société ne se dilue dans le marigot politique. Si le raz de marée social annoncé par Mélenchon, le muezzin du sous-sol, ne fait que clapots sur clapotis, c’est parce qu’il s’est ensablé dans les dunes de théories fumeuses qui l’ont coupé des classes populaires. Alors, que ceux qui ont prophétisé les drames qui s’accumulent, ne fassent plus de hors-piste à Vichy avec Laval, avec Macron à Canossa. Ce qui brouille le message ne parvient jamais au destinataire.
.Sgaiuffu