Football : PIerre Nico Beretti : 300 maillots pour une seule passion !
L'emblématique leader de l'Orsi Ribelli a mis à profit le confinement de l'an dernier.....
Pierre Nico Beretti : 300 maillots pour une seule passion !
L’emblématique leader de l’Orsi Ribelli, groupe de supporters de l’ACA a mis à profit le confinement de l’an dernier pour entamer une collection de maillots de son club de coeur. De 1998 à 2021, il en totalise, à ce jour, 300 qui évoquent plus de vingt ans d’histoire en « biancu è rossu »…
Qui ne connaît pas Pierre-Nico Beretti dans la cité impériale ? Depuis près de quinze ans, il dirige, avec brio, l’Orsi Ribelli, le club de supporters de l’ACA. Des maillots ? Il en a forcément eu à la pelle. «Mais comme j’ai toujours voulu faire plaisir, explique-t-il, je n’en gardais que très rarement. Au boulot ou en famille, j’en ai toujours donné. »
Le premier ? « Je m’en souviens comme si c’était hier, ajoute-t-il, celui de Yoan Demont lors d’ACA-Auxerre en 2005 (4-3).À la fin du match, il était venu devant la tribune et m’avait lancé son maillot. J’avais 13 ans et c’était comme si j’avais gagné au loto... »
L’an dernier, il en totalise près d’une cinquantaine. Depuis petit, j’étais toujours accroché au grillage et les joueurs commençaient à me connaître. Ensuite, ils apprirent que j’étais le Président de l’Orsi, cela facilita les choses mais j’ai dû en donner autant. »
Delors, Mutu, Ochoa et les autres...
En pleine période de confinement, sans humer le parfum de Timizolu, Pierre-Nico envisage, pour passer le temps, de créer sa propre collection de maillots de l’ACA. Débute alors une longue quête...Dirigeants, salariés, anciens joueurs, staff, tout le monde joue le jeu et la collection grandit rapidement. « L’objectif était de réunir l’histoire du club depuis 1998 à aujourd’hui avec des maillots portés, en championnat, coupe de France et coupe de la Ligue, ceci au détail près. C’est-à-dire par rapport à la couleur ou aux sponsors présents sur la tunique. Pas de doublon ! Cette année par exemple, j’ai les 24 maillots différents. »
De par sa gentillesse, le supporter acéiste est très apprécié de tous. Ce qui favorise sa démarche. Il passe par les réseaux sociaux et décroche même des maillots d’anciens joueur, aujourd’hui partis sous d’autres cieux (Tomi, Le Mans, Vialla Dunkerque, Matteo Tramoni Cagliari, Delors Montpellier…). Mais s’il doit en retenir trois, ce sont ceux de Mutu, Cavalli et Ochoa. « Le Roumain m’avait donné le maillot de son premier match à Timizolu. Quant au second, c’est celui du maintien à Toulouse en 2012. En plus, il avait marqué deux fois. Memo, c’était lor du derby... Je retiens aussi celui de Xavier Bécas à Nîmes l’année du titre... »
Aujourd’hui, Pierre-Nico en totalise 300 et chacun a son histoire. Comme celui de Vincent Petit (coupe de la Ligue contre Saint-Etienne en janvier 2001). « J’étais au stade avec mon grand-père et retrouver ce maillot 20 ans plus tard, c’est tout simplement extraordinaire... »
L ‘objecif ? « Retrouver la dizaine qu’il me manque et remonter dans le temps à l’époque de la N2, N3 et même les premières années en pro du club. Ce sera difficile mais pourquoi pas ? Je souhaite poursuivre et enrichir la collection et réunir l’histoire du club à travers ses maillots... »
Et pourquoi pas une exposition prochaine dans les travées de Timizolu, histoire de raviver bien des souvenirs…
L’emblématique leader de l’Orsi Ribelli, groupe de supporters de l’ACA a mis à profit le confinement de l’an dernier pour entamer une collection de maillots de son club de coeur. De 1998 à 2021, il en totalise, à ce jour, 300 qui évoquent plus de vingt ans d’histoire en « biancu è rossu »…
Qui ne connaît pas Pierre-Nico Beretti dans la cité impériale ? Depuis près de quinze ans, il dirige, avec brio, l’Orsi Ribelli, le club de supporters de l’ACA. Des maillots ? Il en a forcément eu à la pelle. «Mais comme j’ai toujours voulu faire plaisir, explique-t-il, je n’en gardais que très rarement. Au boulot ou en famille, j’en ai toujours donné. »
Le premier ? « Je m’en souviens comme si c’était hier, ajoute-t-il, celui de Yoan Demont lors d’ACA-Auxerre en 2005 (4-3).À la fin du match, il était venu devant la tribune et m’avait lancé son maillot. J’avais 13 ans et c’était comme si j’avais gagné au loto... »
L’an dernier, il en totalise près d’une cinquantaine. Depuis petit, j’étais toujours accroché au grillage et les joueurs commençaient à me connaître. Ensuite, ils apprirent que j’étais le Président de l’Orsi, cela facilita les choses mais j’ai dû en donner autant. »
Delors, Mutu, Ochoa et les autres...
En pleine période de confinement, sans humer le parfum de Timizolu, Pierre-Nico envisage, pour passer le temps, de créer sa propre collection de maillots de l’ACA. Débute alors une longue quête...Dirigeants, salariés, anciens joueurs, staff, tout le monde joue le jeu et la collection grandit rapidement. « L’objectif était de réunir l’histoire du club depuis 1998 à aujourd’hui avec des maillots portés, en championnat, coupe de France et coupe de la Ligue, ceci au détail près. C’est-à-dire par rapport à la couleur ou aux sponsors présents sur la tunique. Pas de doublon ! Cette année par exemple, j’ai les 24 maillots différents. »
De par sa gentillesse, le supporter acéiste est très apprécié de tous. Ce qui favorise sa démarche. Il passe par les réseaux sociaux et décroche même des maillots d’anciens joueur, aujourd’hui partis sous d’autres cieux (Tomi, Le Mans, Vialla Dunkerque, Matteo Tramoni Cagliari, Delors Montpellier…). Mais s’il doit en retenir trois, ce sont ceux de Mutu, Cavalli et Ochoa. « Le Roumain m’avait donné le maillot de son premier match à Timizolu. Quant au second, c’est celui du maintien à Toulouse en 2012. En plus, il avait marqué deux fois. Memo, c’était lor du derby... Je retiens aussi celui de Xavier Bécas à Nîmes l’année du titre... »
Aujourd’hui, Pierre-Nico en totalise 300 et chacun a son histoire. Comme celui de Vincent Petit (coupe de la Ligue contre Saint-Etienne en janvier 2001). « J’étais au stade avec mon grand-père et retrouver ce maillot 20 ans plus tard, c’est tout simplement extraordinaire... »
L ‘objecif ? « Retrouver la dizaine qu’il me manque et remonter dans le temps à l’époque de la N2, N3 et même les premières années en pro du club. Ce sera difficile mais pourquoi pas ? Je souhaite poursuivre et enrichir la collection et réunir l’histoire du club à travers ses maillots... »
Et pourquoi pas une exposition prochaine dans les travées de Timizolu, histoire de raviver bien des souvenirs…