• Le doyen de la presse Européenne

Election de Donald Trump : grand vent sur l 'europe

L'élection triomphale de Donald trump a rebattu les cartes.......

Election de Donald Trump : grand vent sur l’Europe, éclaircie pontificale en Corse





L’élection triomphale de Donald Trump a rebattu les cartes en ridiculisant la macronie, ses serviteurs et folliculaires obséquieux.


C’est une révolution qui punit très heureusement la France servile qui avait mis ses pas à la suite du wokisme du parti démocrate américain. Quelle rigolade, quelle farce tragique ! Cette réflexion vaut aussi bien pour l’Europe débile qui a abrité de son vaste manteau d’insanités la politique des nations qu’elle a privées ainsi de toute intelligence en omettant leur histoire et en leur imposant le tropisme de la guerre russo-ukrainienne par dessus le marché.

Quand on a le goût délétère de détruire, on ne s'arrête pas en chemin.Après Paris, réduit à l'état de champ de ruines, qui veut marquer son temps par un comportement empreint de rage et de bêtise, tissu probablement de la frustration et de l'envie sociale. Les imbéciles ont coupé les ponts avec la Russie et suspendu les liaisons aériennes en même temps qu’ils gelaient le commerce Est-est. Que de ruines !

Demain ce sera la musique et la proscription des musiciens russes. Et pourquoi pas interdire Dostoiewski et Gogol tant qu'on y est!L'Himalaya de la sottise culmine à des sommets, jadis effleurés par l'ineffable Sapeur Camembert cité lors de l’une de ses conférences de presse par l’estimé Président Georges Pompidou. Le baron Pierre de Coubertin avait très justement réinstauré les jeux olympiques dans le souci de dépasser le nanisme des politiciens opposant les peuples entre eux par intérêt aveugle. Ce sont rarement les peuples qui courent à la guerre, mais les faux prophètes, faux sages et derviches en tous genres qui les dirigent. Admettons-le une fois pour toutes, les russes ne sont pas le décalque de leur gouvernement. Il en est de même de la musique.
Va-t-on expulser les chinois et les russes, les iraniens, les syriens et leurs alliés de la fréquentation des festivals ? Ah ! mon Dieu, qu'on est bête quand on est vraiment bête ! Avec ou sans vélo !

La bonne conscience du politiquement correct, on en a maintenant la confirmation la plus implacable, n'est pas autre chose que le masque de l'hypocrisie.


L’ordre international se rétablira j’imagine lentement et malheureusement au détriment des pays européens de l’Ouest quand l’Amérique entreprendra sous peu de reconstituer les relations internationales. La France paiera le prix fort tant elle est prête à perdre son identité, son peuple, sa langue , sa religion et son histoire.

Pour lire Tartuffe demain, sans glossaire, il faudra que les insensés qui s'acharnent à détruire la langue française, dans le souci de de bâtir une société plus égale dans laquelle l'ignorance et la vulgarité ne seraient plus inférieures à la sagesse et la beauté, disparaissent. Le singe enfin hissé à la hauteur de l’homme ? Quel exploit ! En parlant de singe,enfin nous y sommes. Il prenait le Pirée pour un homme dit La Fontaine dans la fable Le singe et le dauphin.

Abasourdi d’inanités sonores, comme le dit le poète, répandues à flots continus par les chaines de télévision, sauf deux, C News et C8, ainsi que par une bonne partie des la presse écrite, le verbiage et le galimatias s'emparent des esprits. D'où le saccage de la langue, pour aider à la circulation des âneries que la culture classique ne peut plus filtrer. C'est la lecture des classiques le remède à l’imbécillité, rien d’autre ! Dans le remarquable Tribulat Bonhomet, livre du Marquis Villiers de l’Isle-Adam, le personnage poursuit de son axiomatique bornée le lecteur, putatif interlocuteur, jusqu'à déclencher de sa part un fou rire inextinguible, fruit de la panique qu'entraîne l'obtusité d'une logique fondée sur le seul non-sens matérialiste. C'est bien ce qui arrive aujourd'hui quand la lecture du seul règlement de la SNCF est évidemment impuissante à stopper une locomotive emballée qui fonce vers la gare. Tribulat veut écouter le chant du cygne dont on lui a révélé qu'il était le plus beau autant qu'il était le dernier. Il va donc étrangler des cygnes la nuit au bois de Boulogne. C'est la logique de Tribulat, que poursuivent nos maîtres. Attendons de voir.

Une espérance cependant, l’éventuel voyage du Saint- Père à Ajaccio pour récompenser la ferveur populaire et la sincérité de l’expression religieuse en Corse. Un sacré coup de chapeau à Monseigneur Bustillo.




Jean-François Marchi
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