L'effrayant scandale de la condamnation de Maryse Lopez
La nouvelle a de quoi faire peur :
L'effrayant scandale de la condamnation de Maryse Lopez
La nouvelle a de quoi faire peur: la décision de pratiquer l'exécution provisoire d'une décision en principe assortie du droit d'en faire appel est une voie de fait inimaginable en démocratie. Il s'agit de la victoire envers et contre tous de la "moraline" ( comme disait Nietzsche) sur la réflexion et la mesure.
Ainsi l'imbécile fait-il triompher le préjugé sur l'appréciation du réel dans sa complexité. Si Macron était Président de la République il userait de son droit de grâce pour réparer l'outrage fait à la raison par cette décision catastrophique, qui entache et salit la République.
Le juge n'est pas un dieu, pas davantage d'ailleurs que le dieu n'est un juge. Il y a du Montoire dans cette décision.
La Tondelier s'ébaudit d'une farce pareille : ça correspond à ce qu'elle est. Vivement demain comme disait l’autre. Reste à savoir si l'impact d'une telle et obtuse malveillance n'est pas en elle-même déjà porteuse d'une force de discrédit de l'institution judiciaire, telle qu'on ne puisse un jour en restaurer la dignité voire l'honneur .
Il y a des bévues parfois irrattrapables, on le sait pour avoir constaté le suicide en public de Hollande, juché sur son scooter.
Pour autant, ce qui est bête se discrédite lui-même et la logorrhée gauchiste et wokarde qui s'est emparée de la parole publique, par une ventriloquerie à la foi grotesque et tragique, mène irrévocablement le régime à sa perte, sous l'habit clownesque et sentencieux dénommé Etat-de-Droit. (Quelle blague !)
Ah ! Que vienne le vote évacuatoire que l'ingénieur anglo-saxon a baptisé vacuum-Cleaner.
Peut-être se trouve-t-on aujourd'hui à la veille d'un événement gigantesque ?
Qu'il vienne, tout est mieux que cette soupe !
Qu'une décision de justice en chocolat puisse être prise au su et vu d'absolument tout le monde, visant à interdire d'éligibilité un candidat à l'élection présidentielle, qui jouit d'un potentiel électoral sans équivalent dans l'opinion, est plus qu'une forfaiture et qu'un parjure pour qui est l'auteur de cette déshonorante tentative. C'est un crime contre la démocratie, contre le peuple souverain , contre l'esprit même ! Au surplus des mépris que cette farce tragique mérite, il faut en considérer les conséquences. Le système en vigueur dans un pays qui tolère un tel scandale, ainsi que le bafouillement du charabia justificatif qui l’accompagne, est voué à la disparition rapide qu'entraîne toute institution qui n'est plus respectée. Et c'est le cas, quand elle ne fait pas rire en elle même, comme les polichinelles qui l'habitent et la pillent.
Pauvre Maryse, et pauvres nous, privés de parole, de considération, du moindre respect en somme que l'on doit à qui vit à vos côtés.
Ayant hissé le galimatias justificatif juridico-pénal moralisateur à la hauteur d'un idiome, précisément pour idiots, l'idiome des idiots en somme, le collège des imposteurs poursuit sa malfaisance liberticide . Il faut s'en départir et condamner fermement ces attitudes attentatoires à la liberté de penser, à la liberté de parler, à la liberté de voter.
Il est temps de secouer les chaînes de l'aveuglement et de la soumission que l'on doit au macronisme, ce hollandisme vénéneux poussé sur l'ignorance et le renoncement.
Pour autant, le cas de Maryse ne doit pas nous faire oublier l'hypocrisie générale d'un système qui s'accommode du fait que les politiques français n'ont plus aucun pouvoir dans leur pays, l'océan migratoire en étant le révélateur absolu, puisque quoiqu'on en dise et quoiqu'on fasse, l'Europe empêche la France de gérer les flux de sa population à sa guise. Le reste n'est que bullshits et puces savantes. Il n'y a plus de marges, que des mots, tous creux, tous vides ! On le verra hélas après l'accumulation des manifestations publiques qui ne servent plus à rien, qu'à libérer les pulsions guerrières des imbéciles violents dénommés anti- fa !
Le seul pays qui a honoré sa parole face au peuple c'est le Royaume- Uni, qui contrairement à la France qui s'est empressée d'abolir le sens du référendum anti Europe de 2005 , a respecté son voeu. C'est le seul pays à avoir eu le sens de l’honneur. Ce n'est pas rien.
Au delà de tout cela, il y a le vent des incriminations qui à l'évidence ont été forgées en grossissant le texte répressif pour le faire coïncider avec des délits qui n'existent pas. Quelle honte ! Dans quel pays sommes nous tombés ! Un assistant parlementaire sert son député, pas le parlement dont il est l'adversaire quand il est au service d'un homme libre qui ne sacrifie pas à l'illusion européiste, cette duperie ! On croirait lire ce pauvre Hugo quand il se plaignait que le peuple français votât pour Napoleon III à cinq millions de voix contre un million: la populace a voté contre le peuple ! Tiens, pardi ! Quand le peuple ne vote pas comme l'élite autoproclamée le souhaite ( ce pauvre Hugo) il n'est plus le peuple mais la populace !
Donc l'électorat de Maryse, avec ce raisonnement ridicule, ce n'est que de la populace, le peuple c'est pour les juges. Halte là ! Assez de mensonges. La preuve est faite, nos diseurs de morale sont des menteurs ! ( s'ils n'étaient que ça !) Charabia que tout ça!
Votons et à la porte les imposteurs !
Pour en finir avec ce qui révolte la population libre du monde organisé, je veux dire cette partie de la société internationale qui n'est pas encore assujétie à la répétition phonique de phrases écrites par d’autres, dont toute réflexion est bannie, osons en toute indépendance dire notre dégoût de la manœuvre. Dans un pays libre on vote librement, sans chaperon ni censeur. N'en déplaise à qui le nie, le citoyen qui tient à la propriété de son vote se sent en cette circonstance bafoué dans sa conscience et dans sa dignité. Il se sent donc Maryse Lopez par obligation d’être, contre l'hypocrisie la manipulation et le vol d'identité .
Le reste est du verbiage.
Jean-François Marchi