Le domaine de Murtoli conteste les affirmations d'U Levante
Le domaine de Murtoli a été mis en cause par l’association U Levante sur son site dans les termes suivants qui semblent avoir été effacés : l’État propose «une consultation au public afin que soit officialisée une zone de mouillage autorisée pour les yach
Le domaine de Murtoli conteste les affirmations d’U Levante
concernant les coffres d’amarrage dans son environnement
Le domaine de Murtoli a été mis en cause par l’association U Levante sur son site dans les termes suivants qui semblent avoir été effacés : l’État propose «une consultation au public afin que soit officialisée une zone de mouillage autorisée pour les yachts (…) face aux “grandes demeures” et au restaurant : leurs fortunés occupants pourront ainsi aller se res-taurer dans une structure totalement illégale et la faire prospérer ». Après le droit de réponse de Murtoli, U Levante renvoie à une page où n’apparaissent pas ces propos et précise : «U Levante prend donc acte que le domaine de Murtoli n’a pas sollicité l’État pour obtenir un coffre d’amarrage devant son restaurant…, affirmation que U Levante n’a jamais soutenue au demeurant, se contentant de relever (après l’épisode de la servitude du sentier du littoral évi-tant les bergeries) l’avantage objectif que procure ce type d’équipement pour un établissement commercial. » Pourquoi prendre acte si une telle supposition n’a jamais été évoquée par U Levante ? Et pourquoi ne retrouve-t-on pas le passage incriminé publié le 13 avril dernier ? Quant à Via Stella, elle avait le devoir éthique d’évidemment interroger U Levante mais également les personnes incriminées c’est-à-dire les propriétaires de Murtoli.
« Le 21 avril Via Stella a diffusé un intitulé « I batteloni in Murtoli » et disponible en replay à l’adresse:
https://france3-regions.france... /france-3_corse-viastella_jt-19-20-corsicasera
Michelle Salotti, présidente d'U Levante y affirmait que le domaine de Murtoli avait demandé et obtenu en face du domaine des coffres destinés au mouillage de gros yachts. Nous avons interrogé Paul Canarelli qui a fait la réponse suivante : « En premier lieu, le Domaine de Murtoli s’étonne du traitement très partial dont il fait l’objet dans ce reportage. « Ce n’est malheureusement pas la première fois que le Domaine de Murtoli constate, dans un reportage diffusé à l’antenne ou publié sur le site Internet de France 3 Via Stella, un traitement qui est explicitement dirigé contre son image, contre sa réputation et singulièrement contre sa clientèle. L'éthique journalistique aurait exigé que le domaine de Murtoli soit contacté pour donner sa version de la question. Les enquêtes doivent se dérouler à charge mais aussi à décharge. C'est la moindre des choses ou alors il ne faut pas invoquer la liberté de la presse.
Le Domaine, de Murtoli ne réclame aucun traitement de faveur de la part de France 3 Via Stella.
Il n’est pas acceptable, en revanche, que des contrevérités soient dites à l’antenne de la télévision de service public ni qu’un mépris soit affiché à l’égard de sa clientèle.
Le domaine a donc demandé de faire lecture du droit de réponse suivant à l'antenne.
« En réponse à votre reportage diffusé le vendredi 21 avril 2023, intitulé « I batteloni in Murtoli » et disponible en replay à l’adresse : https://france3-regions.france... /france-3_corse-viastella_jt-19-20-corsicasera
Contrairement à ce qui est affirmé dans votre reportage, par la voix de Michelle Salotti, Présidente de l’association U Levante, le Domaine de Murtoli ne souhaite pas et n’a jamais souhaité l’installation de coffres servant à l’amarrage des yachts dans la Baie de Roccapina.
Il est faux de dire, comme l’affirme Michelle Salotti qu’« une zone de mouillage est prévue spécialement pour ces personnes-là », en parlant des clients du Domaine de Murtoli. Le Domaine de Murtoli s’étonne que de tels propos complotistes, mettant gravement en cause l’Etat et les services de protection du littoral, puissent être diffusés sur France 3 Via Stella, sans qu’aucune contradiction ne leur soit apportée.
Le Domaine de Murtoli est, également, choqué par l’emploi de l’expression haineuse et méprisante « ces personnes-là » en parlant de sa clientèle. S’agit-il réellement de défendre l’environnement, ou de « casser du riche » ?Le Domaine de Murtoli s’étonne, par ailleurs, d’être le seul domaine hôtelier visé par le reportage, sur un projet auquel il est explicitement opposé, et qui concerne l’ensemble du littoral corse. Le Domaine de Murtoli rappelle qu’il a fait part de son opposition au projet d’implantation de coffres d’amarrage dans la baie de Roccapina auprès des autorités locales dès que ce projet a été connu. Soucieux de la biodiversité, comme de la tranquillité de sa clientèle, le Domaine de Murtoli n’a jamais encouragé le mouillage de yachts dans la baie de Roccapina.
Le Domaine de Murtoli précise qu’il ne condamne pas l’implantation de coffres d’amarrage, en général. Ces dispositifs particu-lièrement intelligents peuvent dans certaines conditions être nécessaires pour la préservation de l’environnement, et en particulier pour la sauvegarde des herbiers de Posidonies de Méditerranée. »
GXC
concernant les coffres d’amarrage dans son environnement
Le domaine de Murtoli a été mis en cause par l’association U Levante sur son site dans les termes suivants qui semblent avoir été effacés : l’État propose «une consultation au public afin que soit officialisée une zone de mouillage autorisée pour les yachts (…) face aux “grandes demeures” et au restaurant : leurs fortunés occupants pourront ainsi aller se res-taurer dans une structure totalement illégale et la faire prospérer ». Après le droit de réponse de Murtoli, U Levante renvoie à une page où n’apparaissent pas ces propos et précise : «U Levante prend donc acte que le domaine de Murtoli n’a pas sollicité l’État pour obtenir un coffre d’amarrage devant son restaurant…, affirmation que U Levante n’a jamais soutenue au demeurant, se contentant de relever (après l’épisode de la servitude du sentier du littoral évi-tant les bergeries) l’avantage objectif que procure ce type d’équipement pour un établissement commercial. » Pourquoi prendre acte si une telle supposition n’a jamais été évoquée par U Levante ? Et pourquoi ne retrouve-t-on pas le passage incriminé publié le 13 avril dernier ? Quant à Via Stella, elle avait le devoir éthique d’évidemment interroger U Levante mais également les personnes incriminées c’est-à-dire les propriétaires de Murtoli.
« Le 21 avril Via Stella a diffusé un intitulé « I batteloni in Murtoli » et disponible en replay à l’adresse:
https://france3-regions.france... /france-3_corse-viastella_jt-19-20-corsicasera
Michelle Salotti, présidente d'U Levante y affirmait que le domaine de Murtoli avait demandé et obtenu en face du domaine des coffres destinés au mouillage de gros yachts. Nous avons interrogé Paul Canarelli qui a fait la réponse suivante : « En premier lieu, le Domaine de Murtoli s’étonne du traitement très partial dont il fait l’objet dans ce reportage. « Ce n’est malheureusement pas la première fois que le Domaine de Murtoli constate, dans un reportage diffusé à l’antenne ou publié sur le site Internet de France 3 Via Stella, un traitement qui est explicitement dirigé contre son image, contre sa réputation et singulièrement contre sa clientèle. L'éthique journalistique aurait exigé que le domaine de Murtoli soit contacté pour donner sa version de la question. Les enquêtes doivent se dérouler à charge mais aussi à décharge. C'est la moindre des choses ou alors il ne faut pas invoquer la liberté de la presse.
Le Domaine, de Murtoli ne réclame aucun traitement de faveur de la part de France 3 Via Stella.
Il n’est pas acceptable, en revanche, que des contrevérités soient dites à l’antenne de la télévision de service public ni qu’un mépris soit affiché à l’égard de sa clientèle.
Le domaine a donc demandé de faire lecture du droit de réponse suivant à l'antenne.
« En réponse à votre reportage diffusé le vendredi 21 avril 2023, intitulé « I batteloni in Murtoli » et disponible en replay à l’adresse : https://france3-regions.france... /france-3_corse-viastella_jt-19-20-corsicasera
Contrairement à ce qui est affirmé dans votre reportage, par la voix de Michelle Salotti, Présidente de l’association U Levante, le Domaine de Murtoli ne souhaite pas et n’a jamais souhaité l’installation de coffres servant à l’amarrage des yachts dans la Baie de Roccapina.
Il est faux de dire, comme l’affirme Michelle Salotti qu’« une zone de mouillage est prévue spécialement pour ces personnes-là », en parlant des clients du Domaine de Murtoli. Le Domaine de Murtoli s’étonne que de tels propos complotistes, mettant gravement en cause l’Etat et les services de protection du littoral, puissent être diffusés sur France 3 Via Stella, sans qu’aucune contradiction ne leur soit apportée.
Le Domaine de Murtoli est, également, choqué par l’emploi de l’expression haineuse et méprisante « ces personnes-là » en parlant de sa clientèle. S’agit-il réellement de défendre l’environnement, ou de « casser du riche » ?Le Domaine de Murtoli s’étonne, par ailleurs, d’être le seul domaine hôtelier visé par le reportage, sur un projet auquel il est explicitement opposé, et qui concerne l’ensemble du littoral corse. Le Domaine de Murtoli rappelle qu’il a fait part de son opposition au projet d’implantation de coffres d’amarrage dans la baie de Roccapina auprès des autorités locales dès que ce projet a été connu. Soucieux de la biodiversité, comme de la tranquillité de sa clientèle, le Domaine de Murtoli n’a jamais encouragé le mouillage de yachts dans la baie de Roccapina.
Le Domaine de Murtoli précise qu’il ne condamne pas l’implantation de coffres d’amarrage, en général. Ces dispositifs particu-lièrement intelligents peuvent dans certaines conditions être nécessaires pour la préservation de l’environnement, et en particulier pour la sauvegarde des herbiers de Posidonies de Méditerranée. »
GXC