Sapè Fà : L’Orca Diana Saliceti mise sur l’agritourisme
Diana Saliceti mise sur l'agritourisme
L’Orca : Diana Saliceti mise sur l’agritourisme
Bien connue dans le monde de la chanson corse, Diana Saliceti se consacre, depuis quatre ans, à l’agritourisme. C’est sur un terrain familial situé à Porto Pollo qu’elle a créé « L’Orca », un lieu où elle propose des balades à cheval et travaille, parallèlement, l’oléiculture…
Tout le monde, en Corse et même bien au-delà de nos frontières, connaît Diana Saliceti et ses talents d’artistes. Moins nombreux sont celles et ceux qui connaissent son amour de la terre. Un amour qui lui valu de créer « L’orca », en 2020. « J’ai baigné en milieu rural, explique l’intéressée, et j’ai toujours gardé en moi, cet amour de la terre et l’idée de m’y installer un jour. C’est quelque chose qui m’a toujours accompagnée... »
En pleine période covid, Diana décide de s’investir. Et c’est sur un terrain familial, situé sur la commune de Porto Pollo, sur une superficie de >tros hectares, qu’elle débute. L’orca est en route. « Un nom, rappelle-t-elle, qui a plusieurs significations. C’est la jarre à huile, le personnage des légendes corses et pour moi également, mon chien, écrasé par une voiture un jour de récoltes. »
Une passion équestre
Le concept est très porteur. L’artiste concentre l’essentiel de son activité sur les balades à cheval pour petits et grands de tous niveaux. L’occasion de découvrir la baie de Cupabia ou encore la vallée du Taravu et les trésors qu’elle recèle. Diana en profite également pour faire connaître les plantes, arbres, fleurs et animaux de l’île à ses hôtes. Ainsi que quelques pans de l’histoire de notre île. Mais la passion équestre qui la caractérise lui a donc valu d’acheter une dizaine de chevaux, à 80 % de race corse « Paganacciu » et de créer, à cet effet, des écuries. Tout cela demande, bien sûr, un gros travail en amont. « Je propose des balades à l’heure, à la journée ou à la semaine, ajoute-t-elle, ce sont des moments de partage où l’on échange autour de l’île, bien sûr. On peut aussi chanter.»
Diana peut agrémenter les sorties d’un spuntinu ou encore faire visiter le domaine Abbatucci caractérisé par la célèbre vache tigre. « On évoque plusieurs thèmes, le vin avec Raphaël-Pierre Bianchetti, ils peuvent savourer le veau Abbatucci, découvrir avec Michel Delaugerre, les paysages du Taravu à travers une balade scientifique…Je travaille, actuellement, sur l’éventualité d’insérer le yoga dans ce projet. »
Diana ne manque pas d’idées et cumule ces balades avec l’oléiculture. Les récoltes sont faites « à l’anticu » et permettent de produire 500 litres d’huile d’olives par an, un chiffre qu’elle compte tripler d’ici l’an prochain. Enfin, la production de miel est envisagée pour 2026. Autant de domaines qui ont nécessité l’installation en tant que jeune agricultrice. Un tournant dans la vie de la jeune artiste qui n’a pas, pour autant, abandonné le chant. « C’est toute une organisation, je suis parfois en « surchauffe » mais c’est un tout. Parler, chanter, cultiver, balader, ce sont des moyens d’évoquer mon île et de transmettre un peu de cette passion. »
Une passion qui fait son chemin des micros et guitares à l’immensité de la nature…
Philippe Peraut
L’orca Agri-cultura
Randonnées équestres
D757, 20140, Serra di Ferru
Ouvert 24/24
contact : 06-15-68-12-44
Bien connue dans le monde de la chanson corse, Diana Saliceti se consacre, depuis quatre ans, à l’agritourisme. C’est sur un terrain familial situé à Porto Pollo qu’elle a créé « L’Orca », un lieu où elle propose des balades à cheval et travaille, parallèlement, l’oléiculture…
Tout le monde, en Corse et même bien au-delà de nos frontières, connaît Diana Saliceti et ses talents d’artistes. Moins nombreux sont celles et ceux qui connaissent son amour de la terre. Un amour qui lui valu de créer « L’orca », en 2020. « J’ai baigné en milieu rural, explique l’intéressée, et j’ai toujours gardé en moi, cet amour de la terre et l’idée de m’y installer un jour. C’est quelque chose qui m’a toujours accompagnée... »
En pleine période covid, Diana décide de s’investir. Et c’est sur un terrain familial, situé sur la commune de Porto Pollo, sur une superficie de >tros hectares, qu’elle débute. L’orca est en route. « Un nom, rappelle-t-elle, qui a plusieurs significations. C’est la jarre à huile, le personnage des légendes corses et pour moi également, mon chien, écrasé par une voiture un jour de récoltes. »
Une passion équestre
Le concept est très porteur. L’artiste concentre l’essentiel de son activité sur les balades à cheval pour petits et grands de tous niveaux. L’occasion de découvrir la baie de Cupabia ou encore la vallée du Taravu et les trésors qu’elle recèle. Diana en profite également pour faire connaître les plantes, arbres, fleurs et animaux de l’île à ses hôtes. Ainsi que quelques pans de l’histoire de notre île. Mais la passion équestre qui la caractérise lui a donc valu d’acheter une dizaine de chevaux, à 80 % de race corse « Paganacciu » et de créer, à cet effet, des écuries. Tout cela demande, bien sûr, un gros travail en amont. « Je propose des balades à l’heure, à la journée ou à la semaine, ajoute-t-elle, ce sont des moments de partage où l’on échange autour de l’île, bien sûr. On peut aussi chanter.»
Diana peut agrémenter les sorties d’un spuntinu ou encore faire visiter le domaine Abbatucci caractérisé par la célèbre vache tigre. « On évoque plusieurs thèmes, le vin avec Raphaël-Pierre Bianchetti, ils peuvent savourer le veau Abbatucci, découvrir avec Michel Delaugerre, les paysages du Taravu à travers une balade scientifique…Je travaille, actuellement, sur l’éventualité d’insérer le yoga dans ce projet. »
Diana ne manque pas d’idées et cumule ces balades avec l’oléiculture. Les récoltes sont faites « à l’anticu » et permettent de produire 500 litres d’huile d’olives par an, un chiffre qu’elle compte tripler d’ici l’an prochain. Enfin, la production de miel est envisagée pour 2026. Autant de domaines qui ont nécessité l’installation en tant que jeune agricultrice. Un tournant dans la vie de la jeune artiste qui n’a pas, pour autant, abandonné le chant. « C’est toute une organisation, je suis parfois en « surchauffe » mais c’est un tout. Parler, chanter, cultiver, balader, ce sont des moyens d’évoquer mon île et de transmettre un peu de cette passion. »
Une passion qui fait son chemin des micros et guitares à l’immensité de la nature…
Philippe Peraut
L’orca Agri-cultura
Randonnées équestres
D757, 20140, Serra di Ferru
Ouvert 24/24
contact : 06-15-68-12-44
