Luxe : La reprise aprés la crise
Le commerce a souffert en 2O20 . Mais en 2021 du coté desq maisons de luxe, .....
Luxe : la reprise après la crise
Le commerce a souffert en 2020. Fermetures et confinements ont assuré des pertes colossales pour tous les points de ventes physiques. Même si la vente en ligne a permis à la majorité des entreprises de générer quelques revenus, les pertes sur 2020 sont historiques. Mais en 2021 du côté des maisons de luxe, les chiffres sont plus que positifs, voire meilleurs qu’avant crise.
En avril 2020, une actualité fait la une. En Chine, au premier jour du déconfinement, une boutique Hermès fait 2,7 millions de dollars de chiffres en une seule journée. Ce record a été enregistré dans la boutique de Guangzhou, dans la province la plus riche de Chine.
Le lien entre les consommateurs et le luxe est sans appel. Comme pour se féliciter, s’offrir un présent qui va rester, pour redonner des couleurs à une période difficile, l’achat très haut de gamme fait office de repère.
Cet épisode était, quelque part, un indice de ce qui allait se profiler en « sortie » de crise. Car, en avril 2021, les premiers chiffres tombent en comparaison avec l’année précédente. Et ils sont excellents pour le monde du luxe.
LVMH, Hermès et Kering auraient repris les couleurs d’avant Covid, même encore mieux que 2019. L’Asie et les Etats-Unis seraient à l’origine de ce succès.
Pour revenir à l’exemple d’Hermès, la griffe familiale d’exception enregistre un bond de plus de 38% de chiffres par rapport à l’année 2020. Une hausse pour atteindre de meilleurs cieux qu’avant crise. L’horlogerie Suisse aussi se regonfle grâce aux exportations en Asie.
Toute la filière va mieux. Et toutes les maisons sont logées à la même enseigne. Pour Kering, au premier trimestre 2021, le groupe a enregistré 3,89 milliards d’euros d’euros de chiffres d’affaires.
Sur la liste des marques du géant, la première est Gucci. Après avoir déçu les acheteurs en 2020, Gucci comptabilise 2,17 milliards de vents, soit 24,6% de plus sur une année organique. « L'ensemble de nos maisons contribue à ce rebond et nous sommes particulièrement satisfaits de la dynamique de Gucci, à l'heure où la maison célèbre son centenaire », explique le PDG François-Henri Pinault.
Dans le palmarès, on retrouve Yves Saint Laurent en deuxième position avec ses 516,7 millions d’euros, une augmentation de 23,4%. En troisième place, c’est la marque Bottega Veneta qui tire son épingle du jeu. Cette maison a fait le buzz sur les réseaux sociaux, séduisant les influenceurs du monde entier et les passionnés. Pour une griffe aux tarifs souvent à quatre chiffres, les clients répondent pourtant à l’appel de la tendance. En termes commerciaux, les chiffres atteignent les 328,3 millions d’euros de ventes.
En ce qui concerne le réseau de boutiques du groupe, les résultats de ce premier trimestre 2021 sont excellents : alors que les boutiques étaient fermées pour la plupart en Europe, les points de vente comptent +31,8% par rapport à 2020, mais aussi presque +7% par rapport à 2019.
Des entreprises qui ne connaissent pas la crise ?
Le commerce a souffert en 2020. Fermetures et confinements ont assuré des pertes colossales pour tous les points de ventes physiques. Même si la vente en ligne a permis à la majorité des entreprises de générer quelques revenus, les pertes sur 2020 sont historiques. Mais en 2021 du côté des maisons de luxe, les chiffres sont plus que positifs, voire meilleurs qu’avant crise.
En avril 2020, une actualité fait la une. En Chine, au premier jour du déconfinement, une boutique Hermès fait 2,7 millions de dollars de chiffres en une seule journée. Ce record a été enregistré dans la boutique de Guangzhou, dans la province la plus riche de Chine.
Le lien entre les consommateurs et le luxe est sans appel. Comme pour se féliciter, s’offrir un présent qui va rester, pour redonner des couleurs à une période difficile, l’achat très haut de gamme fait office de repère.
Cet épisode était, quelque part, un indice de ce qui allait se profiler en « sortie » de crise. Car, en avril 2021, les premiers chiffres tombent en comparaison avec l’année précédente. Et ils sont excellents pour le monde du luxe.
LVMH, Hermès et Kering auraient repris les couleurs d’avant Covid, même encore mieux que 2019. L’Asie et les Etats-Unis seraient à l’origine de ce succès.
Pour revenir à l’exemple d’Hermès, la griffe familiale d’exception enregistre un bond de plus de 38% de chiffres par rapport à l’année 2020. Une hausse pour atteindre de meilleurs cieux qu’avant crise. L’horlogerie Suisse aussi se regonfle grâce aux exportations en Asie.
Toute la filière va mieux. Et toutes les maisons sont logées à la même enseigne. Pour Kering, au premier trimestre 2021, le groupe a enregistré 3,89 milliards d’euros d’euros de chiffres d’affaires.
Sur la liste des marques du géant, la première est Gucci. Après avoir déçu les acheteurs en 2020, Gucci comptabilise 2,17 milliards de vents, soit 24,6% de plus sur une année organique. « L'ensemble de nos maisons contribue à ce rebond et nous sommes particulièrement satisfaits de la dynamique de Gucci, à l'heure où la maison célèbre son centenaire », explique le PDG François-Henri Pinault.
Dans le palmarès, on retrouve Yves Saint Laurent en deuxième position avec ses 516,7 millions d’euros, une augmentation de 23,4%. En troisième place, c’est la marque Bottega Veneta qui tire son épingle du jeu. Cette maison a fait le buzz sur les réseaux sociaux, séduisant les influenceurs du monde entier et les passionnés. Pour une griffe aux tarifs souvent à quatre chiffres, les clients répondent pourtant à l’appel de la tendance. En termes commerciaux, les chiffres atteignent les 328,3 millions d’euros de ventes.
En ce qui concerne le réseau de boutiques du groupe, les résultats de ce premier trimestre 2021 sont excellents : alors que les boutiques étaient fermées pour la plupart en Europe, les points de vente comptent +31,8% par rapport à 2020, mais aussi presque +7% par rapport à 2019.
Des entreprises qui ne connaissent pas la crise ?