Football : Julien Anziani U stintu "biancu è rossu"
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Julien Anziani : u stintu « biancu è rossu »
De retour dans son club formateur, le milieu de terrain ajaccien s’affirme comme l’un des moteurs du groupe « biancu è rossu » cette saison.
Le parcours footballistique de Julien Anziani ne s’apparente pas une partie de plaisir. Formé à l’ACA de 5 à 17 ans, le fils d’Eric, ancien joueur-éducateur de l’ACA et le neveu de Philippe, qui fut international, Julien a connu les « U17 « et les « U19 » nationaux avec la génération de Matteo Tramoni ou Lucas Pellegrini. Pourtant, c’est au GFCA qu’il signe son premier contrat professionnel en L2 pour trois ans. « Trois belles saisons, se souvient-il, j’ai été vite plongé dans le bain en intégrant le groupe. Une belle équipe qui m’a permis de m’aguerrir malgré le traumatisme du match contre Le Mans de triste mémoire...Les derbys ? Je n’ai pas trop senti de rivalité puisque j’ai joué dans les deux clubs... »
Des ambitions légitimes
En quête de temps de jeu, le jeune milieu de terrain poursuit son parcours à Avranches et Borgu (National) et Dunkerque, avec qui il accède et se maintient en Ligue 2. Avec un souvenir, celui de la première victoire à domicile des Nordistes contre...L’ACA. « C’est toujours particulier de jouer contre son club de coeur mais les deux se sont maintenus, donc... »
En fin de saison dernière, il est contacté par Yohan Cavalli. « Je me sentais prêt mentalement à relever ce nouveau défi. D’autant que l’expérience acquise m’a servi. C’est une fierté de revenir ici. Mais je reviens avec des ambitions. J’ai tout ce qu’il faut pour réussir et apporter vraiment quelque chose au club. C’est un plus d’avoir des jeunes formés au club ici. »
Après trois matchs, l’ACA occupe la cinquième place et reste sur deux victoires à Timizzolu. « On a fait une bonne préparation et cela s’est ressenti sur le terrain. Il y a encore des points à revoir mais dans l’ensemble, le contenu proposé surtout à la maison, est intéressant. Il y a de la qualité dans ce groupe et le fait d’avoir renversé une situation compromise contre Troyes, n’est pas anodin. »
En trois matchs, le jeune ajaccien s’est imposé dans l’entre-jeu « biancu è rossu ». Un atout supplémentaire non négligeable pour Mathieu Chabert. Eric Anziani peut être fier.
Ph.P.
Photo Philippe Peraut
De retour dans son club formateur, le milieu de terrain ajaccien s’affirme comme l’un des moteurs du groupe « biancu è rossu » cette saison.
Le parcours footballistique de Julien Anziani ne s’apparente pas une partie de plaisir. Formé à l’ACA de 5 à 17 ans, le fils d’Eric, ancien joueur-éducateur de l’ACA et le neveu de Philippe, qui fut international, Julien a connu les « U17 « et les « U19 » nationaux avec la génération de Matteo Tramoni ou Lucas Pellegrini. Pourtant, c’est au GFCA qu’il signe son premier contrat professionnel en L2 pour trois ans. « Trois belles saisons, se souvient-il, j’ai été vite plongé dans le bain en intégrant le groupe. Une belle équipe qui m’a permis de m’aguerrir malgré le traumatisme du match contre Le Mans de triste mémoire...Les derbys ? Je n’ai pas trop senti de rivalité puisque j’ai joué dans les deux clubs... »
Des ambitions légitimes
En quête de temps de jeu, le jeune milieu de terrain poursuit son parcours à Avranches et Borgu (National) et Dunkerque, avec qui il accède et se maintient en Ligue 2. Avec un souvenir, celui de la première victoire à domicile des Nordistes contre...L’ACA. « C’est toujours particulier de jouer contre son club de coeur mais les deux se sont maintenus, donc... »
En fin de saison dernière, il est contacté par Yohan Cavalli. « Je me sentais prêt mentalement à relever ce nouveau défi. D’autant que l’expérience acquise m’a servi. C’est une fierté de revenir ici. Mais je reviens avec des ambitions. J’ai tout ce qu’il faut pour réussir et apporter vraiment quelque chose au club. C’est un plus d’avoir des jeunes formés au club ici. »
Après trois matchs, l’ACA occupe la cinquième place et reste sur deux victoires à Timizzolu. « On a fait une bonne préparation et cela s’est ressenti sur le terrain. Il y a encore des points à revoir mais dans l’ensemble, le contenu proposé surtout à la maison, est intéressant. Il y a de la qualité dans ce groupe et le fait d’avoir renversé une situation compromise contre Troyes, n’est pas anodin. »
En trois matchs, le jeune ajaccien s’est imposé dans l’entre-jeu « biancu è rossu ». Un atout supplémentaire non négligeable pour Mathieu Chabert. Eric Anziani peut être fier.
Ph.P.
Photo Philippe Peraut