I puttachji di Carl' Antò
i Puttachji de la semaine
Hier discrète, aujourd’hui fantomatique
Le siège de la sous-préfecture de Corti, il faut vraiment savoir qu’il existe. En outre, depuis plus de deux mois, manque le sous-préfet. La présence sous-préfectorale cortenaise qui était des plus discrètes ces dernières années, est donc devenue fantomatique.
Météorologues de salon ou de réseaux sociaux
Certains individus se plaisent à critiquer les autorités - taxant ces dernières d’être alarmistes – S’il ne survient rien de fâcheux après une alerte Jaune, Orange ou Rouge ayant prévenu qu’une dégradation des conditions météorologiques risquait de représenter un danger pour les personnes et les biens, des météorologues de salon ou de réseaux sociaux dénoncent un alarmisme ou une incompétence des autorités. Gageons que si demain, une montée brutale des eaux ou un vent violent provoque un accident grave ou une catastrophe, et que l’alerte n’a pas été donnée ou a été tardive, ces experts ne manqueront pas de dénoncer une non application du principe de précaution et de demander réparation.
Bref ménage à trois
Au printemps dernier, trois petits partis se réclamant de la droite identitaire corse (Forza Nova, Avvene Corsu, Rassemblement Patriotique Républicain) ont fait connaître leur volonté d’union et de travailler ensemble. Le 12 octobre dernier, ils ont annoncé que lors des prochaines élections municipales, derrière la bannière Union des droites-Per i nostri, ils iraient ensemble au combat pour arracher la ville de Bastia à Pierre Savelli. Il y a quelques jours, a été rendu public le divorce entre d’une part, Forza Nova, et d’autre part, Avvene Corsu et le Rassemblement Patriotique Républicain. Le ménage à trois n’a même pas atteint la durée des noces de coton.
Ils méritent au moins le respect
Certains médias hexagonaux se livrent au plaisir aussi malsain que mesquin de se moquer des prévenus qui comparaissent ces derniers jours devant un tribunal parisien pour s’être - durant quelques mois et afin d’attirer l’attention sur la Question corse - parés des treillis de la clandestinité et armés de quelques pétoires. Certes, ces hommes n’ont pas fait preuve d’expertise es-clandestinité, et ne font pas dans le procès de rupture qui était cher à Maître Vergès. Cependant, du fait de leur engagement sincère et désintéressé (et même si certains d’eux peinent à expliquer ou à assumer), ces hommes méritent au moins le respect.
Le siège de la sous-préfecture de Corti, il faut vraiment savoir qu’il existe. En outre, depuis plus de deux mois, manque le sous-préfet. La présence sous-préfectorale cortenaise qui était des plus discrètes ces dernières années, est donc devenue fantomatique.
Météorologues de salon ou de réseaux sociaux
Certains individus se plaisent à critiquer les autorités - taxant ces dernières d’être alarmistes – S’il ne survient rien de fâcheux après une alerte Jaune, Orange ou Rouge ayant prévenu qu’une dégradation des conditions météorologiques risquait de représenter un danger pour les personnes et les biens, des météorologues de salon ou de réseaux sociaux dénoncent un alarmisme ou une incompétence des autorités. Gageons que si demain, une montée brutale des eaux ou un vent violent provoque un accident grave ou une catastrophe, et que l’alerte n’a pas été donnée ou a été tardive, ces experts ne manqueront pas de dénoncer une non application du principe de précaution et de demander réparation.
Bref ménage à trois
Au printemps dernier, trois petits partis se réclamant de la droite identitaire corse (Forza Nova, Avvene Corsu, Rassemblement Patriotique Républicain) ont fait connaître leur volonté d’union et de travailler ensemble. Le 12 octobre dernier, ils ont annoncé que lors des prochaines élections municipales, derrière la bannière Union des droites-Per i nostri, ils iraient ensemble au combat pour arracher la ville de Bastia à Pierre Savelli. Il y a quelques jours, a été rendu public le divorce entre d’une part, Forza Nova, et d’autre part, Avvene Corsu et le Rassemblement Patriotique Républicain. Le ménage à trois n’a même pas atteint la durée des noces de coton.
Ils méritent au moins le respect
Certains médias hexagonaux se livrent au plaisir aussi malsain que mesquin de se moquer des prévenus qui comparaissent ces derniers jours devant un tribunal parisien pour s’être - durant quelques mois et afin d’attirer l’attention sur la Question corse - parés des treillis de la clandestinité et armés de quelques pétoires. Certes, ces hommes n’ont pas fait preuve d’expertise es-clandestinité, et ne font pas dans le procès de rupture qui était cher à Maître Vergès. Cependant, du fait de leur engagement sincère et désintéressé (et même si certains d’eux peinent à expliquer ou à assumer), ces hommes méritent au moins le respect.
