Le Domaine Mondoloni
Le choix de vie de Paul-Antoine Mondoloni
Le choix de vie de Paul-Antoine Mondoloni
Celui qui est encore un jeune viticulteur, s’attache à cultiver les vieilles vignes de son domaine selon un savant mélange, on pourrait dire assemblage de tradition, d’authenticité, de modernité et d’air du temps.
C’est en 2021 que l’aventure a commencé. Paul-Antoine Mondoloni a quitté Paris et l’univers de l’informatique et du développement web pour celui de la vigne. En effet, passionné de l’art de la vigne, il a décidé de créer une exploitation viticole dans la région où sa famille a ses racines. En Corse du Sud, sur le territoire de Sartè, plus précisément au cœur la vallée de Tizzanu. Le domaine Mondoloni est ainsi né d’un choix de vie et de l’amour d’une terre mis au service d’une passion. Cette nouvelle vie a pris racine à partir de la reprise d’un domaine existant. Celui créé en 1965 par la famille Dermy. Venue d’Afrique du Nord, issu d’une lignée de viticulteurs, cette famille avait choisi la Corse. Difficile de s’installer ? Oui et non. Paul-Antoine Mondoloni confie qu’il a bénéficié des conseils éclairés des anciens propriétaires, deux frères Dermy, et des enseignements d’une VAE lui ayant permis d’acquérir les bases de la viticulture. Il évoque l’atout que représentent ses compétences en gestion et commerciales qu’il avait acquises dans son parcours professionnel. Il remercie l’entraide agricole qui lui permet, n’ayant pas encore sa propre cave, d’utiliser les équipements de la cave coopérative voisine. Il déclare être satisfait du conseil et des aides apportées par l’ODARC et la Chambre d’agriculture et plus particulièrement par FranceAgriMer. Cet établissement public administratif placé sous la tutelle du ministère en charge de l’agriculture, gère et verser des aides au titre de fonds européens et nationaux.
« C’est vivre l’attachement à son territoire, c’est créer du plaisir partagé »
Le domaine Mondoloni s’étend sur 34 hectares. Celui qui est encore un jeune viticulteur, s’attache à cultiver les vieilles vignes de son domaine selon un savant mélange, on pourrait dire assemblage. Tradition : il vendange manuellement. Authenticité : il s’attache à produire à partir de de cépages typiquement corses (Sciaccarellu, Niellucciu, Vermentinu) ou devenus endémiques sur ses sols (Grenache, Cinsault, Syrah). Modernité : il travaille à concevoir la réalisation de sa propre cave en prévoyant des cuves inox. Air du temps : la production est bio. Ce dernier point, cependant, ne lui semble pas relever de la situation la plus avantageuse. En effet, le bio, dit-il, c’est un cahier des charges imposant d’importantes contraintes dont résultent des coûts élevés. Ainsi, débroussailler mécaniquement et traiter à l’argile pour écarter les insectes et les parasites, demande un important temps de travail et de la consommation d’énergie. Et un retour n’est pas assuré car l’augmentation des coûts conduit à devoir fixer des prix du vin plus élevés, ce qui ne facilite pas la commercialisation. Pas de quoi cependant détourner Paul-Antoine Mondoloni de son projet de vie ou le décourager. Mais il précise que s’investir dans un vignoble, ne doit pas être fait à la légère car : « On n’est pas dans une démarche start-up mais dans un engagement qui va durer toute une vie. On doit être conscient qu’il ne faudra pas compter son temps. Il faut être solide moralement et physiquement car les aléas sont nombreux, notamment la météo, et le travail est épuisant. Il faut se dire que la viticulture, on peut bien en vivre mais cela n’enrichit pas financièrement ». Paul-Antoine Mondoloni ajoute cependant qu’il y a une belle compensation car être vigneron : « C’est vivre l’attachement à son territoire, c’est créer du plaisir partagé ».
JPB
Prima, c’est trois couleurs
En 2021, est né le premier millésime : « Prima ». Ce nom simple et le design épuré de l’étiquette sont accrocheurs. Prima est commercialisé dans les réseaux cavistes, auprès de restaurants et à l’Hôtel du Golfe Tizzano.
Prima Rouge. Composé à partir des raisins de vieilles vignes cultivées en agriculture biologique et vendangées manuellement. Il représente l’ADN du domaine et de son encépagement. Composition : 50% Sciaccarellu, 30% Niellucciu, 10% Grenache, 10% de Syrah.il a été commercialisé à partir de 2023.
Prima Blanc 2023. Composé uniquement à partir de raisons de vieilles vignes cultivées en agriculture biologique et vendangées manuellement. Pur produit issu d’un cépage autochtone plantée en 1972. Composition : 100% Vermentino. Le premier millésime Blanc du Domaine Mondoloni est commercialisé dans les réseaux cavistes, dans une sélection réduite de carte en restauration et dans notre point de vente à l’Hôtel du Golfe Tizzano.
Prima Rosé 2023. Composition : 40% Sciaccarellu, 40% Niellucciu, 20% Cinsault.
Domaine Mondoloni | Vignoble Corse Sartène
Domaine Mondoloni Vallée de Tizzano / Sartène
Celui qui est encore un jeune viticulteur, s’attache à cultiver les vieilles vignes de son domaine selon un savant mélange, on pourrait dire assemblage de tradition, d’authenticité, de modernité et d’air du temps.
C’est en 2021 que l’aventure a commencé. Paul-Antoine Mondoloni a quitté Paris et l’univers de l’informatique et du développement web pour celui de la vigne. En effet, passionné de l’art de la vigne, il a décidé de créer une exploitation viticole dans la région où sa famille a ses racines. En Corse du Sud, sur le territoire de Sartè, plus précisément au cœur la vallée de Tizzanu. Le domaine Mondoloni est ainsi né d’un choix de vie et de l’amour d’une terre mis au service d’une passion. Cette nouvelle vie a pris racine à partir de la reprise d’un domaine existant. Celui créé en 1965 par la famille Dermy. Venue d’Afrique du Nord, issu d’une lignée de viticulteurs, cette famille avait choisi la Corse. Difficile de s’installer ? Oui et non. Paul-Antoine Mondoloni confie qu’il a bénéficié des conseils éclairés des anciens propriétaires, deux frères Dermy, et des enseignements d’une VAE lui ayant permis d’acquérir les bases de la viticulture. Il évoque l’atout que représentent ses compétences en gestion et commerciales qu’il avait acquises dans son parcours professionnel. Il remercie l’entraide agricole qui lui permet, n’ayant pas encore sa propre cave, d’utiliser les équipements de la cave coopérative voisine. Il déclare être satisfait du conseil et des aides apportées par l’ODARC et la Chambre d’agriculture et plus particulièrement par FranceAgriMer. Cet établissement public administratif placé sous la tutelle du ministère en charge de l’agriculture, gère et verser des aides au titre de fonds européens et nationaux.
« C’est vivre l’attachement à son territoire, c’est créer du plaisir partagé »
Le domaine Mondoloni s’étend sur 34 hectares. Celui qui est encore un jeune viticulteur, s’attache à cultiver les vieilles vignes de son domaine selon un savant mélange, on pourrait dire assemblage. Tradition : il vendange manuellement. Authenticité : il s’attache à produire à partir de de cépages typiquement corses (Sciaccarellu, Niellucciu, Vermentinu) ou devenus endémiques sur ses sols (Grenache, Cinsault, Syrah). Modernité : il travaille à concevoir la réalisation de sa propre cave en prévoyant des cuves inox. Air du temps : la production est bio. Ce dernier point, cependant, ne lui semble pas relever de la situation la plus avantageuse. En effet, le bio, dit-il, c’est un cahier des charges imposant d’importantes contraintes dont résultent des coûts élevés. Ainsi, débroussailler mécaniquement et traiter à l’argile pour écarter les insectes et les parasites, demande un important temps de travail et de la consommation d’énergie. Et un retour n’est pas assuré car l’augmentation des coûts conduit à devoir fixer des prix du vin plus élevés, ce qui ne facilite pas la commercialisation. Pas de quoi cependant détourner Paul-Antoine Mondoloni de son projet de vie ou le décourager. Mais il précise que s’investir dans un vignoble, ne doit pas être fait à la légère car : « On n’est pas dans une démarche start-up mais dans un engagement qui va durer toute une vie. On doit être conscient qu’il ne faudra pas compter son temps. Il faut être solide moralement et physiquement car les aléas sont nombreux, notamment la météo, et le travail est épuisant. Il faut se dire que la viticulture, on peut bien en vivre mais cela n’enrichit pas financièrement ». Paul-Antoine Mondoloni ajoute cependant qu’il y a une belle compensation car être vigneron : « C’est vivre l’attachement à son territoire, c’est créer du plaisir partagé ».
JPB
Prima, c’est trois couleurs
En 2021, est né le premier millésime : « Prima ». Ce nom simple et le design épuré de l’étiquette sont accrocheurs. Prima est commercialisé dans les réseaux cavistes, auprès de restaurants et à l’Hôtel du Golfe Tizzano.
Prima Rouge. Composé à partir des raisins de vieilles vignes cultivées en agriculture biologique et vendangées manuellement. Il représente l’ADN du domaine et de son encépagement. Composition : 50% Sciaccarellu, 30% Niellucciu, 10% Grenache, 10% de Syrah.il a été commercialisé à partir de 2023.
Prima Blanc 2023. Composé uniquement à partir de raisons de vieilles vignes cultivées en agriculture biologique et vendangées manuellement. Pur produit issu d’un cépage autochtone plantée en 1972. Composition : 100% Vermentino. Le premier millésime Blanc du Domaine Mondoloni est commercialisé dans les réseaux cavistes, dans une sélection réduite de carte en restauration et dans notre point de vente à l’Hôtel du Golfe Tizzano.
Prima Rosé 2023. Composition : 40% Sciaccarellu, 40% Niellucciu, 20% Cinsault.
Domaine Mondoloni | Vignoble Corse Sartène
Domaine Mondoloni Vallée de Tizzano / Sartène