ROBBA, a nova rivista numerica corsa
" Per pensà è produce in Corsica " À l’heure où « nous croulons sous la surconsommation de produits importés, (où) nos biens communs les plus précieux, paysage et culture, sont marchandisés et suscitent de nouvelles formes de violence prédatrice (…)
ROBBA, a nova rivista numerica corsa
« Per pensà è produce in Corsica »
À l’heure où « nous croulons sous la surconsommation de produits importés, (où) nos biens communs les plus précieux, paysage et culture, sont marchandisés et suscitent de nouvelles formes de violence prédatrice (…), il est temps de réinvestir les liens indéfectibles entre matériel et immatériel, entre nature et culture, ou pour le dire autrement entre avoir et être. » Ces quelques phrases, tirées du Manifeste de Robba donnent le ton et fixent les objectifs de cette nouvelle revue, à savoir construire un nouvel élan de pensées et d’actions au travers de convergences dynamiques.
Robba est avant tout un collectif qui se défend d’une personnalisation « très actuelle », d’un accaparement du débat. Les forces vives insulaires donc (mais pas que) apporteront leurs contributions sous toutes leurs formes : discours, textes, arts graphiques, etc. Contre-modèles et réflexions critiques argumentées, autant de forces de propositions pour recentrer les initiatives de nos territoires.
Finis les règnes de l’opinion, du fatalisme, place à l’imagination, l’innovation, le réenchantement !
Robba, ce sont quatre nouveaux articles à retrouver toutes les semaines, à l’instar de cette introduction de l’article « Banalité ou identité : quel destin pour l’île » de Dominique Taddei, historien et économiste :
« L'évidence s'impose progressivement à tous : nous sommes entrés dans ce qu'Edgar
Morin appelle une crise de civilisation ; ou bien, dans ce que bien d'autres qualifient de crise globale, au double sens de crise mondiale, et de crise multi-disciplinaire, sociale, géopolitique, économique, écologique, culturelle, sanitaire... Face à une telle crise, systémique et largement irréversible, il n'est que deux certitudes, issues de la théorie du chaos » …
La suite est à découvrir à l’adresse : www.wmaker.net/robba/
Pagliaghju, 2013, huile sur toile ©Tonì Casalonga
« Per pensà è produce in Corsica »
À l’heure où « nous croulons sous la surconsommation de produits importés, (où) nos biens communs les plus précieux, paysage et culture, sont marchandisés et suscitent de nouvelles formes de violence prédatrice (…), il est temps de réinvestir les liens indéfectibles entre matériel et immatériel, entre nature et culture, ou pour le dire autrement entre avoir et être. » Ces quelques phrases, tirées du Manifeste de Robba donnent le ton et fixent les objectifs de cette nouvelle revue, à savoir construire un nouvel élan de pensées et d’actions au travers de convergences dynamiques.
Robba est avant tout un collectif qui se défend d’une personnalisation « très actuelle », d’un accaparement du débat. Les forces vives insulaires donc (mais pas que) apporteront leurs contributions sous toutes leurs formes : discours, textes, arts graphiques, etc. Contre-modèles et réflexions critiques argumentées, autant de forces de propositions pour recentrer les initiatives de nos territoires.
Finis les règnes de l’opinion, du fatalisme, place à l’imagination, l’innovation, le réenchantement !
Robba, ce sont quatre nouveaux articles à retrouver toutes les semaines, à l’instar de cette introduction de l’article « Banalité ou identité : quel destin pour l’île » de Dominique Taddei, historien et économiste :
« L'évidence s'impose progressivement à tous : nous sommes entrés dans ce qu'Edgar
Morin appelle une crise de civilisation ; ou bien, dans ce que bien d'autres qualifient de crise globale, au double sens de crise mondiale, et de crise multi-disciplinaire, sociale, géopolitique, économique, écologique, culturelle, sanitaire... Face à une telle crise, systémique et largement irréversible, il n'est que deux certitudes, issues de la théorie du chaos » …
La suite est à découvrir à l’adresse : www.wmaker.net/robba/
Pagliaghju, 2013, huile sur toile ©Tonì Casalonga
