Bastia : La droite de la droite nationaliste occupe le terrain
Après Mossa Palatina, le mouvement lancé par Nicolas Battini, Forza Nova occupe le terrain. Les deux organisations ont un objectif commun : les élections municipales de Bastia.
Bastia : la droite de la droite nationaliste occupe le terrain
Après Mossa Palatina, le mouvement lancé par Nicolas Battini, Forza Nova occupe le terrain. Les deux organisations ont un objectif commun : les élections municipales de Bastia.
Le 28 mai dernier, le parti de droite nationaliste Forza Nova a tenu une conférence de presse en bloquant l’accès aux locaux de l’Office Public de l’Habitat Corse, autorité compétente dans l’attribution des logements sociaux, pour revendiquer : la corsisation des logements sociaux. Selon ce parti : « les franges les plus précarisées de notre peuple ont de plus en plus de mal à se loger. Dans le même temps, s'accélère la tiers-mondisation des quartiers dits populaires. Ces deux phénomènes sont le résultat d'une politique globale délibérée de Grand Remplacement menée par le régime de Paris et déclinée localement ». Forza Nova a aussi dénoncé les dispositifs sociaux (Mixité sociale », Droit au logement opposable…) les accusant de contribuer à « marginaliser et diluer les européens ». Enfin, Forza Nova a mis en cause une responsabilité partagée de l’État et des élus nationalistes des mairie de Bastia et de la CAB (Communauté d’Agglomération de Bastia) : « A Bastia, le contingent préfectoral représentant 30% des 5100 logements sociaux est quasi-exclusivement affecté à l'immigration extra-européenne, bien souvent envoyée par les préfectures du continent. A aucun moment, la Mairie de Bastia et la CAB, pourtant étiquetées nationalistes, ne se sont distinguées de la politique de l’État ». Pour Forza Nova : « Les Corses doivent être prioritaires dans l'attribution des logements sur la base des critères retenus par l'Assemblée de Corse concernant le « statut de résident » voté par l'Assemblée de Corse : 5 ans de résidence ou dispositions spéciales incluant les corses de la diaspora désirant revenir sur l’île » et les élus nationalistes doivent « engager une politique de corsisation des logements sociaux au besoin en s'opposant à l'appareil d'État français ». Après Mossa Palatina, le mouvement lancé par Nicolas Battini, Forza Nova montre que la droite de la droite nationaliste veut occuper le terrain. Les deux organisations ont d’ailleurs un objectif commun : les élections municipales de Bastia. En effet, il y a quelques semaines, et ce, quelques jours après que Mossa Palatina l’ait fait, Forza Nova a annoncé qu’en 2026, lors des élections municipales de Bastia, il sera présent et que la liste sera conduite par Christophe Canioni, ancien élu territorial et ancien président du groupe Front National à l’Assemblée de Corse.
PC
Après Mossa Palatina, le mouvement lancé par Nicolas Battini, Forza Nova occupe le terrain. Les deux organisations ont un objectif commun : les élections municipales de Bastia.
Le 28 mai dernier, le parti de droite nationaliste Forza Nova a tenu une conférence de presse en bloquant l’accès aux locaux de l’Office Public de l’Habitat Corse, autorité compétente dans l’attribution des logements sociaux, pour revendiquer : la corsisation des logements sociaux. Selon ce parti : « les franges les plus précarisées de notre peuple ont de plus en plus de mal à se loger. Dans le même temps, s'accélère la tiers-mondisation des quartiers dits populaires. Ces deux phénomènes sont le résultat d'une politique globale délibérée de Grand Remplacement menée par le régime de Paris et déclinée localement ». Forza Nova a aussi dénoncé les dispositifs sociaux (Mixité sociale », Droit au logement opposable…) les accusant de contribuer à « marginaliser et diluer les européens ». Enfin, Forza Nova a mis en cause une responsabilité partagée de l’État et des élus nationalistes des mairie de Bastia et de la CAB (Communauté d’Agglomération de Bastia) : « A Bastia, le contingent préfectoral représentant 30% des 5100 logements sociaux est quasi-exclusivement affecté à l'immigration extra-européenne, bien souvent envoyée par les préfectures du continent. A aucun moment, la Mairie de Bastia et la CAB, pourtant étiquetées nationalistes, ne se sont distinguées de la politique de l’État ». Pour Forza Nova : « Les Corses doivent être prioritaires dans l'attribution des logements sur la base des critères retenus par l'Assemblée de Corse concernant le « statut de résident » voté par l'Assemblée de Corse : 5 ans de résidence ou dispositions spéciales incluant les corses de la diaspora désirant revenir sur l’île » et les élus nationalistes doivent « engager une politique de corsisation des logements sociaux au besoin en s'opposant à l'appareil d'État français ». Après Mossa Palatina, le mouvement lancé par Nicolas Battini, Forza Nova montre que la droite de la droite nationaliste veut occuper le terrain. Les deux organisations ont d’ailleurs un objectif commun : les élections municipales de Bastia. En effet, il y a quelques semaines, et ce, quelques jours après que Mossa Palatina l’ait fait, Forza Nova a annoncé qu’en 2026, lors des élections municipales de Bastia, il sera présent et que la liste sera conduite par Christophe Canioni, ancien élu territorial et ancien président du groupe Front National à l’Assemblée de Corse.
PC