I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
Carl’Antò I PUTTACHJI
Deux pierres contre Pierre
Le poil à gratter Frédéric Poletti a mis provisoirement de côté le dossier « Prix des carburants en Corse » pour jeter deux grosses pierres dans le pré carré de Pierre Savelli. Il a en effet révélé sur sa page Facebook l’existence de deux documents qui étrillent le projet de révision du PLU de Bastia. Le premier consiste en une lettre du Président du conseil exécutif. Gilles Simeoni, s’il n’émet pas un avis favorable ou défavorable, y formule des observations qui sont loin d’être des louanges. Le second est une note de 22 pages du Président de la Communauté d’Agglomération. Louis Pozzo di Borgo y détaille pourquoi il juge défavorablement la copie bastiaise. Frédéric a lancé les pierres contre Pierre. Gilles et Louis les ont fournies. Le trio de copains Femu vit bien…
Taupe ou serpent ?
La fuite de deux documents révélant pour le moins un gros désaccord et une courtoisie tres particulière entre d’une part le maire de Bastia, et d’autre part les président du Conseil exécutif et de la Communauté d’Agglomération de Bastia, suggère une question : taupe ou serpent ? Taupe si celle ou celui qui a perpétré la fuite est un(e) opposant(e). Serpent si la fuite est en réalité un super coup tordu organisé par des « amis » du maire qui souhaiteraient avoir un nouvel ami en 2026.
Tant mieux ou tant pis
Jérôme Filippini, le nouveau préfet de Corse, a déclaré dans un entretien accordé à Corse Matin : « J'aurai le rôle que l'on me demandera de tenir ». Voilà qui est rassurant et questionnant à la fois. C’est rassurant car il ne demandera à personne de jouer avec des bidons d’essence et des allumettes comme l’avait fait un de ses prédécesseurs. Tant mieux pour nous. C’est questionnant car, très probablement, lui-même et aucun de ses proches collaborateurs ne prendra le risque de froisser quiconque. Peut-être tant pis pour nous car le rôle d’un préfet est aussi de prévenir que l’on va dans le mur. Cela étant, on peut comprendre Jérôme Jérôme Filippini car ce qu’on lui demande risque de changer quotidiennement et car ses patrons Macron et Retailleau ne sont pas réputés pour laisser s’exprimer l’initiative.
Deux pierres contre Pierre
Le poil à gratter Frédéric Poletti a mis provisoirement de côté le dossier « Prix des carburants en Corse » pour jeter deux grosses pierres dans le pré carré de Pierre Savelli. Il a en effet révélé sur sa page Facebook l’existence de deux documents qui étrillent le projet de révision du PLU de Bastia. Le premier consiste en une lettre du Président du conseil exécutif. Gilles Simeoni, s’il n’émet pas un avis favorable ou défavorable, y formule des observations qui sont loin d’être des louanges. Le second est une note de 22 pages du Président de la Communauté d’Agglomération. Louis Pozzo di Borgo y détaille pourquoi il juge défavorablement la copie bastiaise. Frédéric a lancé les pierres contre Pierre. Gilles et Louis les ont fournies. Le trio de copains Femu vit bien…
Taupe ou serpent ?
La fuite de deux documents révélant pour le moins un gros désaccord et une courtoisie tres particulière entre d’une part le maire de Bastia, et d’autre part les président du Conseil exécutif et de la Communauté d’Agglomération de Bastia, suggère une question : taupe ou serpent ? Taupe si celle ou celui qui a perpétré la fuite est un(e) opposant(e). Serpent si la fuite est en réalité un super coup tordu organisé par des « amis » du maire qui souhaiteraient avoir un nouvel ami en 2026.
Tant mieux ou tant pis
Jérôme Filippini, le nouveau préfet de Corse, a déclaré dans un entretien accordé à Corse Matin : « J'aurai le rôle que l'on me demandera de tenir ». Voilà qui est rassurant et questionnant à la fois. C’est rassurant car il ne demandera à personne de jouer avec des bidons d’essence et des allumettes comme l’avait fait un de ses prédécesseurs. Tant mieux pour nous. C’est questionnant car, très probablement, lui-même et aucun de ses proches collaborateurs ne prendra le risque de froisser quiconque. Peut-être tant pis pour nous car le rôle d’un préfet est aussi de prévenir que l’on va dans le mur. Cela étant, on peut comprendre Jérôme Jérôme Filippini car ce qu’on lui demande risque de changer quotidiennement et car ses patrons Macron et Retailleau ne sont pas réputés pour laisser s’exprimer l’initiative.