• Le doyen de la presse Européenne

Zoom sur .....l' ACA Ping Pong !

Né il y a tout juste un an, l'ACA Ping Pong réunit une cinquantaine d'adhérents autour de Mathias Cayuela
Zoom sur...l’ACA Ping Pong !


Né il y a tout juste un an, l’ACA ping pong réunit une cinquantaine d’adhérents autour de Mathias Cayuela, leur emblématique président.


Ancien pratiquant-adepte de tennis de table, Mathias Cayula, Ajaccien bien connu, a décidé l’an dernier, de créer l’ACA ping pong. « L’ACA, précise-t-il, parce que le nom est très porteur au niveau du sport. On partait un peu dans l’inconnu mais à force de passion, on est arrivé en peu de temps, à bâtir un club qui rassemble. »

Président du CATT durant six ans, Mathias Cayuela s’est inspiré de M.Thierry, son prédécesseur, pour impulser une nouvelle dynamique à une discipline qui compte près de 300 licenciés réunis en une douzaine de clubs au niveau régional. Les licenciés de l’ACAPP, âgés de 7 à 77 ans, se réunissent tous les jours sauf le lundi au gymnase Arthur Giovoni, à Ajaccio en fin d’après-midi autour de Mathias Cayula et Bernard Tramoni comme éducateurs. Le tennis de table ? « Il faut sortir du cliché lié au sport loisir, précise le président, en outre, on pense qu’il n’est pas physique alors que c’est un sport qui nécessite un travail important à ce niveau, voire essentiel comme dans toute discipline. Et puis les jeunes veulent de suite pratiquer sans se « faire violence » et bosser au niveau physique...Fort heureusement, le parcours des frères Lebrun aux JO de Paris sont venus redonner ses lettres de noblesse à la discipline. »


Pérenniser le club au niveau régional

Ce qui n’empêche pas le club d’avoir réalisé une saison exceptionnelle l’an dernier. « On a été champions en départemental puis régional, se félicite le président ajaccien, mais pour des raisons essentiellement de budget, nous avons refusé l’accession en R3 PACA. On ne s’attendait pas à monter dès cette année. On n’a pas voulu mettre la charrue avant les bœufs. Il faut d’abord songer à pérenniser le club à ce niveau. Et cela débute par les jeunes. Ils ont tendance à progresser très vite et puis, à mesure que l’on avance dans la technique, cela devient plus dur. L’aspect ludique est important.»

Cette année, le club misera sur le maintien et la formation, avec Célia Hugon et Cloé Marquet chez les filles et Michael Mercier, un ancien joueur qui a évolué au niveau national, dans l’ensemble. De quoi booster la discipline et un club dont on devrait reparler.

Ph.P.
Photo: Ph.P
Partager :