• Le doyen de la presse Européenne

I puttachji di Carl' Antò

i Puttachji de la semaine

Romain Colonna pitoyable

La boucherie électorale a été très dur pour le candidat de Femu dans la 1ere circonscription de la Corse du sud. De plus après sa défaite au 1er tour des législatives il s’est livré sur les ondes de RCFM à l’analyse politique de ce naufrage. Il a en effet indiqué qu’il avait réalisé une campagne dynamique et très « politique » en faisant toutes les mairies et même qu’en plus il avait ouvert une permanence électorale. Nous sommes très très loin de l’analyse et même du discours politico-nationaliste, mais il est vrai que les Natios-bobos n’ont peut-être pas toutes les cordes de la lutte Nationaliste ni du mouvement. Ça en devient pitoyable

Surprenant ordre des priorités


Ces mots sont extraits de la brochure programmatique d’un candidat : « Les 30 juin et 7 juillet, vous serez amenés à choisir votre député. C’est un vote décisif pour la France. C’est aussi un moment crucial pour notre île » Rien à redire s’il s’agissait du document d’un candidat arborant l’étiquette d’un parti ayant pour siège un immeuble parisien. Surprenant ordre des priorités si l’on considère que le candidat en question est le député sortant de la première circonscription de la Haute-Corse. Mighé, rassure-nous, tu ne vas pas un jour nous demander de t’appeler Michel.


Même au sein du JDC…

Marine Le Pen a évoqué durant une Matinale de France Inter, la possible existence d’un « coup d'État administratif » rampant mis en œuvre par Emmanuel Macron. Selon la leader du Rassemblement National, il se dit qu’anticipant une cohabitation, le président de la République envisagerait de promouvoir ou nommer plusieurs hauts fonctionnaires à des postes-clés afin d’empêcher Jordan Bardella de gouverner. Horrible flash : le recteur de l'Académie de Corse Jean-Philippe Agresti, proche du cercle présidentiel, qui vient d’être nommé recteur de l'Académie Orléans-Tours, est peut-être un bénéficiaire ou même un acteur d’un complot. Bon, même au sein du JDC, la paranoïa menace…


La question a-t-elle été abordée ?

Le maire de Bastia avait cru bon, avant le premier tour des élections législatives, de faire remarquer, et ce, peu aimablement, que selon lui, le tract distribué par un militant de gauche en campagne mentionnait illicitement Nouveau Front Populaire. Lors de la rencontre de militants de la coalition pour discuter d’un désistement de son candidat en faveur de Michel Castellani, la question a-t-elle été abordée ?
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