Le Syndicat de la Manufacture joue à tuer Maryse Lopez
Par quel concours d'incapacité verbeuse a- t-on pu transformer un pays riche , en pays ruiné......
Le Syndicat de la Manufacture joue à tuer Maryse Lopez
Par quel concours d'incapacité verbeuse a-t-on pu transformer un pays riche, doté d'une armée susceptible de faire régner l'ordre en Afrique, nanti de plus d’un parc nucléaire sans équivalent dans le monde, pouvant lui permettre une indépendance énergétique presque totale, doté de l'arme nucléaire de surcroit, en pays ruiné, à la capitale dévastée et que ses bons amis européens conduisent à la guerre et à la soumission. Quand je dis soumission, je veux parler de l'influence déterminante qu'ont sur sa réflexion géopolitique ses bons alliés de l'Europe et d’ailleurs, sans méconnaître l'influence grandissante de rites et coutumes religieux, à tout le moins excessifs et inappropriés par leur violence négationniste de l’histoire de France. Oui, le risque de guerre totale existe, ainsi que celui d'un submergement par le fond, de cette humanité souffrante et souvent maboulique dont il a été trop longtemps de bon ton d'excuser les outrances.
Le résultat c'est que les rues de Paris, qu'enfant je parcourais même la nuit sans risque, sont aujourd'hui le théâtre de meurtres à l'arme blanche, en veux-tu en-voilà, sans que les beaux esprits des ondes protestent le moins du monde.
Qui a laissé filer l'eau du bain et ose encore pérorer, et même quelle honte, fulminer ? Les bien-pensants élevés avec Sartre dans l'idéologie mortifère de la culpabilité d'avoir tout réussi en sont la cause. Cela s'appelle aussi la haine du père. C'est une maladie juvénile, qui affecte les adultes pourtant, sous la façon d'une affection mentale dérivée de ce mal de l'identité qui s'appelle le scrupule. Cette maladie mine le bien fondé de toute certitude en instillant le doute chez ceux qui ont raison. C’est la mauvaise conscience, analysée et dénoncée par Frederic Nietzsche dans La généalogie de la morale qui est à l’origine de toutes les catastrophes occidentales.
Malheur à qui s’accuse soi-même, avait pronostiqué Marat pendant la Révolution Française. Paroles d’expert.
On notera à ce propos, que ni Napoléon ni De Gaulle ne se sont excusés d’avoir sauvé la France. Mais, Dindons vont en troupe, comme le disait encore le même Marat et le procès ad infinitum fait à leur propre identité ainsi qu’à leur histoire par ceux que l’idéologie wokarde abrutit et affole, a gagné l’espace public, pour le plus grand malheur de l’éducation des enfants. Réapprendre à penser devient une nécessité qui postule évidemment une réappropriation du langage aujourd’hui perdu.
Pour en revenir aux origines de L’Ecriture, hélas la parole se perd et les maîtres qui nous gouvernent ont les jambes et les bras cassés. Qui pourrait prêter attention à la voix de ces infirmes ?
Décaporaliser les esprits est une nécessité. Le monde de demain sera-t-il à choisir entre se faire larder de coups de couteau par des ignorants fanatiques au sortir de chez soi et faire l'emplette de nos baguettes traditionnelles, chez les rares boulangers qui n'auront pas été ruinés jusqu'à proposer d'immondes bagels au lieu et place de pains de campagne et de viennoiseries, et voir sa maison rasée par un tapis de bombes, dans le meilleur des cas, en guise de récompense pour avoir suivi des politiques aventureuses à la suite de prêches halluciné
Est-ce le choix final ? Les singeurs du Malraux de L’Espoir, qui s’imaginent dans la plaine de Terruel en pleine guerre d’Espagne alors qu’ils n’ont pas quitté Bagneux, sont des bouffons fauteurs de catastrophe.
Réveillons-nous ! La guerre d’Ukraine n’est pas la nôtre.
L’exemple d’une mise sous tutelle de l’esprit public se pavane sous nos yeux tandis que la justice pénale s’acharne à caricaturer le Père UBU. Ce monde là n’est pas le nôtre. Le monde politique de notre pays comme aux grandes époques des guerres de gang à Marseille avant-guerre ou juste après, laisse apercevoir qu’il es régi par la menace d’un gang de malfaisants tel que le regretté Gaston Leroux pouvait en avoir imaginé un des plus patibulaire dans son roman « Les Mohicans de Babel ».
Cette nouvelle organisation qui fait régner la terreur s’est dotée de l’alias de « Syndicat de la Manufacture ». Sans doute a-t-il un siège volant dans la rue qui porte ce nom derrière le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris. Au tableau de chasse du «Syndicat de la Manufacture » les têtes suppliciées des malheureux François Pigeon et aujourd’hui Maryse Lopez. Combien de temps tolèrera-t-on cela encore ?
Falalitas !
Jean-F. Paravicino Marchi
Photos : Jean-F . Paravicino Marchi