Equitation : Stage cavalier aux écuries du Vallon à Borgo
Heureusement , le Covid-19 n'empêche pas toute activité sportive.
Equitation
Stage cavalier aux écuries du Vallon à Borgo
Heureusement, le COVID-19 n’empêche pas toute activité sportive. Et récemment s’est tenu un stage cavalier à Borgo.
René Bousquet, gérant des écuries du Vallon de Borgo, est un cavalier professionnel à la carrière bien remplie et bien titrée et qui s'est très tôt orienté vers une carrière professionnelle vouée à sa passion.
Son écurie à Borgo comporte une trentaine de boxes, 2 selleries, 2 salles de soins en intérieur et 2 salles de soins en extérieur. Elle dispose d'une carrière de 60 x30 m et d'une carrière d'obstacle de 80x50 m. Dynamique et malgré la crise, il vient d’organiser un stage de 2 jours avec un cavalier professionnel de saut d’obstacles: Thomas Rousseau du haras du Barquet. «Ce stage avait pour but de se préparer à la reprise de la saison 2021 » explique le maitre des lieux. «En faisant venir Thomas Rousseau, nous avons pu bénéficier des conseils d’un cavalier de haut niveau».
Un pro de l’équitation
Né à Dinan le 6 avril 1984, Thomas Rousseau est tombé petit dans le milieu du cheval. Passionné il suit alors les circuits cadets et juniors avec quelques titres : 2ème du Championnat de France Minimes en 1995, 1er
du Championnat de France 3ème catégorie en 1997, 2ème du Championnat de France Junior en 1998, 3ème par équipe des Championnats d'Europe Juniors en 1999, 2ème du Championnat de France Junior en 2001, 3èmedu Championnat de France 2ème catégorie en 2007. Il participe ensuite à de très nombreux concours et CSI de très haut niveau.
Depuis 2012, il s’est installé en Normandie, sur la commune d'Ouville-la-bien-tournée, en plein Pays d'Auge. «On a la chance aujourd’hui, dans ce contexte de crise sanitaire d’avoir des gens qui maintiennent une activité sportive et ce n’est pas le cas de tout le monde ni de tous les sports» se réjouissait sur place Thomas Rousseau. « J’ai une écurie professionnelle mais j’ai le plaisir de partager mes connaissances.
En partageant, on apprend tout autant en enseignant qu’en écoutant et en allant vers les autres, on s’ouvre aux autres et ça donne une certaine ouverture d’esprit. Je préfère enseigner et concentrer ma qualité de chevaux qu’être dans mes écuries et monter une grande quantité de chevaux. J’ai vraiment plaisir à enseigner. J’aime ça. S’il y a de bonnes conditions de travail, un système de travail, tout va bien. On organise le travail en fonction de chaque cheval, sa forme physique et mental et du programme de concours qu’on va lui demander. On les forme comme on le ferait pour un athlète. Il faut savoir se remettre en cause, on apprend de ses erreurs.
Pour le propriétaire qui me confie un cheval le but c’est d’apporter une plus-value au cheval. J’aime la formation sur les chevaux, voir la progression, et ensuite la compétition. Nous autres les cavaliers, on est compétiteurs dans l’âme. C’est ce qui nous fait évoluer au quotidien. C’est un métier qui n’est pas facile car on doit sans cesse se remettre en question et c’est au cavalier à s’adapter au cheval, pas l’inverse.». A Borgo, ce ne sont pas moins de 23 cavaliers, enchantés, qui ont reçu l’enseignement de ce grand professionnel.
Ph.J.
Stage cavalier aux écuries du Vallon à Borgo
Heureusement, le COVID-19 n’empêche pas toute activité sportive. Et récemment s’est tenu un stage cavalier à Borgo.
René Bousquet, gérant des écuries du Vallon de Borgo, est un cavalier professionnel à la carrière bien remplie et bien titrée et qui s'est très tôt orienté vers une carrière professionnelle vouée à sa passion.
Son écurie à Borgo comporte une trentaine de boxes, 2 selleries, 2 salles de soins en intérieur et 2 salles de soins en extérieur. Elle dispose d'une carrière de 60 x30 m et d'une carrière d'obstacle de 80x50 m. Dynamique et malgré la crise, il vient d’organiser un stage de 2 jours avec un cavalier professionnel de saut d’obstacles: Thomas Rousseau du haras du Barquet. «Ce stage avait pour but de se préparer à la reprise de la saison 2021 » explique le maitre des lieux. «En faisant venir Thomas Rousseau, nous avons pu bénéficier des conseils d’un cavalier de haut niveau».
Un pro de l’équitation
Né à Dinan le 6 avril 1984, Thomas Rousseau est tombé petit dans le milieu du cheval. Passionné il suit alors les circuits cadets et juniors avec quelques titres : 2ème du Championnat de France Minimes en 1995, 1er
du Championnat de France 3ème catégorie en 1997, 2ème du Championnat de France Junior en 1998, 3ème par équipe des Championnats d'Europe Juniors en 1999, 2ème du Championnat de France Junior en 2001, 3èmedu Championnat de France 2ème catégorie en 2007. Il participe ensuite à de très nombreux concours et CSI de très haut niveau.
Depuis 2012, il s’est installé en Normandie, sur la commune d'Ouville-la-bien-tournée, en plein Pays d'Auge. «On a la chance aujourd’hui, dans ce contexte de crise sanitaire d’avoir des gens qui maintiennent une activité sportive et ce n’est pas le cas de tout le monde ni de tous les sports» se réjouissait sur place Thomas Rousseau. « J’ai une écurie professionnelle mais j’ai le plaisir de partager mes connaissances.
En partageant, on apprend tout autant en enseignant qu’en écoutant et en allant vers les autres, on s’ouvre aux autres et ça donne une certaine ouverture d’esprit. Je préfère enseigner et concentrer ma qualité de chevaux qu’être dans mes écuries et monter une grande quantité de chevaux. J’ai vraiment plaisir à enseigner. J’aime ça. S’il y a de bonnes conditions de travail, un système de travail, tout va bien. On organise le travail en fonction de chaque cheval, sa forme physique et mental et du programme de concours qu’on va lui demander. On les forme comme on le ferait pour un athlète. Il faut savoir se remettre en cause, on apprend de ses erreurs.
Pour le propriétaire qui me confie un cheval le but c’est d’apporter une plus-value au cheval. J’aime la formation sur les chevaux, voir la progression, et ensuite la compétition. Nous autres les cavaliers, on est compétiteurs dans l’âme. C’est ce qui nous fait évoluer au quotidien. C’est un métier qui n’est pas facile car on doit sans cesse se remettre en question et c’est au cavalier à s’adapter au cheval, pas l’inverse.». A Borgo, ce ne sont pas moins de 23 cavaliers, enchantés, qui ont reçu l’enseignement de ce grand professionnel.
Ph.J.