Il ya 5 ans le massacre de Charlie Hebdo révélateur d'une crise de civilisation
Le procés des complices se l'attentat de 2015 contre Charlie Hebdo, hebdomadaire spécialisé dans la provocation s'est ouvert il y a une semaine.
Le procès des complices de l’attentat de 2015 contre Charlie Hebdo, hebdomadaire spécialisé dans la provocation (souvent de très mauvais goût), s’est ouvert il y a une semaine. Chacun a le droit de porter un jugement individuel sur les dessins publiés par Charlie. Personne n’a le droit d’imposer son point de vue par l’assassinat. Enfin le droit au blasphème appartient à notre patrimoine culturel et celui qui tente de s’y opposer doit être mis hors d’état de nuire.
Contre un certain islam
Est-ce être contre l’islam que de faire remarquer que cette religion, la plus jeune des religions issues de la Bible, est porteuse d’un totalitarisme absolument insupportable ? Est-ce être anti-islamique que de constater que partout où l’islam s’est imposé (ou presque) les libertés fondamentales ont été asservies aux diktats de la religion ?
Est-ce enfin être contre l’Islam que d’affirmer que la France est un pays laïc et que cette laïcité a été le fruit d’un très long combat contre la prégnance du catholicisme et qu’il n’est pas question de laisser piétiner ce principe par des salopards criminels ?
L’équation est simple : la France est régie par des lois, par des traditions qui imposent des droits et des devoirs. Si tel individu considère que ce tissu législatif est contraire à sa sensibilité religieuse, qu’il s’en aille.
Le monde ne manque pas de pays où l’islam a valeur de constitution.
Force est de constater qu’année après année, les partisans d’une neutralité laïque (et non d’un anti-islam) perdent du terrain. Un récent sondage donne 40 % de musulmans indifférents au drame de Charlie Hebdo et 28 % l’approuvant. Le pourcentage est plus fort encore chez les jeunes. C’est accablant et terriblement inquiétant.
Jusqu’alors les différents présidents et gouvernements ont cru qu’en tendant la main la situation s’arrangerait : elle empire. Les raisons en sont multiples : la crise sociale qui frappe durement une population engluée dans la pauvreté, la disparition des idéologies égalitaires et un besoin de spiritualité, un désordre désormais consubstantiel au monde et le désir de trouver des règles rassurantes.
Il n’empêche : l’islam radical gagne du terrain jusque dans des terres inconnues. Une grande partie des auteurs d’attentat étaient des convertis. Il serait temps d’en prendre conscience et d’agir à deux niveaux : la répression car sans elle il n’y aura aucun résultat en direction de personnes qui ne croient qu’au rapport de force ; la reconquête des territoires perdus notamment les cités de banlieue.
Affirmer une véritable politique sociale
Les plans devant bénéficier aux banlieues sont en France une véritable tarte à la crème. Des milliards ont été investis en quelques décennies pour un résultat absolument nul.
L’islamisme radical a fait son miel de cette misère. Le fait est que le racisme, bien réel dans le monde de l’emploi, favorise l’éclosion des vocations terroristes, mais que le terrorisme favorise le racisme. Réinvestir les banlieues (où se battent souvent dans une grande solitude des maires admirables), réimposer des policiers de proximité, retravailler à regagner de l’emploi, considérer avec dignité les jeunes de banlieue, voilà les missions que l’état devrait se fixer à très, très court terme.
L’Islam radical a l’avenir pour lui dans le monde. Il chevauche une démographie démente et un partage des richesses parfaitement inique : l’Occident possède 10 % de la population humaine et les trois quarts des richesses. Comment justifier un tel partage alors que l’Asie représente la moitié de la population humaine, que l’Afrique a franchi le cap du milliard d’individus ? Les protocoles issus du XIXe siècle sont à revoir du début jusqu’à la fin.
Charlie Hebdo a été un signal : des modes de pensée archaïques adoptés par des populations archaïques grignotent peu à peu le vieux monde. De deux choses l’une : soit nous renonçons à ce que nous sommes soit nous luttons. Mais pour lutter contre une telle masse, il faut être intelligent. Sans les musulmans de France qui, dans leur immense majorité, ne désirent que la paix et l’intégration, nous n’y parviendrons pas. C’est donc à une lutte au corps à corps qu’il faut accepter de se livrer. Ça ne sera pas facile. Il y aura des dégâts, mais il n’y a pas d’autre choix. Le combat doit être dépourvu de haine et néanmoins sans pitié.
GXC
Contre un certain islam
Est-ce être contre l’islam que de faire remarquer que cette religion, la plus jeune des religions issues de la Bible, est porteuse d’un totalitarisme absolument insupportable ? Est-ce être anti-islamique que de constater que partout où l’islam s’est imposé (ou presque) les libertés fondamentales ont été asservies aux diktats de la religion ?
Est-ce enfin être contre l’Islam que d’affirmer que la France est un pays laïc et que cette laïcité a été le fruit d’un très long combat contre la prégnance du catholicisme et qu’il n’est pas question de laisser piétiner ce principe par des salopards criminels ?
L’équation est simple : la France est régie par des lois, par des traditions qui imposent des droits et des devoirs. Si tel individu considère que ce tissu législatif est contraire à sa sensibilité religieuse, qu’il s’en aille.
Le monde ne manque pas de pays où l’islam a valeur de constitution.
Force est de constater qu’année après année, les partisans d’une neutralité laïque (et non d’un anti-islam) perdent du terrain. Un récent sondage donne 40 % de musulmans indifférents au drame de Charlie Hebdo et 28 % l’approuvant. Le pourcentage est plus fort encore chez les jeunes. C’est accablant et terriblement inquiétant.
Jusqu’alors les différents présidents et gouvernements ont cru qu’en tendant la main la situation s’arrangerait : elle empire. Les raisons en sont multiples : la crise sociale qui frappe durement une population engluée dans la pauvreté, la disparition des idéologies égalitaires et un besoin de spiritualité, un désordre désormais consubstantiel au monde et le désir de trouver des règles rassurantes.
Il n’empêche : l’islam radical gagne du terrain jusque dans des terres inconnues. Une grande partie des auteurs d’attentat étaient des convertis. Il serait temps d’en prendre conscience et d’agir à deux niveaux : la répression car sans elle il n’y aura aucun résultat en direction de personnes qui ne croient qu’au rapport de force ; la reconquête des territoires perdus notamment les cités de banlieue.
Affirmer une véritable politique sociale
Les plans devant bénéficier aux banlieues sont en France une véritable tarte à la crème. Des milliards ont été investis en quelques décennies pour un résultat absolument nul.
L’islamisme radical a fait son miel de cette misère. Le fait est que le racisme, bien réel dans le monde de l’emploi, favorise l’éclosion des vocations terroristes, mais que le terrorisme favorise le racisme. Réinvestir les banlieues (où se battent souvent dans une grande solitude des maires admirables), réimposer des policiers de proximité, retravailler à regagner de l’emploi, considérer avec dignité les jeunes de banlieue, voilà les missions que l’état devrait se fixer à très, très court terme.
L’Islam radical a l’avenir pour lui dans le monde. Il chevauche une démographie démente et un partage des richesses parfaitement inique : l’Occident possède 10 % de la population humaine et les trois quarts des richesses. Comment justifier un tel partage alors que l’Asie représente la moitié de la population humaine, que l’Afrique a franchi le cap du milliard d’individus ? Les protocoles issus du XIXe siècle sont à revoir du début jusqu’à la fin.
Charlie Hebdo a été un signal : des modes de pensée archaïques adoptés par des populations archaïques grignotent peu à peu le vieux monde. De deux choses l’une : soit nous renonçons à ce que nous sommes soit nous luttons. Mais pour lutter contre une telle masse, il faut être intelligent. Sans les musulmans de France qui, dans leur immense majorité, ne désirent que la paix et l’intégration, nous n’y parviendrons pas. C’est donc à une lutte au corps à corps qu’il faut accepter de se livrer. Ça ne sera pas facile. Il y aura des dégâts, mais il n’y a pas d’autre choix. Le combat doit être dépourvu de haine et néanmoins sans pitié.
GXC
