Football : Coupe Gambardella : l 'ACA à deux matchs du Stade de France
L'ACA s'était ouvert la voie face à l'OM en janvier dernier
Coupe Gambardella : l’ACA à deux matchs du Stade de France
Deux ans après leur qualification pour les quarts de finale de la mythique coupe Gambardella, les jeunes Oursons se retrouvent au même stade de la compétition. « Ce n’est pas un hasard, explique Patrick Leonetti, directeur du centre de formation du club ajaccien, nous avons des jeunes prometteurs dont beaucoup sont du cru, une belle génération, c’est le résultat d’un travail de longue haleine qui porte ses fruits. » Après s’être qualifiés aux tirs aux buts en 32e de finale face à l’OM, première grosse pointure, à Timizzolu, (1-1, 4-3 t-à-b), les protégés d’Anthony Bancarel sont allés s’imposer à Nice (1-0) en 16e et Amiens en 8e (3-3 après avoir mené 3-1, 5-4 t-à-b) pour se hisser dans le Top Huit de la compétition. Le 13 mars prochain, les « Oursons » se rendront à Troyes (vainqueur de l’édition 2018 en battant le FC Tours de l’ancien acéiste Nouré El Ouardani).
En cas de nouvelle qualification, c’est encore en déplacement chez le vainqueur du match Strasbourg-Lyon, que les Ajacciens joueront leur place en finale au Stade de France en lever de rideau de la finale de la coupe de France. Une bien belle aventure qui, espérons-le, pourra aboutir pour une génération prometteuse. Comme la précédente du reste qui comptait dans ses rangs des garçons tels que Lisandru Tramoni, aujourd’hui avec la Primavera de Cagliari, Ghjuvà Quilichini, troisième gardien des pros ou Yanis Cimignani, titulaire en L2 depuis le début de saison...
Ph.P.
Deux ans après leur qualification pour les quarts de finale de la mythique coupe Gambardella, les jeunes Oursons se retrouvent au même stade de la compétition. « Ce n’est pas un hasard, explique Patrick Leonetti, directeur du centre de formation du club ajaccien, nous avons des jeunes prometteurs dont beaucoup sont du cru, une belle génération, c’est le résultat d’un travail de longue haleine qui porte ses fruits. » Après s’être qualifiés aux tirs aux buts en 32e de finale face à l’OM, première grosse pointure, à Timizzolu, (1-1, 4-3 t-à-b), les protégés d’Anthony Bancarel sont allés s’imposer à Nice (1-0) en 16e et Amiens en 8e (3-3 après avoir mené 3-1, 5-4 t-à-b) pour se hisser dans le Top Huit de la compétition. Le 13 mars prochain, les « Oursons » se rendront à Troyes (vainqueur de l’édition 2018 en battant le FC Tours de l’ancien acéiste Nouré El Ouardani).
En cas de nouvelle qualification, c’est encore en déplacement chez le vainqueur du match Strasbourg-Lyon, que les Ajacciens joueront leur place en finale au Stade de France en lever de rideau de la finale de la coupe de France. Une bien belle aventure qui, espérons-le, pourra aboutir pour une génération prometteuse. Comme la précédente du reste qui comptait dans ses rangs des garçons tels que Lisandru Tramoni, aujourd’hui avec la Primavera de Cagliari, Ghjuvà Quilichini, troisième gardien des pros ou Yanis Cimignani, titulaire en L2 depuis le début de saison...
Ph.P.
