Vincent Colonna alias " la petite culotte "
Vincent Colonna revisite " La goffa Lolita "
Vincent Colonna revisite « La goffa Lolita »
Le chanteur insulaire, qui commence depuis quelques temps à se faire un nom dans le milieu de la musique et plus particulièrement de la « Night » a profité de l’arrêt dû aux différents confinements pour travailler sur un « remake » façon « P’tite culotte » de la célèbre chanson un tantinet paillarde « La goffa Lolita »…
Qui ne connaît pas « La goffa Lolita » dans la région ajaccienne et même ailleurs dans l’île ? Chanson paillarde mythique aux accents andalous volontairement « zappés » et assez criarde dans la voix, elle a fait le tour de l’île accompagnant la plupart du temps, les soirées bien arrosées…
Une chanson qui, bien sûr, est arrivée jusqu’aux oreilles de Vincent Colonna, alias « La P’tite culotte », nom d’un restaurant qu’il tenait il y a quelques années avec son cousin à Bunifaziu. L’artiste, toujours en quête de nouveautés et qui a, de surcroît fait le choix de vivre de sa passion la musique -, a décidé d’intégrer cette chanson à son répertoire. « J’ai bien sûr cherché l’auteur, explique – t-il, j’ai contacté Jean-Luc Pietri, qui l’a bien souvent interprétée, et j’ai appris que l’auteur était un de ses amis à l’époque où il était étudiant à Corte mais que la chanson restait libre de droit. Avec son accord, j’ai donc pu travailler dessus. »
Une ode à la femme d’aujourd’hui
Vincent Colonna s’occupe donc de relooker la chanson où Lolita est loin de faire honneur à la gente féminine, pour au contraire, l’honorer. « Le rythme reste le même, rappelle l’artiste, j’ai conservé également celui du refrain mais complètement changé les paroles. L’objectif consistant à mettre, à travers la chanson, la femme d’aujourd’hui en valeur. »
Une ode à la femme d’aujourd’hui mais également un lien avec le passé que l’on retrouve sur la pochette du single où une femme semble ôter son masque (l’ancienne Lolita) pour céder sa place à une autre, moderne, libre et autrement plus séduisante. L’artiste a puisé dans ses fonds propres pour enregistrer le Single à Paris. Un single intégré aux spectacles à venir cet été. « L’année écoulée a été difficile mais j’en ai profité pour bosser et préparer la reprise cet été. Il y a déjà quelques dates. »
Vincent assure, comme toujours et seul – un choix personnel – les soirées. Il chante deux heures non stop et vient ajouter une bonne quinzaine de titres anciens ou nouveaux. Son style étant, bien entendu, avant tout festif. « Il y a une sorte d’adrénaline, je m’éclate et le public aussi... »
La rencontre de Grand Corps Malade
Le jeune artiste varie le répertoire et passe du français au corse, à l’italien, l’anglais ou l’espagnol. Sans grands moyens et souvent sur ses fonds propres, il a pu se faire connaître un peu partout grâce aux réseaux sociaux. C’est à travers Facebook, que le public a pu découvrir l’une de ses rencontres insolites, à Paris. Lors d’une soirée improvisée où il était présent avec sa guitare, l’artiste a fait un duo du tonnerre sur « Ricordu » avec...Grand Corps Malade, présent lors de cette soirée en hommage à l’association « Sourire à la vie » dont il est le parrain. « Il a fait preuve d’une très grande humilité, ce fut un très grand moment... »
Depuis son retour à Afa, où réside ses parents, Vincent peaufine ses dernières chansons, parmi lesquelles « La Goffa Lolita » qui devrait endiabler, cet été, les « Nights » sur Ajaccio et la Rive Sud…
Philippe Peraut
Le chanteur insulaire, qui commence depuis quelques temps à se faire un nom dans le milieu de la musique et plus particulièrement de la « Night » a profité de l’arrêt dû aux différents confinements pour travailler sur un « remake » façon « P’tite culotte » de la célèbre chanson un tantinet paillarde « La goffa Lolita »…
Qui ne connaît pas « La goffa Lolita » dans la région ajaccienne et même ailleurs dans l’île ? Chanson paillarde mythique aux accents andalous volontairement « zappés » et assez criarde dans la voix, elle a fait le tour de l’île accompagnant la plupart du temps, les soirées bien arrosées…
Une chanson qui, bien sûr, est arrivée jusqu’aux oreilles de Vincent Colonna, alias « La P’tite culotte », nom d’un restaurant qu’il tenait il y a quelques années avec son cousin à Bunifaziu. L’artiste, toujours en quête de nouveautés et qui a, de surcroît fait le choix de vivre de sa passion la musique -, a décidé d’intégrer cette chanson à son répertoire. « J’ai bien sûr cherché l’auteur, explique – t-il, j’ai contacté Jean-Luc Pietri, qui l’a bien souvent interprétée, et j’ai appris que l’auteur était un de ses amis à l’époque où il était étudiant à Corte mais que la chanson restait libre de droit. Avec son accord, j’ai donc pu travailler dessus. »
Une ode à la femme d’aujourd’hui
Vincent Colonna s’occupe donc de relooker la chanson où Lolita est loin de faire honneur à la gente féminine, pour au contraire, l’honorer. « Le rythme reste le même, rappelle l’artiste, j’ai conservé également celui du refrain mais complètement changé les paroles. L’objectif consistant à mettre, à travers la chanson, la femme d’aujourd’hui en valeur. »
Une ode à la femme d’aujourd’hui mais également un lien avec le passé que l’on retrouve sur la pochette du single où une femme semble ôter son masque (l’ancienne Lolita) pour céder sa place à une autre, moderne, libre et autrement plus séduisante. L’artiste a puisé dans ses fonds propres pour enregistrer le Single à Paris. Un single intégré aux spectacles à venir cet été. « L’année écoulée a été difficile mais j’en ai profité pour bosser et préparer la reprise cet été. Il y a déjà quelques dates. »
Vincent assure, comme toujours et seul – un choix personnel – les soirées. Il chante deux heures non stop et vient ajouter une bonne quinzaine de titres anciens ou nouveaux. Son style étant, bien entendu, avant tout festif. « Il y a une sorte d’adrénaline, je m’éclate et le public aussi... »
La rencontre de Grand Corps Malade
Le jeune artiste varie le répertoire et passe du français au corse, à l’italien, l’anglais ou l’espagnol. Sans grands moyens et souvent sur ses fonds propres, il a pu se faire connaître un peu partout grâce aux réseaux sociaux. C’est à travers Facebook, que le public a pu découvrir l’une de ses rencontres insolites, à Paris. Lors d’une soirée improvisée où il était présent avec sa guitare, l’artiste a fait un duo du tonnerre sur « Ricordu » avec...Grand Corps Malade, présent lors de cette soirée en hommage à l’association « Sourire à la vie » dont il est le parrain. « Il a fait preuve d’une très grande humilité, ce fut un très grand moment... »
Depuis son retour à Afa, où réside ses parents, Vincent peaufine ses dernières chansons, parmi lesquelles « La Goffa Lolita » qui devrait endiabler, cet été, les « Nights » sur Ajaccio et la Rive Sud…
Philippe Peraut